L’amphithéâtre de l’Académie de l’Excellence était un océan de visages tendus, chaque étudiant figé dans une posture d’attention forcée. L’air vibrait d’une tension palpable, comme si la moindre parole pouvait déclencher une tempête. Lorsque Valérie Royeau fit son entrée, le silence se fit plus épais, presque tangible. Ses talons claquaient contre le sol de marbre, un rythme militaire qui annonçait son autorité avant même qu’elle ne prenne la parole. À 45 ans, elle incarnait une élégance froide, son tailleur bleu marine moulants ses courbes avec une précision qui en disait long sur sa rigueur. Ses cheveux blonds, coupés au carré, encadraient un visage où la sévérité se mariait à une beauté intemporelle. Les étudiants, alignés comme des soldats, sentaient déjà le poids de son regard, un regard qui ne tolérait aucune défaillance.
Valérie s’avança vers le pupitre, ses doigts effleurant le micro avec une délicatesse qui contrastait avec la fermeté de sa voix. « Mesdames, Messieurs, bienvenue à l’Académie de l’Excellence. » Sa voix, claire et tranchante, résonna dans la salle. « Ici, nous ne formons pas seulement des esprits, nous sculptons des caractères. Le respect, la discipline, l’obéissance : ce sont les piliers de notre institution. Toute déviation sera sanctionnée. » Elle marqua une pause, son regard balayant l’assemblée comme un faucon scrutant sa proie. « Le respect est essentiel. Sans lui, nous ne sommes rien. »
Ses yeux s’arrêtèrent soudain sur le premier rang, où Benoît Dutal, 25 ans, tentait de se fondre dans la masse. Ses cheveux noirs en wolf cut, son corps athlétique et son air impertinent en faisaient une cible facile. Il venait de murmurer une remarque à son voisin, un sourire moqueur aux lèvres. Valérie le fixa, son expression se durcissant. « Monsieur Dutal, n’est-ce pas ? » Sa voix, glaciale, fit frissonner l’assistance.
Benoît sursauta, son sourire s’évanouissant comme une bougie soufflée. « Oui, Madame », bredouilla-t-il, ses joues rougissant sous le poids de son regard.
« Le respect, ai-je dit », répéta Valérie, s’avançant vers lui avec une détermination qui fit taire les murmures. « Et cela inclut de ne pas perturber l’assemblée avec des commentaires inappropriés. Levez-vous. »
Benoît se leva lentement, ses mains s’agrippant nerveusement à son jean. Il sentait les yeux de centaines d’étudiants braqués sur lui, un mélange de curiosité et de peur. « Venez ici », ordonna-t-elle, son doigt pointant vers l’espace devant la scène.
Le cœur de Benoît battait la chamade alors qu’il s’approchait, chaque pas résonnant dans le silence oppressant. Il se tenait maintenant devant elle, son regard baissé, conscient de l’humiliation qui l’attendait. « Vous semblez penser que les règles ne s’appliquent pas à vous, Monsieur Dutal », dit-elle, sa voix basse et menaçante. « Mais ici, à l’Académie, tout le monde est égal devant la discipline. Et lorsque quelqu’un manque de respect, il doit en subir les conséquences. »
Elle saisit son bras avec une poigne ferme, le tirant vers elle comme un enfant récalcitrant. « Je vais vous montrer, et à tous ceux qui regardent, ce qui arrive à ceux qui défient l’autorité. »
Benoît tenta de protester, mais Valérie ne lui laissa pas le temps. D’un geste rapide, elle dégrafa sa ceinture, la faisant glisser hors de ses boucles avec un bruit sec qui fit sursauter l’assemblée. Les étudiants échangèrent des regards incrédules, leurs murmures étouffés par la tension.
« Madame, je… », commença Benoît, mais Valérie l’interrompit d’un regard foudroyant.
« Silence », ordonna-t-elle, sa voix coupant l’air comme un couteau. « Vous avez eu votre chance de respecter les règles, et vous l’avez gaspillée. »
Elle attrapa le t-shirt noir de Benoît, le tirant vers le haut avec une force qui lui coupa le souffle. Son torse athlétique, marqué par des heures d’entraînement, fut exposé aux regards de tous. Benoît rougit, sentant l’humiliation monter en lui comme une marée. Il tenta de reculer, mais Valérie le tenait fermement, sa poigne implacable.
« Madame, s’il vous plaît », murmura-t-il, sa voix tremblante.
« Trop tard pour les supplications, Monsieur Dutal », répondit-elle, son ton sans pitié. « Vous avez choisi votre chemin, et maintenant vous allez en payer le prix. »
Elle abaissa son jean, révélant son boxer serré. L’amphithéâtre retint son souffle, les étudiants témoins d’une scène qu’ils n’auraient jamais imaginée. Benoît sentit la chaleur monter à ses joues, son cœur battant la chamade.
« Madame, je vous en prie », supplia-t-il, sa voix brisée.
Valérie ignora ses supplications, saisissant fermement la taille de Benoît et le plaçant sur ses genoux. Elle le tenait fermement, ses jambes pendantes dans le vide, ses fesses nues exposées à l’assemblée. L’humiliation était totale, chaque regard un couteau qui le transperçait.
« Cela vous apprendra à respecter l’autorité, Monsieur Dutal », déclara-t-elle, levant la main.
La première claque retentit, un son sourd qui résonna dans l’amphithéâtre. Benoît sursauta, un cri étouffé s’échappant de ses lèvres. La douleur était intense, brûlante, comme si un fer rouge avait été pressé contre sa peau. Il sentit ses fesses s’embraser, une chaleur violente qui se propagea dans tout son corps.
Valérie abaissa à nouveau sa main, la claque suivante tombant avec une précision implacable. Benoît se tordit, ses jambes s’agitant dans le vide, ses mains agrippant les cuisses de Valérie pour se retenir. La douleur était insupportable, chaque coup ajoutant une couche de feu à sa peau déjà enflammée.
« Aïe! Madame, s’il vous plaît, ça suffit! » cria-t-il, sa voix remplie de désespoir.
Mais Valérie ne montra aucune pitié. Elle continua, chaque claque tombant avec une force croissante, la douleur s’accumulant sur les fesses de Benoît. L’amphithéâtre était silencieux, les étudiants témoins de la punition humiliante. Caroline, assise au deuxième rang, sentit un mélange d’horreur et de fascination. Elle avait toujours su que l’Académie était stricte, mais elle n’avait jamais imaginé une telle scène. Son regard croisa celui de Mélissa Voss, la surveillante, qui hocha la tête avec approbation, comme si elle validait la punition.
Clara Lapelle, la voisine de Benoît, ne pouvait s’empêcher de sourire. Elle avait toujours trouvé Benoît agaçant, et le voir ainsi humilié était une douce revanche. Elle chuchota quelque chose à Liara Nguyen, qui hocha la tête, un sourire narquois aux lèvres.
Sur la scène, Valérie ne montrait aucun signe de ralentissement. Ses claques tombaient avec une régularité méthodique, chaque coup ajoutant à l’humiliation de Benoît. Ses fesses étaient maintenant d’un rouge vif, la peau brillante de sueur et de larmes. La douleur pulsait à travers son corps, chaque muscle tendu dans une tentative désespérée de s’échapper.
« Madame, je suis désolé! » cria Benoît, ses larmes coulant sur ses joues. « Je ne le referai plus, je vous le promets! »
Mais Valérie ne s’arrêta pas. « Les promesses ne suffisent pas, Monsieur Dutal », dit-elle, sa voix ferme. « Seules les actions comptent. Et vous allez apprendre que les actions ont des conséquences. »
Elle administra une dernière série de claques, chaque coup plus fort que le précédent. Benoît hurla, ses jambes s’agitant frénétiquement, son corps se cambrant sous la douleur. L’amphithéâtre était silencieux, les étudiants témoins de la scène avec un mélange d’horreur et de fascination. Les fesses de Benoît étaient maintenant striées de marques rouges, la peau gonflée et douloureuse. Il sentait chaque claque comme un coup de poignard, la douleur s’étendant jusqu’à son âme.
Enfin, Valérie s’arrêta, relâchant Benoît, qui tomba sur le sol, ses fesses en feu, son corps tremblant. Il se recroquevilla, ses mains couvrant ses fesses, ses sanglots remplissant l’air. L’humiliation était totale, chaque regard un couteau qui le transperçait.
Valérie se redressa, ajustant son tailleur, son expression impénétrable. Elle regarda l’assemblée, son regard défiant chaque étudiant. « Voilà ce qui arrive à ceux qui manquent de respect », déclara-t-elle, sa voix résonnant dans la pièce. « N’oubliez jamais cela. »
Elle retourna au pupitre, reprenant son discours comme si rien ne s’était passé. L’amphithéâtre était silencieux, les étudiants absorbant la leçon, la fessée de Benoît devenant un symbole silencieux de l’autorité incontestée de la directrice.
Benoît, toujours sur le sol, sentit l’humiliation et la douleur le submerger. Il se releva lentement, ses fesses douloureuses, son visage rougi par les larmes. Il retourna à sa place, évitant les regards des autres étudiants, son esprit tourmenté par la punition qu’il venait de subir. Chaque pas était un calvaire, la douleur pulsant dans ses fesses avec chaque mouvement.
Caroline, toujours assise au deuxième rang, sentit une émotion complexe l’envahir. Elle était horrifiée par la brutalité de la scène, mais en même temps, elle ne pouvait s’empêcher de ressentir une étrange fascination. Son regard croisa celui d’Alexandre Moreau, un étudiant plus âgé, qui hocha la tête avec un sourire entendu. Elle détourna les yeux, troublée par ses propres pensées.
Mélissa Voss, la surveillante, se tenait près de la scène, son expression approbatrice. Elle avait toujours admiré la rigueur de Valérie, et cette punition était un rappel nécessaire de l’ordre qui régnait à l’Académie. Elle jeta un regard à Benoît, qui s’asseyait péniblement, et hocha la tête avec satisfaction.
Clara Lapelle, quant à elle, ne pouvait cacher son triomph
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