mercredi 17 avril 2019

Benoit, étudiant, fessé à la fac


C’était une belle après-midi de Juin à Oxford, pour une fois le soleil brillait. Il était 15h10 et Benoit Dutal était en retard pour son cours privé. Encore une fois. Il sonna à la porte de sa professeure. La Dr Louise Kendrick.

“Entrez !” Cria t-elle sévèrement.

Benoit entra dans la pièce essoufflé exclamant de nombreuses excuses. Louise fit un geste de la main pour le faire taire et pointa du doigt la chaise en face pour l’inviter à s’asseoir. Il s’assit posant ses livres sur le bureau.

“Dr Kendrick” commença t-il hésitant.

D’habitude il l’appelait Louise, mais ici il prit un ton sérieux.

“J’ai bien peur de ne pas avoir fini mon mémoire, pas encore.”

Louise grimaça. “Tu ne l’as même pas commencé n’est-ce pas ?”

Benoit rougit, regardant le tapis. “Non.’ dit-il d’une petit voix.

Louise soupira théâtrâlement. “Benoit, ce n’est pas une bonne chose. Tu n’as pas présenté ton travail la semaine dernière non plus. En fait c’est la troisième fois que tu manques à tes devoirs. Je pensais que tu étais un de mes meilleurs élèves de première année. Tes devoirs étaient excellents fût un temps Que s’est-il passé ?”

“Je ne sais pas honnêtemment Louise. J’ai essayé de travailler, de travailler vraiment dur.”

Louise se se souvint alors d’avoir vu quelques jours plutôt Benoit et Emma fricoter dans le campus avant de partir vers les toilettes. Emma Manning, une étudiante de première année qu’il connaissait aussi.

“Bien sûr c’est à vous de faire vos recherches. Est-ce qu’Emma Manning serait votre seule source de recherche ? Pas sûr que ce soit la meilleure source pour votre sujet mémoire, à savoir Pierre Abelard.”

Benoit devint encore plus rouge. “Vous… vous nous avez vu quand… ?”

“Vous n’avez pas été discret du tout. Ce n’est pas à moi de juger si ce que votre partie de sexe dans le campus est sanctionnable, mais je ne peux m’empêcher de me demander si ce que j’ai vu a un quelconque lien avec votre manque de travail. Quoi qu’il en soit, je risque de vous donner une très mauvaise note de fin d’année..”

“Mais il est enocre temps de se rattrapper, je peux vous donner des cours supplémentaires ou autre chose si il faut. Avez-vous des idées pour vous ?”

“Bah… vous savez ce que Pierre Abélard aurait fait ?”

“Que suggérez vous Benoit ?”

Il plongea dans l’insousciance. “Bah, Héloïse était la meilleure élève d’Abelard, meilleure que tout les autres élèves. Mais quand elle était paresseuse, il n’hésitait pas à la punir.”

Louise ria. “C’est vrai, il le faisait. Mais vous oubliez deux choses. D’abord c’était au 13ème siècle, aujourd’hui on me jetterai probablement en prison. Puis, vu que vous avez bien sûr lu les lettres d’Abelard, vous savez que cela n’est qu’un prétexte. Si c’est une fessée érotique que vous voulez, vous pourrez demander à Emma je pense.”

Elle parlait avec désinvolture mais l’idée de mettre ce vilain garçon entre ses genoux était tentante. C’était précisément ce qu’il méritait pour être insolent, pour lui avoir menti et par dessus tout pour s’être laissé aller. Et en plus il a certainement le physique idéal pour ça : des fesses bien attirantes et magnifiquement fessables.

Benoit grimaça. “Mais Emma n’a pas le droit, et pas d’autorité sur moi. Vous vous en avez Louise, vous êtes ma tutrice, donc vous êtes in loco parentis. Et c’est ce que mes parents auraient fait si ils savaient que je négligeais mon travail.”

“C’est à dire ?”

“C’est à dire me mettre sur leurs genoux et me punir et me rougir les fesses comme il faut.” Intérieurement, Benoit haleta de sa propre audace. Heureusement il était très peu probable que sa prof rencontre un jour ses parents.

“Je ne dis pas que vous ne la méritez pas. Mais je pense que l’université peut vous trouver des intendants pouvant s’occuper de ça. Puis au vu de nottre relation prof élève, cela pourrait être pris pour de l’harcèlement.”

“Uniquement si je porte plainte.” Benoit répondis. “Et je ne le ferai pas. Vous savez que je le ferai pas, je veu dire pourquoi je le ferai ? Vous êtes là pour m’aider à réaliser mon mémoire. Vous avez dit être prête à m’aider par n’importe quel moyen, eh bien c’est ce dont j’ai besoin Louise.”

Louise s’est levé et regarda pensive à travers la fenêtre. Finalement elle se tourna et lui fit face.

“Très bien.” dit-elle. “Je vais faire ce que vous voulez mais il y aura des conditions. D’abord si vous parlez à qui que ce soit de ça je renonce à être votre tutrice. Ensuite peu importe ce qu’Héloise et Abelard ont fait, mais la seule chose que je ferai c’est de vous fesser, rien d’autre, c’est compris ?”

Benoit acquiesça “Ok.”

“Et rappellez vous que c’est une punition, pas de l’amusement ou de l’érotisme, si je vois que cela vous plait ou n’améliore pas votre travail, j’arrêterai sur le champ. Alors je vous préviens Benoit, me demandez-vous une vraie fessée longue et douloureuse ? Etes-vous sûr de pouvoir supporter ça ? Si ce n’est pas le cas, c’est votre dernière chance de faire marche arrière.”

Derrière ses yeux noirs, Benoit réfléchit. Pourrait-il supporter la douleur ? Pourquoi s’était)il laissé aller comme ça ? Elle avait raison cependant, si cela devait avoir un impact sur son travail, alors il fallait que ce soit une véritable punition, sévère et douloureuse. Mais comment pouvait t-il faire demi-tour maintenant ?

“D’accord.” dit-il d’une petite voix regardant le sol. “Je suis d’accord.”

“Ainsi soit-il.” dit Louise en se levant. “Bien pour commencer, je vais fermer ma porte.” dit-elle en se dirigeant vers celle-ci pour éviter que le bruit ne sorte de la pièce. “Oh et pouvez-vous fermer les fenêtres. Nous voudrions pas que vos pleurs dérangent le quartier.”

“Je ne pleurerai pas.” Benoit protesta bien qu’il obéit à l’ordre.

“Ne sois pas si sûr jeune homme.” a t-elle répliqué ouvrant son bureau et fouillant à l’intérieur pour sortir une brosse à cheveux. “Joli spécimen n’est-ce pas ? Elle serait utile pour vos cheveux. Mais je pense que ça va correspondre à vos fesses encore mieux.”

“Mais je pensais que vous utiliserez votre main !”

“Oh je vais le faire.” dit Louise. “Pour commencer.” Elle le prit par le poignet et le mena sur la chaise qu’elle venait de récemment quitter. Elle s’assit et posa la brosse sur le bureau derrière elle “Ceci ce sera pour le deuxième acte.”

Benoit la sentit défaire sa ceinture et descendre son jean à ses genoux. Ensuite, doucement mais fermement elle l’allongea sur ses genoux. Il eu une boule dans le ventre quand il s’installa sur ses cuisses, sa tête à gauche, ses jambes étendues droites et ses fesses courbé et haut prêt pour la main de Louise.

Louise savoura avec délice ce qui se présentait devant elle. Elle remonta le t-shirt de Benoit, légèrement au dessus de sa taille pour dégager les fesses. Qu’elle palpa ensuite.

“Très belles fesses.” observa t-elle. “Et ton boxer rouge les mets bien en valeur mais je pense que nous devrions l’enlever.” Et doucement, elle glissa ses doigts sous son boxer, pour venir le glisser tout en parcourant ses courbes.

Benoit frémit en voyant son vêtement le plus intime s’enlever. L’air était bon sur son nu et vulnérable fessier et le bras gauche de Louise le tenait fermement dans sa position. Il était entièrement sous son contrôle. La réalisation de sa punition méritée et désirée effrayait maintenant ses pensées.

“Bien jeune homme.” dit Louise levant sa main ouverte. “C’est ce que vous m’avez demandé, c’est ce que donc vous allez recevoir. Et ne me dites pas que je ne vous aurai pas prévenu pour la douleur qui vous sera insupportable.”

Prenant soin de bien viser, elle fit tomber vigoureuseuement sa main sur la partie la plus charnue de la fesse gauche de Benoit. Il eut le souffle coupé tandis que l’impact lui piquait la chair tendre avant qu’une autre fessée, non moins dure, vient atterrir sur sa fesse droite cette fois-ci. Louise prit une pause et regarda satisfaite les deux marques de sa main, bien roses et visibles sur la chair blanche.

Ayant marqué son territoire, elle reprit et pendant quelques minutes le fessa plus légèrement, juste assez pour piquer, couvrant toute les zones de son fessier et savourant la façon dont la douce chair des fesses de Benoit vibrait et vacillait sous la paume de sa main. Après seulement une douzaines de claques, une délicate nuance de rose recouvrit les jolies fesses du jeune homme, s’assombrissant graduellement du rose au rouge à chaque nouvelle claque. Au fur et à mesure que la chaleur montait sur son derrière, Benoit commença à se tortiller légèrement, émettant des petits cris et des gémissements. C’était excitant d’être sur les genoux de Louise, soumis à sa volonté et sentant sa main s’écraser ses ses fesses nues. Mais en même temps il y avait une pointe de déception, ce n’était pas aussi douloureux qu’il ne l’avait espéré - ou redouté.

Louise savait ce qu’elle faisait. Après quelques minutes elle fit une nouvelle pause et caressa les courbes de Benoit, admirant le résultat de son travail. Ses fesses étaient chaudes au toucher et elles étaient plus que jamais sexy maintenant qu’elles étaient bien rouges.

“Ok Benoit.” dit-elle. “C’était juste pour chauffer tes fesses et les mettre dans les meilleures conditions pour une vraie fessée. Maintenant ta vraie punition va commencer.” Elle resserra son étreinte et commença à le fesser avec toute la force de son puissant bras droit.

Benoit haleta par surprise. Il n’avait jamais imaginé à quel point une main féminine puisse piquer autant un fessier d’homme - surtout quand ce fessier avait été préalablement rendu extra sensible par un échauffement astucieux. Son fantasme faisait maintenant face à la réalité et il n’était pas sûr d’aimer ça. “Owww” protesta t-il se tortillant sur ses genoux. “Louise ça fait vraiment mal, s’il te plait, pas si fort !”

“Bien sûr que ça fait mal mon garçon !” répliqua t-elle sans coeur le fessant avec enthousiasme. “C’est fait pour, c’est une punition tu te rappelles ? Pour t’apprendre à finir ton mémoire chaque semaine où tu es supposé le faire et pour ne pas arriver en retard à mes cours !” Elle tourna son attention sur les douces courbes de ses fesses, elle les frappa avec des coups qui le fit se tortiller et gémir. “A partir de maintenant, à chaque fois que tu seras tenté de t’amuser plutôt que de faire ton travail, tu te souviendras à quel point il est humiliant d’être mis sur mes genoux et d’être fessé cul nu comme un enfant pas sage. Tu te rappelleras à quel point tes fesses deviennent chaudes, rouges et douloureuses - et crois-moi, ça va devenir encore plus rouge et encore plus douloureux. Et souviens toi que toute paresse supplémentaire, jeune homme, te ramènera sur mes genoux pour être fessé deux fois plus longuement et deux fois plus durement. Compris ?” demanda t-elle en donnant une énorme claque sur ses fesses.

“Owww! Oui, Louise! Je suis désolé ! Vraiment désolé ! Stop s’il te plait !”

Mais Louise n’était pas d’humeur à arrêter. Elle s’amusait beaucoup trop. Benoit se révélait encore plus délicieusement fessable que ce qu’elle avait pensé. Elle se réjouissait de ses cris et de la couleur rouge sur les fesses de Benoit.

Alors, pendant encore quelques minutes elle fessa ses belles fesses pour son grand plaisir - maintenant le fessant doucement, prenant une pause après chaque claque pour laisser le temps à ses fesses de piquer; maintenant lui donnant une forte volée de fessées, une vingtaine assez rapidement au même endroit le faisant crier et se tortiller franchement. Et quand elle s’arrêta ce fut seulement pour atteindre le bureau derrière et prendre la brosse.

Benoit se tordit pour voir ce qui se passait et haleta. Il était si perdu dans l’agonie et l’ecstasie de la fessée qu’il avait oublié la brosse. “Oh non.” pleura t-il. “Non Louise, s’il te plait, j’en ai eu assez, mes fesses sont déjà trop douloureuses ! s’il te plait laisse moi !”

“Pas question” La réponse fut sans pitié. “La fessée à la main était pour avoir négligé ton mémoire et avoir été en retard. Ca, ce sera pour quelque chose de plus sérieux : Perdre votre temps avec Emma Manning et faire l’amour dans un lieu public.” Elle frappa les fesses de Benoit avec le dos de la brosse. “Tu mérites mieux que ça et tu mérites une bonne grosse fessée avec cette brosse pour t’aider. Mais tu as bien pris ta punition jusqu’à présent, je te laisserai donc partir après seulement 60 coups, la prochaine fois je ne serais pas aussi indulgente.”

A t-elle dit indulgente ? pensait Benoit, ses fesses en feu, mais c’est ce qu’il avait demandé se dit-il intérieurement. Il prit fermement la jambe de Louise, s’attendant au pire.

“OWWWWWWW” Il n’avait dit qu’il pleurait pas, il pleure. Le son cinglant de la brosse venant atterrir sur ses fesses résonna dans la pièce piquant ses fesses déjà bien fessées, la large longueur ovale de la brosse frappant les deux fesses à la fois. Et il continua de pleurer, ses cheveux bruns ébouriffés et ses jambes battant violemment pendant que le bois dur de la brosse venait claquait encore et encore ses fesses si douloureuses, les faisant passer de l’éclarlate à une profonde couleur de pourpre. Quand la fessée cessa finalement, il semblait ne pas remarquer mais il resta allongé mollement sur les genoux de Louise, haletant et gémissant, entièrement passif.

Louise contempla le beau jeune homme mince, allongé sur ses genoux, chaque centimètre de son derrière bien fessé et rougeoyant. Doucement elle caressa les deux masses de chair tremblantes devant elle. “Ok Benoit, c’est fini, tu as eu la fessée que tu as demandé. Lève-toi.” Elle l’aida à se relever. Toujours tremblant et en larmes il reprit enfin la parole “Mon dieu, vous fessez vraiment violemment Louise. Je ne pense pas qu’Abelard fessait Héloise comme cela !”

“Au contraire je parie qu’il le faisait. Et elle étaot surement la première à se plaindre si il ne le faisait pas.”

“Vous avez peut-être raison, mais au moins elle n’avait pas à remettre son jean après les hostilités. Oww, oww.. je crois que mes fesses sont trop gonflées pour rentrer dedans.”

lundi 1 avril 2019

Emma et Caroline fessées




Melissa venait pour une leçon de musique. Melissa est la maman de Caroline, âgée de 50 ans. Caroline a 24 ans comme moi et nous sommes de grands amis. Melissa m'a demandé de l'aider à s’améliorer en musique alors je l’ai invitée à venir suivre mes cours à mon école de musique.

La leçon de musique ne se passait pas bien car Melissa jouait faux, mais elle semblait penser que c’était drôle et cela commençait à m’énerver car elle manquait de concentration. Alors quand elle se foira sur une note, je fis ce que je fais à mes plus jeunes élèves, c’est à dire lui claquer la main en disant: «Concentrez-vous Melissa, un peu de sérieux.»

Melissa répliqua: «Je suis sérieuse» et continue de jouer. Une autre note lui manqua et je lui tapai la main à nouveau, pas assez fort, mais assez brusquement pour la faire réfléchir. La troisième fois, Melissa a cessé de jouer et a dit d'un ton agacé: «Vas-tu arrêter de me frapper la main, Emma.»

Je rétorquai: «Eh bien, Melissa, je le ferai si vous jouez correctement."

À ce moment-là, Beccy qui dirigeait lécole entra dans la pièce et demanda: " Pourquoi ça crie ici ? "

Melissa a d'abord dit," Emma me tape continuellement la main et je lui ai demandé de ne pas le faire. "

J'ai réfuté ce que Melissa avait dit et rétorqué:" J’essaye de lui apprendre et elle n'écoute pas et pour un enseignant c’est très frustrant. "

Beccy a dit:"Emma, ce n'est pas une façon de parler à Melissa, soyez plus respectueuse. "

Melissa répliqua en disant:« Ce n'est pas juste Emma, je veux apprendre. "

"J'en doute," dis-je en croisant les bras

Beccy dit sévèrement, "C'en est assez Emma, personne ne veut de ton opinion. Je te le répète, sois respectueuse envers Melissa. De toute façon, je ne vais pas laisser passer ton impolitesse alors occupons nous de toi, donne moi ta culotte s'il te plaît. "

" Ce n'est pas juste du tout. "

Beccy répondit avec colère:" Pour me répondre, tu auras une deuxième fessée. Maintenant, je veux que tu me donnes ton slip. »

Je rougis de conscience, sachant que j'avais réussi à obtenir une double fessée. Pourquoi n'ai-je toujours pas appris? Pourquoi n'ai-je pas arrêté de me disputer quand on m'a dit que je recevais une fessée? Je ne pouvais pas croire à quel point je m'étais emporté encore. Beccy était furieuse alors qu'elle tendait la main et acceptant sa décision, je retira ma culotte que je lui donna

«Enlève ta jupe et va au coin. Je vais m'occuper de toi ici aujourd'hui. »

Je fermai les yeux au moment où Melissa demanda:« Erm Beccy, qu'est-ce qui se passe? »,

Beccy répondit.« Je vais donner une bonne fessée à Emma, deux en fait, à cause de son impolitesse envers vous. »

Melissa semblait peu surpris. «Vraiment, mais Emma n'a-t-elle pas 24 ans, elle a plus l'âge pour être fessée.»

«Eh bien oui, elle a 24 ans, Melissa, mais elle n’est pas trop âgée pour une fessée. Emma a des problèmes de comportement, je l’aide à surmonter ce problème. Nous avons convenu avec plusieurs autres personnes que je devrais la fesser au besoin, du moins quand je dis qu'elle doit l'être. . »

Beccy insiste beaucoup sur le fait que cela doit se produire chaque fois qu'elle décide que je devais être fessée, mais j'avais l'habitude de ne rien dire et d'accepter ses décisions quant au moment où je devais être fessée.

"Oh je vois. Eh bien, je suppose que je devrais y aller dans ce cas l). »

Beccy insista:« Bon Dieu, non Melissa, je vais lui donner une première fessée, elle poursuivra ensuite votre leçon dans ce qui, je le pense, sera de bien meilleure humeur, et puis je ' Je la refesserai ensuite. "

" Mais vous avez dit que vous allez la fesser ici. Où vais-je aller? -

Melissa, tu resteras ici pour regarder. Cela fait partie du régime de discipline. Elle a été impolie avec toi alors tu peux rester. »

Oh, je vois bien, alors oui, pourquoi pas. »Elle a ajouté:« Puis-je prendre un verre? peut-être?

Beccy éclata de rire. « Bien sûr, il y a une bouteille ouverte de rouge sur le côté. »

J'étais déjà au coin, mon nez appuyé contre le mur et mes mains sur ma tête alors que Melissa se versait un verre de vin. "Oh mon Dieu", dit-elle en se retournant et en disant: " Qu'est-ce que la pauvre fille doit bien penser, debout là-bas avec ses fesses nues tout exposé? "

Beccy dit léger," Je peux te dire Melissa, elle pense à quel point elle a été stupide d'être impolie avec toi parce que son cul va piquer très fort Bientôt.

Elle avait raison, c'est exactement ce que je pensais. Beccy allait me faire payer pour ce que j'ai fait. En fait, je ne m'attendais pas à la deuxième fessée. Une fessée aurait été vraiment bien, douloureuse et tout, mais ma chatte était mouillée à la pensée de la fessée. Je suppose que je suis encore plus mouillé à la perspective de deux mais Beccy avait certainement raison de dire que mes fesses allait piquer et je me demandais comment je pourrais m'asseoir et continuer la leçon de musique.

Je me tenais au coin de la pièce pendant plusieurs minutes avant que Melissa ne dise: «Est-ce que la fessée va bientôt commencer, Beccy?»

«Pourquoi Melissa? J'aime que Emma soit au coin pendant au moins 10 minutes, généralement plus, afin qu'elle ait un bon temps de réflexion. "

" Oh non, rien ne presse, c'est juste que je vais remplir mon verre à nouveau si je n'interromps pas . ""

Beccy répondit d'un ton amical,Vas-y, Melissa, il reste encore beaucoup de temps. "

Je gardai le nez appuyé contre le mur. Là, Melissa était en train de boire du vin alors que je suis face au mur comme une vilaine fille. En fait, je suis une vilaine fille bien sûr, mais ce n’était pas la question. Mes fesses vont bientôt piquer et Melissa demandera sans doute un autre verre de vin.

Les minutes passèrent jusqu'à ce que je sois presque heureux que Beccy dise: «Viens ici, Emma, laisse-moi m'occuper de toi.»

Je me retournai et trouvai Beccy sur la chaise, une brosse à cheveux en bois dans sa main, et elle me fixait, regardant. si dominante. Ma chatte frémissante alors que je m'approchais d'elle, ses yeux verts flamboyants, et quand je l'atteignis elle tapota ses genoux, je jetai un coup d'œil à Melissa qui souriait et semblait avoir vraiment apprécié mon humiliation, et je me suis penché sur les genoux de Beccy. Dès que mes mains ont atterri sur le sol, Beccy a commencé à me frotter les fesses, comme elle le faisait d'habitude, ce que j'ai toujours trouvé érotique.
Je n'avais pas trop le temps de penser que Beccy leva la main et claqua ce que je savais être sa paume ouverte sur ma fesse droite, puis une seconde plus tard sur la fesse gauche, les fessées pleuvaient successivement rapidement et continuellement sur les fesses nues plusieurs dizaines de fois avant que Beccy ne se concentre sur une fesse pendant quelques dizaines de fessées, puis sur l'autre fesse pendant quelques dizaines de fessées aussi. Ensuite plusieurs dizaines de fessées à l'arrière de chaque jambe.

Ca me piquait partout et je haletais de plus en plus fort au fur et à mesure que la fessée progressait. Cela ne cessait jamais de me surprendre de voir comment Beccy pouvait continuer à me fesser avec sa main nue pour des centaines de fois sans interruption.. Beccy s’arrêta et me frotta le haut de mes jambes pendant vingt ou trente secondes, me grondant avant de lever la main et de me donner encore quelques centaines de fessées.

Les larmes me montaient aux yeux bien avant que la fessée ne se termine. Quand Beccy s’arrêta pour prendre la brosse à cheveux, Melissa dit: «Oh, je parie que ça va vraiment faire mal."

Je voulais crier: "Bien sûr que ça fait mal idiote !", mais je savais ce que cela me coûterait. une mauaise réaction m'avait valu une deuxième fessée; je ne voulais pas particulièrement gagner une troisième fessée.

Beccy répondit: «Eh bien oui Melissa, ces brosses à cheveux sont vraiment dissuasives, tu sais. Emma déteste ça, mais je ne vois pas pourquoi cela m'empêcherait de l'utiliser. »

« Tout à fait, dit Melissa, d'accord, je suis sûre que si tu n'étais pas si stricte, elle serait une jeune femme bien plus méchante. »

Dit Beccy, "Oui, bien sûr", La seconde suivante, ma fesse droite a explosé de douleur et avant que je puisse récupérer, la brosse à cheveux a été abaissée sur ma fesse gauche. Beccy était tellement habitué à me donner une fessée avec la brosse et je savais que j'allais être en larmes avant que de nombreuses autres fessées ne tombent sur mes fesses. Je pense que j'ai tenu pendant une douzaine de fessées avant de craquer. Je n'ai pas tenu le coup. Une douzaine de fessées avec la brosse était ce qu'il fallait pour que je halète, que je hurle de douleur et que les larmes coulent sur mon visage. Une fois que les pleurs ont commencé, tout ce que je pouvais faire, c’était de continuer à pleurer. Tandis que la brosse faisait son travail, je me tortillais sur les genoux de Beccy et je donnais des coups de pied dans les airs. Ma tête se soulevait et mes cheveux volaient autour de mon visage.
Finalement, la fessée s’arrêta et mes cris aussi. Beccy me frottait les fesses.

Melissa a semblé faire de son mieux pour me rabaisser quand elle a dit: "Je ne pense pas avoir jamais vu quelqu'un d'aussi vieux que Laura se faire fesser."

Elle répondit: «Eh bien, je doute fort que Emma soit la seule fille de 24 ans fessée régulièrement.»

Melissa poursuivit ses discussions. «C’est étrange, mais il ya une semaine, j’étais en train de parler à mon Caroline. Nous nous disputions et je lui ai dit que je pensais qu’elle était impolie et je lui ai dit de ne pas l’être. dommage qu'elle soit trop âgée pour être fessée. "Melissa réfléchit une seconde puis continua," Tu vois Beccy, je n'avais jamais pensé que fesser était juste, mais avec le temps, tous les amis de Caroline qui se sont fait fesser se sont bien comportés. Alors, quand j'ai dit à Caroline qu'elle se moquait de moi, elle m'a dit que si je trouvais quelqu'un qui a 24 ans et qui est toujours fessée, elle me laissera la fesser. "Melissa s'arrêta." «C’est étrange que Emma et Caroline soient des amis proches, mais Caroline ne savait pas que Emma était fessée. J'imagine que si j'avais su, je l'aurais dit et je l'aurais fessée sur le champ. »


Je sanglotais toujours mais je savais que Caroline savait très bien que j'étais fessée, nous en avions discuté souvent, je lui avais même montré les résultats d'une fessée en laissant tomber ma culotte et en la laissant voir par elle-même. Nous savions cependant que Melissa ne savait pas que j'étais régulièrement fessée, bien qu'elle le sache maintenant.

Beccy m'avait frotté assez longtemps et m'avait dit: «Retourne au coin, réfléchis à ce que tu as appris."

Pleurant toujours, je glissai des genoux de Beccy, la regardai à travers des yeux brouillés, me frottai les fesses follement alors que je me dirigeais vers le coin.

J'écoutais à moitié ce qui se disait derrière moi, mais je pensais surtout à mes propres idées: j'avais 24 ans et encore une fois j’ai reçu une fessée.
Beccy m'a dit après quelques minutes: «Bien, Emma, je pense que tu devrais terminer la leçon de Melissa. Caroline sera bientôt là pour aller la chercher.

J'ai remis ma culotte en place et suis entré dans ma jupe en le zippant. J'ai remarqué que le coussin sur mon tabouret avait été enlevé, ce qui était une punition habituelle pour moi. En m'asseyant, j'ai eu le souffle coupé lorsque mes fesses ont touché le siège du tabouret. J'ai ouvert les yeux et j'ai vu Melissa me sourire et, comme si rien ne s'était passé, me demander: «Dois-je jouer le même air, Emma?»

Je reniflai et dis: «Oui s'il te plaît Melissa, c'est une bonne idée."

Melissa se tourna vers moi «Tu ne me claqueras pas la main, Emma?»

«Non, Melissa, je ne le ferai pas. S'il vous plaît, commencez à jouer. »

J'étais bien plus calme pour cette session et lorsque Melissa a commis des erreurs, je les ai juste signalées et Melissa a dit:« Oh oui, désolé, laissez-moi essayer à nouveau », mais elle les a refaites. Encore et encore jusqu’à la fin de la leçon.
Nous nous sommes tous les deux levés et Melissa m'a remercié pour la leçon et en a réservé une autre au moment même où on a sonné à la porte. Quelques instants plus tard, Beccy avait répondu à la porte et Caroline était entré. Elle m'a regardé et a demandé: «Waouh, qu'est-il arrivé à toi? »

Je me retournai, soulevai ma jupe et Caroline vit la peau rouge sous ma culotte et sur le haut de mes jambes. "Aïe", dit-elle en ajoutant, "Wow Emma, on dirait que ça pique."

Melissa demanda à sa fille: "Pourquoi ne demandes-tu pas pourquoi Emma est si rouge sur ses fesses et sur ses jambes?"

Caroline eut l'air bizarre, se tourna vers moi, et dit en riant: «Eh bien Emma, je dirais que tu as été fessée.» Caroline cessa de rire quand elle réalisa que j'avais été fessée.

J'ai dit à voix basse: «Exactement Caroline, Beccy m'a donné une fessée et ta maman a regardé."

Caroline la regarda qui souriait, rougissant et dit: "Oh."

Melissa sauta avec "Oui Caroline, et de quoi avons nous parlé la semaine dernière

Caroline resta silencieuse, ayant l'air de penser à la semaine dernière.

Melissa dit toujours en souriant: «Laisse-moi t'aider. Vous avez dit que si je pouvais trouver quelqu'un qui a 24 ans et qui est encore fessée, je peux vous donner une fessée parce que tu es si grossier avec moi. Tu te souviens? »

Caroline déglutit difficilement, la regarda, puis Beccy et moi, puis sa mère. "Je me souviens maman, mais comme je ne le pensais pas, je veux dire, ça ne compte pas." Elle se tut.

Caroline rougissait et Melissa dit: "Je pense ma fille qu'il faut que tu viennes avec moi dans une autre pièce pour que je puisse te donner une fessée. »

Beccy a dit:« Oh, Melissa, je pense que ce sera beaucoup mieux si Emma et moi nous regardions. »

Caroline eu la bouche grande ouverte, mais aucun son n'est sorti.

«C’est vrai Beccy.» Elle se tourna vers sa fille de 24 ans et dit fermement: «Suivez-moi» alors qu'elle se dirigeait vers le fauteuil sur lequel Beccy s'était assis après la fessée. «Dépêche toi Caroline», dit-elle brusquement.

Caroline eut l'air perplexe mais commença à s'approcher de sa mère. Elle retrouva de l'autre côté de la pièce à côté de sa mère, baissant les yeux sur ses genoux.

«Culotte, s'il te plaît, Caroline, à moins que tu ne veuilles que je le fasse.»

«Non, je vais le faire», dit Caroline rapidement. Elle releva rapidement sa jupe et abaissa sa culotte. Embarrassée, elle laissa retomber la jupe pour recouvrir ses fesses nues. Elle regarda sa mère en attendant d'autres instructions qui arrivèrent assez tôt. «Lève ta jupe et penche toi sur mes genoux.»

Quelques secondes plus tard, Caroline se retrouva sur les genoux de sa mère, les mains sur le sol et ses fesses nu regardant fixement sa mère.

“Voyons ce qu'il se passe quand ça commence à faire mal. Melissa leva la main et la posa fermement sur la fesse droite de Caroline. Caroline haleta mais resta en place, haleta à nouveau lorsque sa mère lui donna une autre fessée. La fessée a continué. Melissa a donné une fessée à Caroline pendant un bon bout de temps, mais j’ai jugé que ce n’était pas aussi sévère que celles de Beccy, mais Melissa n’avait jamais donné la fessée à sa fille auparavant.

Il y avait une pause et Beccy avait ramassé la brosse à cheveux et l'avait remise à Melissa. Caroline regarda les jambes de Beccy, puis de nouveau le sol. Elle semblait avoir du mal avec la fessée à la main, alors je pensais que la brosse à cheveux ferait très vite son effet. Ça le faisait. Après seulement la troisième fessée avec la brosse à cheveux, la fillette de 24 ans hurlait et donnait des coups de pied, même si, à son crédit, elle restait en place. J'ai regardé attentivement la brosse à cheveux atterrir sur ses fesses rouges. J'ai regardé Melissa pendant un moment mais j'ai décidé que Beccy était une meilleur fesseuse. Remarquez que la fessée a duré un certain temps et que Caroline pleurait et suppliait sa mère d'arrêter, mais Melissa semblait apprécier la douleur qu'elle causait à sa fille et c'était plusieurs dizaines de fessées avec la brosse à cheveux avant qu'elle ne s'arrête.

Melissa frottait les fesses de sa fille et, à l'instar de Beccy, s'inquiétait pour le bien-être de sa fille. Elle lui frottait les fesses, la fit taire, et attendit qu'elle se calme avant de lui ordonner: «Leve toi Caroline.»

Caroline se leva et frotta aussitôt ses larmes coulent toujours sur son visage. Melissa avait l'air très satisfaite.

J'ai demandé: "Est-ce que Caroline et moi pouvons aller à la salle de bain pour qu'elle puisse se laver le visage?"

Melissa me regarda alors sévèrement. sourit et dit: «Oui Emma.»