mercredi 4 décembre 2019

Fessée pour un jeune super-héros



Swan Lad, l’homme cygne se faufila dans l’entrepôt. Accroupi dans l’ombre, ils e faufila près d’une zone éclairée de l’entrepôt. “Il est temps” se dit Swan Lad, de son vrai nom, Benoit Sanders.

Il pensait trouver dans cet entrepôt, un groupe de délinquants mineurs, mais ce qu’il trouva fut plutôt de grands criminels, une douzaine de méchants de la ville rassemblés dans l’entrepôt. La plupart était costumé, mais le plus effrayant ne portait pas de masque. Le petit Tony était assis au milieu d’une longue table proposant de l’argent en échange de services.

“Ce sera le casse du siècle croyez-moi.”

“Mais tu pourrais au moins nous dire de quoi il consiste” demanda un homme en riant.

“Tu n’as pas besoin de savoir” répliqua Le Petit Tony.

Benoit savait que si il arrêtait l’un de ses super méchants du Syndicat, comme ils se font appeler, sa carrière décollerait et il pourrait enfin être le super héros reconnu à sa juste valeur.

Mais Swan Lad fut sorti de ses pensées quand des mains sont venus lui serrer les bras. Mains qui appartenaient à la brique verte.

A part son costume, il n’était pas vert, mais il était grand et aussi fort que la brique. Pourtant il était aussi léger, suffisamment léger pour que Swan Lad ne puisse l’entendre au milieu des rires de Laughing Man, l’homme qui rit.

Benoit tenta de rispoter en lui donnant un coup de pied sur son ventre mais la brique verte l’a simplement soulevé du sol en le maintenant à bout de bras. Pire encore, sa ceinture bourée de superbes objets gadgets était hors de portée.

“Hé les gars, regardez ce que j’ai trouvé !” s’exclama la brique verte.

“Lache moi gros singe !”

Swan Lad se débattait, mais c’était inutile face à la force brute de la brique verte qui le transporta à bout de bras.

“Qu’est-ce qu’on a ici ?” demanda un homme en forme de sablier.

“Comme c’est drôle !” S’exclame The Laughing Man.

“Laissez moi partir ! Ou je vous exterminerai tous !” se débattit Benoit.

Puis un des membres du groupe s’est levé et Benoit eu un haut le coeur. Il connaissait ce type dont il reconnaissait le costume, c’était Three Tone, un dangereux criminel, accusé déjà de plusieurs meurtres. Il utilisait ses pouvoirs pour tuer.

“Tuons le et finissons en avec lui. Il en sait trop, débarrassons nous de lui”

“Tu es fou, c’est un enfant, je ne tue aucun enfant !” répondit la brique verte.

“Es tu plus fou que moi hahaha ?” dit The Laughing Man. “Te souviens tu ce qui s’est passé après qu’on ait tué la petite Musaraigne ?”

Swan Lad se souvint de ce moment. Il n’était qu’un élève de première année à l’université, mais il se souvint bien du chagrin qu’avait déclenché la mort de Musa auprès de l’opinion publique.

“Je ne veux voir aucun enfant tué, c’est mauvais pour les affaires.” lâcha petit Tony.

“Ok mais que fait-on alors ?” Demanda Three Tone en soupirant.

“Peut-être que la brique verte pourrait le jeter à travers les murs hahaha.”

Benoit déglutit à cette suggestion. Avec son costume il pourrait supporter, mais les tuyaux pourraient rapidement céder et s’écrouler sur lui.

“C’est un peu trop extrême peut être, si ce n’est qu’un enfant..” observa la sorcière d’hiver. “J’ai quelque chose qui pourrait ne pas éveiller la colère du public.”

La sorcière d’hiver quatre ans en arrière combattait le crime. Mais ce n’était plus le cas aujourd’hui, elle avait changé de camp. Certains soupçonnent une peine d’amour, d’autres des dettes. Elle connaissait par conséquent très bien les supers héros.

“Alors mon chéri, préfères-tu être traité comme un gamin perdu ou préfères tu mettre ta tenue de grand garçon et traverser les murs ?” menaça la sorcière d’hiver.

Swan Lad savait qu’en face à face, en accédant à sa ceinture il pouvait faire face à la plupart des personnes présentes dans cette pièce. Mais il avait déjà perdu, les bras empoignés il ne disposait pas suffisamment de main d’oeuvre et le Syndicat ne serait pas assez honnête pour se battre en un contre un, il devrait faire face aux douze. La vision de finir sous les murs de briques et de se réveiller si il a de la chance à l’hopital, ne le plaisait guère. Swan LAd savait qu’il n’avait pas le choix.

“Hum traité comme un gamin ?” couina Benoit.

Et il était heureux que son masque cachait son visage rouge de honte quand les méchants se mirent à éclater de rire.

La sorcière d’hiver qui était au bout de la table a reculé sa chaise et ordonna :

“Amene-le ici !”

La brique verte s’exécuta.

“Tends les bras.” s’exclama la sorcière d’hiver.

“Qu’est-ce tu vas me faire ?” demanda Swan Lad à portée de la sorcière d’hiver.

“Pour commencer je vais te serrer la main.” répondit la sorcière avec un sourire.

Elle se leva de sa chaise et couvra chacune des mains de Benoit avec les siennes. Une puissance se déclencha. Benoit cria sous le choc. Il n’y avait pas de douleur, mais ses bras etaient maintenant sans vie.

“C’est une malédiction ?” demanda t-il.

“Non, je m’assure simplement aucun riposte, tu ne pourras donner de coup de poing.”

“Mais je peux toujours m’enfuir en courant.” rétorqua Benoit.

“Oh ce n’est pas une option.” lâcha la sorcière rassurée.

La sorcière lâcha Swan Lad puis agita la main et la ceinture en forme de cygne tomba au sol.

“Bien bien, un costume en deux parties, ça rendra les choses moins embarrassants mais seulement un peu.” observa la soricère.

“Mais.. qu’est-ce que tu..” commença à dire Swan Lad. Mais il se dit alors qu’il valait mieux peut-être qu’il ne sache pas. Non pas que la surprise tarde à venir.

“Et bien je vois que tu as prévu des sous-vêtements sous ton costume.” dit la sorcière en descendant son bas de costume. “Ce costume est bien conçu, on aurait rien imaginé là dessous.”

“Que faites-vous ?” Demanda Swan Lad horrifié.

“Je vous donne une fessée, ou du moins je vous prépare à en recevoir une.” dit sagement la sorcière d’hiver.

“Quoi ?” Demanda Swan Lad, pas sûr qu’il ait bien entendu.

Les vilains ricanèrent et retournèrent à leurs affaires quand la sorcière de l’hiver s’assit et força Benoit à s’allonger sur ses genoux. Il essaya de résister mais ses bras étaient hors services. Sans ses bras il était impuissant.

Un geste de la main de la sorcière et les sous vêtements de Benoit étaient placés juste en dessous de ses hanches.

“Mes sous-vêtements n’ont pas de protection renforcée comme mon costume !” s’exclama Benoit.

“Je ne pensais pas qu’ils l’avaient.” répondit la sorcière. “Je montrais simplement tes fesses nus à l’assemblée.”

La sorcière eu un soupir. Les fesses du garçon étaient plus développées que prévu.

Alors que les autres revenaient discuter du plan du Petit Tony, la sorcière plaça sa main sur la fesse droite de Swan Lad avant de la lever et la rabattre.

“Mais arrêtez !” Demanda Swan Lad.

“Tu avais le choix. Voulais tu vraiment écraser ton joli visage contre le mur ?”

“Et bien non mais... vous ne pouvez pas…hé stop !”

La sorcière d’hiver a ignoré son cri suite à la deuxième claque.

“C’est ta décision, tu l’as décidé, maintenant tu assumes. C’est mieux que ce que Three TOne a décidé pour toi.” affirma la sorcière.

Benoit s’est forcé à rester silencieux. C’est vraiment embarrassant d’être traité comme un vilain petit garçon, mais c’est mieux que de mourir n’est-ce pas ?

“Maintenant laisse ceci être ta punition.” dit la sorcière en levant les bras et en donnant une nouvelle claque. SMACK !

“Parce que les petits garçons qui jouent avec le feu.. SMACK !... finissent… SMACK ! par se brûler les fesses.. SMACK !”

“Est-ce qu’il y a besoin de tous ces commentaires ? C’est un peu gênant” dit Tony qui tenter d’essayer de continuer la réunion.

“Désolée” dit la sorcière avant de reprendre la fessée le plus silencieusement possible. Mais ce n’était pas si calme. Benoit ne pouvait s’empêcher de réagir face à ses fesses qui brulaient de plus en plus. Il essaye de se tortiller sur les genoux de la femme mais sans succès. La sorcière était une vieille bagarreuse de l’époque et elle n’allait pas laisser un jeune garçon handicapé de ses bras prendre le desssus.

Les rafales continuaient de pleuvoir au fil des discussions. Swan Lad essaye de se concentrer sur ce qu’ils disaient mais il ne put pas avec la brûlure qui lui piquait les fesses.

Il ne pouvait plus se retenir.

“Arrêtez !”

“Non !” dit sèchement la sorcière ramenant sa paume à nouveau sur les fesses de Benoit.

“S’il vous plait ! S’il vous plait ! Owww… s’il vous plait arrêtez !”

“Pouvez vous hahaha le garder tranquille ?” demanda Laughing Man.

“Je m’en occupe.” déclara la sorcière en levant de nouveau sa main.

En un clin d’oeil quelque chose apparue dans sa main. Le coup fut cinglant.

“Qu’est-ce que c’était ?” cria Swan Lad.

“Swan Maiden n’utilise pas la brosse à cheveux ?” demanda gentiment la sorcière d’hiver avant de ramener à nouveau la brosse sur ses fesses. “Ou ne l’utilise t-elle pas sur tes fesses quand tu en as besoin ?”

“Qu’est-ce que tu racontes ?”

“Un garçon en pleine croissance comme toi ?” dit la sorcière d’hiver ramenant à nouveau la brosse. “Tu en as surement besoin chaque semaine !”

Le reste des méchants rit et Swan Lad n’en pouvait plus. Surtout à cause de la honte ressenti à cause des rires moqueurs des autres méchants. Des méchants qui pouvaient voir ses fesses nues. Des méchants qui ne laisseraient jamais Swan Lad oublier cette journée, pas tant qu’il vivait. Il devrait peut être même changer de prénom pour ça. L’injustice de devoir être traité comme un petit garçon pour ne pas être jeté contre les murs l’envahit. Les larmes se sont mirent à couler.

“Alors tu fais ça souvent ?” demanda Three Tone regardant l’expertise de la sorcière.

“Non pas du tout, ça m’est arrivé seulement deux trois fois de donner la fessée à mes nièces, mais rien de plus.” répondit la sorcière en continuant de fesser Benoit.

Pendant que les méchant discutèrent, Benoit continuait de pleurer. Il avait espéré que les larmes mettraient fin à la fessée, mais personne semblait s’en soucier, pas plus qu’ils ne se soucier des ses fesses rougisseantes.
Swan Lad sanglotait mais la sorcière ne semblait pas s’en rendre compte. Elle se contenter de balayer et de frapper avec la brosse à cheveux les fesses du jeune homme.

“Eh bien on dirait que la fessée est terminée.” lâcha la sorcière avant de donner une dernière claque sur les fesses de Swan Lad. “Maintenant je vais être gentil te laisser quand tu te lèveras.”

Et dans un tourbillon de magie, Swan Lad se retrouva soudain debout et se détourna des autres. La sorcière lui remonta ses sous vetements, fort, trop fort, le faisant grimacer avec ses jambes brûlantes. Des larmes coulèrent dans son masque de cygne. La même chose quand elle lui remonta son bas de costume. Ses bras fonctionnèrent à nouveau mais plutôt que d’attaquer la sorcière il se frotta les fesses.

De longues minutes s’écoulèrent, mais tout ce que Swan Lad pu faire c’est sangloter. Il se rendit compte que les méchants avaient tour à tour quitter la pièce, et il finit par faire de même. Quittant le lieu de son humiliation.

lundi 28 octobre 2019

L'échange scolaire



“Mais je vous ai dit que les notes ne comptent pas pour les devoirs maison, alors pourquoi se donner la peine de les faire ?”

Benoit regarda exaspéré, la mère de sa famille d’accueil, Cathy. "Qui se soucie de savoir si je fais mes devoirs ou non?"

Du coin de l'œil, Cathy remarqua que sa propre fille Shannon avait frémi devant les mots de Benoit. La lycéenne de 18 ans a essayé de faire comprendre à son invité français qu’il devait se taire. Shannon savait que, quand sa mère était en colère, il valait mieux ne pas se disputer avec elle. Cathy garda cependant les yeux sur Benoit. «Moi, je m'en soucie.» Dit-elle fermement. «Pendant que tu seras avec nous, tu feras de ton mieux. Si tu as des problèmes avec ton travail scolaire, tu peux toujours demander de l’aide, je suis moi-même professeur, et je suis sûr que Shannon serait heureuse de t'aider aussi. "Cathy jeta un regard noir à Benoit qui fuyait le regard en traversant la cuisine pour sortir une bouteille d'eau du frigo.

"Ne pas faire ses devoirs n'est pas une option.", Continua Cathy sévèrement, repoussant une mèche de cheveux roux de son visage. Benoit se retourna et croisa les bras. «Alors, que voulez vous faire, vous asseoir à côté de moi et me regarder faire mes devoirs?» Pourquoi cette femme ne pouvait-elle pas le laisser seul ? Il n'était pas venu dans ce programme d'échange pour passer ses journées à étudier. Il voulait s'amuser pendant son séjour!

Cathy ne put contenir sa colère. «Je pourrais le faire. Mais pour le moment, tu es puni jeune homme. Jusqu'à lundi, tu ne quitteras la maison que pour aller à l'école, c'est clair?! ”

La mâchoire de Benoit tomba. Il ne pouvait pas croire ce qu'il entendait. Ses parents n'avaient jamais étaient aussi oppressants avec lui. Depuis l'âge de douze ans, on lui avait dit qu'il était assez âgé pour s'occuper de son propre travail scolaire, que c'était sa propre responsabilité. "Jusqu'au lundi?!", S'exclama-t-il avec colère. «Mais nous ne sommes que mercredi et j'ai déjà des projets pour ce week-end!» Il jeta un coup d'œil à Shannon pour obtenir de l'aide, mais elle fuya le regard de Benoit.

"Tu m'as bien entendu. Maintenant, va dans ta chambre et restes y. Je t'appellerai pour le dîner. »Dit Cathy froidement. "Si j'étais toi, je commencerais à rattraper les travaux manqués." Furieusement, Benoit tourna les talons et sortit de la cuisine. Il claqua la porte de sa chambre à l'étage. Cathy soupira.

Shannon repoussa sa chaise. "Je dois aller à la bibliothèque.", Dit-elle à sa mère, sèchement. «Je serai de retour pour le dîner.» Elle attrapa les clés de sa voiture sur la table de la cuisine et quitta la pièce. Avec un autre soupir, Cathy se laissa tomber sur la chaise vide en se frottant les tempes.

Cela semblait une si bonne idée d’accueillir un étudiant en échange scolaire pour vivre avec eux. Sa fille, Shannon, était fille unique et Cathy et son mari, Malcolm, avaient pensé qu'il serait bien pour elle d'avoir quelqu'un avec qui traîner, même s'ils savaient qu'il y aurait des problèmes. Intégrer un étranger dans sa famille, en particulier une personne d'origine culturelle différente, n’est pas facile. Mais en toute honnêteté, il fallait bien avouer que séjourner avec Benoit avait très bien fonctionné au cours des six dernières semaines. En général, l'étudiant était amical, enjoué et serviable, et Shannon et lui s'étaient immédiatement liés d’amitié. L'école était une tout autre histoire cependant. Jusqu'ici, Malcolm et Cathy n'avaient pas réussi à lui faire prendre l'école au sérieux. Voyant qu'ils obtenaient de bonnes notes de Shannon, ils n'étaient pas disposés à laisser Benoit s'en tirer avec son attitude nonchalante. Deux jours auparavant, Cathy avait parlé à son mari de la nécessité de discuter de l’école avec Benoit. Encore.

"Bien", murmura Cathy en se levant à nouveau. Il était inutile de continuer à s’indifférer comportement du garçon. Elle parlerait à nouveau avec Benoit plus tard, après le dîner. Elle jeta un coup d'œil à l'horloge par-dessus le comptoir et vit qu'elle avait encore du temps pour classer les papiers avant de commencer à dîner. Elle est allée à son bureau et s'est mise au travail.

Benoit mit un peu plus de temps à se calmer. Il était furieux d’être privé de sortie. Qui cette femme pensait-elle être, sa mère? Le priver de sortie ? Il avait 19 ans, pas trois! Et ce week-end était important ! Leslie, l'amie de Shannon et de Benoit, organisait une fête ce vendredi et tout le monde serait là. Tout le monde sauf moi, pensa Benoit. Il devait simplement reparler avec Cathy, lui expliquer. Il était hors de question qu’il rate cette fête. Peut-être que Shannon pourrait l’aider à élaborer une stratégie.

Benoit fronça les sourcils en se souvenant du regard froid de Shannon plus tôt. Pourquoi a-t-elle réagi comme ça? Ils s'entendaient normalement bien. Alors pourquoi ce visage froid ?



Cathy se retourna quand elle entendit un bruit de pas derrière elle, s'attendant à voir Shannon. Mais c'était le visage de Benoit qui apparu dans son bureau. Les lèvres de Cathy se sont éclaircies. "Je crois que je t'ai dit de rester dans ta chambre, Benoit."

Benoit hocha la tête. "Je sais. Je me demandais si je pouvais vous parler une minute. »Cathy le regarda un instant, puis désigna la chaise à côté du bureau. Benoit s'assit. Il regarda pensivement la femme. "Cathy, pourquoi Shannon était-elle si en colère ?"

Cathy prit son temps pour répondre. Elle remit le capuchon sur le stylo rouge avec lequel elle classait les papiers, puis dit lentement. «Je suppose que Shannon a eu l'impression que je te laisse facilement partir.»

«Me laisser partir facilement?», Éclata Benoit. "Tu dois être en train de rigoler!" Cathy se tourna vers le garçon et le regarda dans les yeux. «Benoit», dit-elle doucement, «Shannon ne t'a-t-elle jamais dit comment nous la punissons dans de telles situations?» Benoit secoua la tête, réfléchissant. "Non, je ne pense pas." Il sourit. "Je ne pense pas que Shannon s’attire les ennuis de toute façon."

Cathy a rendu le sourire. «Tu as raison, en fait, elle est généralement très responsable. Mais quand elle ne l'est pas… »Elle hésita un instant. "Quand elle ne l’est pas, Shannon reçoit une fessée." Benoit la fixa avec incrédulité, comme si il n'était pas sûr d'avoir bien compris. “Une fessée? Vous voulez dire des claques sur les fesses, ce genre de fessée? »
« Oui. »Répondit simplement Cathy. "Ce genre de fessée."

Benoit la fixa, sans voix. «Mais c'est une punition pour un enfant.» Dit-il finalement. «On fait ça sur les enfants quand ils sont jeunes.» Cathy sourit. «Des enfants plus âgés comme Shannon bénéficient parfois d'une bonne fessée, croyez-moi.»

"Et Shannon a pensé que tu devrais aussi me donner une fessée?", Demanda Benoit avec hésitation.
"C’est ce que je pense.", Dit Cathy distraitement. "Mais tu n'es pas notre fils, alors je ne pense pas que ce serait approprié."

Benoit regarda Cathy d'un air pensif. Cela semblait trop beau pour être vrai, ce serait la réponse à son problème. "Alors si vous me donnez la fessée pour ne pas avoir fait mes devoirs, serais-je autorisé à aller à la soirée de Leslie vendredi?"
Cathy réfléchit à la question. "Oui, je pense que oui."

Benoit la regarda. "Je pense que Shannon a raison, ce n'est pas juste que vous me traitiez différemment.", Lâcha-t-elle. «Je préférerais avoir une fessée que d’être privé de sortie.»
Cathy éclata de rire. «Oh non, crois-moi. Les fessées ne sont pas amusantes. "son visage redevint sévère," Si tu ne veux pas être puni, tu devrais peut-être envisager de faire ton travail scolaire. "
Benoit a répondu. «Mais je veux vraiment aller à la fête vendredi.. s'il vous plaît, Cathy."

Cathy se mordit la lèvre. «Je ne suis pas sûre de ça, Benoit, et de ce que tes parents diraient.»
«Mais j'ai 19 ans.» Lui rappela Benoit. “Je peux prendre mes propres décisions.”
“Hm. Je suppose que oui. ”, A déclaré Cathy pensif. "J'y penserai. S'il te plaît, retourne dans ta chambre, je viendrai te voir quand ma décision sera prise.
Benoit sourit. “ Merci! »Il se laissa tomber de sa chaise avant de sortir. OUI! Alors il irait à cette fête !

En haut, il arpentait sa chambre, incapable de s'asseoir. Benoit n'était pas inquièt pour la fessée. Cela ne pouvait être pire que de manquer la fête de Leslie.

Un peu plus tard, on frappa à la porte. Benoit s'assit sur le bord du lit quand Cathy entra. "Eh bien, Benoit.", Dit-elle. "J'y ai pensé, et il ne fait aucun doute dans mon esprit qu'une fessée te ferait du bien, il n’est pas acceptable de ne pas faire ses devoirs trois jours de suite." Benoit a senti le "mais" venir et attendit avec impatience.

«Mais», a poursuivi Cathy, «tu n'es pas notre fils et tu n'as probablement jamais été fessée auparavant. Je vais donc te laisser le choix. Si, à un moment quelconque, tu veux que je cesse la fessée, je la cesserai. Mais si je la cesse tu n’iras pas à la soirée vendredi. Est-ce clair? Benoit hocha la tête avec impatience. "D'accord mais je ne te demanderai pas d’arrêter."

"Très bien c’est ta décison.", Dit Cathy. Elle regarda l'adolescent. «Je reviens tout de suite."

Benoit se leva nerveusement près de son lit, attendant. Cathy rentra dans la pièce en tenant une grande brosse à cheveux ovale. Benoit était confus. Qu'est-ce que Cathy va d'une brosse à cheveux?

La femme s'est assise sur le lit, la brosse à cheveux à côté d'elle, faisant signe à Benoit de se tenir à sa droite. «Eh bien, jeune homme. Comme je tel'ai déjà dit, nous prenons très au sérieux le travail scolaire dans cette maison. Ne pas faire ses devoirs n'est tout simplement pas une option, et je peux t'assurer que désormais tu seras toujours puni lorsque j'apprendrai que tu as négligé le travail à l'école. »Alors que la réprimande continuait, Benoit fut surpris de sentir ses joues brûler. Il se sentait stupide de rester là, comme un petit enfant, à écouter la remontrance et il voulait juste recevoir la fessée.

Il n'a pas dû attendre longtemps. Au bout de quelques minutes, Cathy dit: «Bien, descendons ce jean.» Benoit s’indigna. "Quoi?" Non, non, non, non, non!

"Les fessées sont généralement données sur les fesses nues dans cette maison.", A expliqué Cathy. "Sachant que tu n’es pas notre fils, tu peux garder ta culotte, mais ce jean va tomber." Elle déboutonna et dézippa le jean du garçon, et le tira jusqu'aux genoux. Avant que Benoit ait eu le temps de réagis dans son boxer blanc, Cathy pris le poignet de Benoit et tira le garçon sur ses genoux.

Benoit n'était pas sûr de ce à quoi il s'attendait, mais certainement pas à ça. S'étendre sur les genoux de Cathy était tellement embarrassant. Pour la première fois, il doutait d'avoir pris la bonne décision. "Bien, jeune homme", dit Cathy, "voyons si nous ne pouvons te forcer à prendre l'école au sérieux." Benoit tressaillit lorsque la paume de Cathy s’abattit sur ses fesses pour la première fois, puis une seconde fois, jusqu'à ce qu'il ressente les fessées à venir à un rythme soutenu. Benoit trouva que cela lui piquait certes, mais que c'était supportable, alors que les fessées pleuvaient sur ses fesses et que la brulure se répandait sur celles-ci.

Cathy a continué de le gronder. «Tu es un garçon intelligent et je veux que tu fasses de ton mieux. Tu n'es pas seulement là pour t’amuser, mais aussi pour étudier. »Elle accéléra le rythme de la fessée. Le garçon avait assez bien résisté jusqu'à présent, pensa-t-elle en lâchant une volée de fessées. Benoit ne criait pas trop et ne se tortillait pas plus que ça. «Je me moque de savoir si tes notes comptent ou non, parce que tu n'apprends pas pour les notes - tu apprends pour la vie."

Benoit se mordit la lèvre pour éviter une réponse désinvolte. Bien plus que d'avoir le dernier mot, il voulait que cette fessée se termine. A présent, la belle chaleur sur ses fesses avait été remplacée par une sensation de brûlure, et plus cela durait, plus ça faisait mal. Il espérait que ce serait bientôt fini et voulait juste se lever de cette position indigne, étalé sur les genoux de la mère de sa famille d’accueil, son jean serré autour de ses genoux.

Cathy fessait encore et encore. Benoit savait maintenant ce qu’elle avait voulu dire quand elle avait dit que les fessées n'étaient pas amusantes. Ce n'était pas du tout comme Benoit l'avait imaginé. Ça faisait plus mal qu'il ne l'avait prévu. Il ressentait beaucoup de honte et d'humiliation. Il serra les dents. Eh bien - si il voulait aller à cette fête, il devra simplement supporter ça.

Cathy se sourit à elle-même. Les fesses du garçon était maintenant uniformément rose et Benoit commencait à se tortiller, essayant d’éviter la fessée. Bien, pensa Cathy, on dirait que je commence à faire un bon boulot. Et attendez, mon garçon, que je commence avec la brosse à cheveux.

Elle arrêta de donner la fessée et entendit Benoit expirer avec soulagement. «Pas besoin de vous détendre, mon cher, nous n'avons pas encore fini.» Dit-elle en prenant la brosse à cheveux. Benoit était consterné. Pas encore fini? Combien de temps cette fessée sordide était-elle censée durer?

Cathy utilisa sa main libre pour frotter le derrière du garçon. Il était déjà assez brulant et Cathy allait s'assurer qu'il soit beaucoup plus brulant. Elle retroussa le boxer de Benoit, le plaçant entre les fesses du garçon. Benoit se tortilla mal à l'aise. Que faisait cette femme? Quoi qu'il en soit, Benoit avait maintenant le sentiment qu'il ne l'apprécierait pas.

CLACK

Benoit cambra le dos et poussa un cri strident alors que la brosse à cheveux frappa ses fesses, maintenant presque nue. "OWWWWW - QUE FAITES-VOUS ???", haleta-t-il.

CLACK ;

"Je te donne une fessée.", Répondit froidement Cathy CLACK! La brosse atterri pour la troisième fois sur le derrière du garçon. Cathy le serra plus fermement autour de la taille, observant les trois marques rouges de la brosse à cheveux se former sur les fesses précédemment roses. Elle releva la brosse à cheveux.

CLACK ! «Je ne vais pas - CLACK! - négliger - CLACK! - l’école - CLACK! - pendant que vous - CLACK! - serez là! »

Cria Benoit, il agita les pieds et hurla, il cambra le dos dans une tentative futile de se dégager des genoux de la femme alors que la brosse à cheveux se posait encore et encore sur son derrière.

"OWWWWWW - NOOOON STOP !!!", hurla-t-il. La douleur était incroyable, Benoit n'avait jamais rien ressenti de tel auparavant. Il émit un sanglot alors que Cathy s'arrêtait, mais la fessée n'était toujours pas terminée. Cathy était simplement fatiguée d'essayer d'empêcher le garçon de se tortiller. Elle plaça sa jambe droite sur celle du malheureux et reprit la brosse.

CLAC !
CLAC !
CLAC !

Et ainsi de suite. Benoit hurla. "STOP !!! S'IL VOUS PLAÎT - CA FAIT MAL! »Sa main revint pour protéger ses fesses, mais Cathy l'attrapa simplement et l’amena au bas du dos de Benoit. "Bien sûr que ça fait mal, c'est une fessée." Cathy savait que Benoit en avait assez reçu et finit la fessée avec quelques claques fortes, ce qui fit hurler le garçon encore plus qu’avant.

Cathy a mis la brosse de côté. "Tu peux te lever.", Dit-elle doucement. Les mains de 'Benoit volèrent jusqu' à ses fesses, se frottant furieusement et luttant contre les larmes. Cathy remarqua que le visage de Benoit était presque aussi rouge que ses fesses. Bon, pensa-t-elle, on dirait que le jeune homme a appris quelque chose. Elle tira doucement le garçon pour s'asseoir à côté de lui sur le lit.

«Pourquoi ne fais-tu pas la sieste maintenant? Tu te sentiras mieux quand tu te réveilleras. Benoit hocha la tête.

Allongé sur le côté, il n'osait pas regarder Cathy dans les yeux, il était tellement embarrassée.
«Je te laisse dormir maintenant.”

Son ton doux et aimant fit monter les larmes aux yeux d'Benoit. «Je suis désolé» murmura-t-il. « Je ne le referai plus. Je vais étudier, je te le promets. »
« Je sais. »Dit Cathy en se frottant la tête. «Maintenant, dors un peu.»

Elle ramassa le jean de Benoit par terre et le suspendit à une chaise. La propreté était quelque chose d'autre dont ils devront discuter à un moment donné…


Benoit se réveilla une heure plus tard et plissa les yeux au réveil. L'heure du dîner, il ferait mieux de se lever. Il se leva délicatement du lit et se plaça devant le miroir. Il a descendu son boxer. Wow, ses fesses étaient encores rouges. Il s'attendait à ce que le rouge disparaisse plus rapidement. Ses fesses, c'était plutôt douloureux. Il savait juste que s'asseoir serait inconfortable. Il soupira et enfila rapidement son jean. Quelle journée! Il ne considérerait plus les fessées comme des «punitions pour enfants», cela était certain.

Cathy sourit quand Benoit entra dans la cuisine. «As-tu fait une bonne sieste?» Benoit acquiesça, l'air embarrassé. "Oui, merci ..." C'était un effort de regarder la femme dans les yeux. «Je voulais dire que je suis désolé. Je ne voulais pas être difficile. », Laissa échapper Benoit, surpris de lui même. Il n'avait pas prévu de dire quelque chose comme ça.

Cathy serra Benoit dans ses bras. "Je sais chéri. Ne t'inquiète pas. Maintenant, assieds-toi, le dîner est prêt. »Benoit sourit et se laissa tomber sur sa chaise. Ce sourire se transforma en une grimace. Il avait eu raison - s'asseoir était inconfortable.

Malcolm et Shannon entrèrent alors que Cathy posait la lasagne sur la table. Malcolm sourit et salua Benoit, mais Shannon évitait toujours de le regarder.

"Cela a l'air bon.", A déclaré Malcolm. Se tournant vers les étudiants, il dit: «Comment s'est passée votre journée?»
«Assez bien.», Dit Shannon, semblant toujours légèrement boudeuse. Malcolm fronça les sourcils mais se tourna vers Benoit. «Benoit, as-tu passé une bonne journée?»

Benoit rougit furieusement et baissa les yeux sur son assiette. Cathy lui laissa le temps de répondre, mais quand il devint évident que Benoit n'allait pas répondre à la question de Malcolm, elle dit: «En fait, la journée de Benoit n'a pas été trop bonne.»

La tête de Benoit se leva. S'il te plaît, ne leur dis pas, pensa-t-il, s'il te plaît, ne dis pas…

"Benoit et moi avons discuté du travail scolaire aujourd'hui, après l'appel de l'école pour me dire quil n’avait pas fait ses devoirs trois jours de suite.", Continua calmement Cathy, regardant Shannon du coin de l'œil qui poussait sa nourriture. "J'ai donné une fessée à Benoit et il m'a promis de travailler plus à partir de maintenant." C'est

maintenant la tête de Shannon s’est levée. Incroyablement elle regarda sa mère et Benoit. "Tu as fessé Benoit?"

Benoit était mortifié. Enterrez moi maintenant, pensa-t-il désespérément, ne regardant personne. Cette fête a intérêt à être bonne, après tout ce que j'ai vécu pour pouvoir y aller.

Cathy a regardé sa fille. "Oui, Benoit a pensé que c'était injuste si nous vous traitions différemment."

Sans voix, Shannon jeta un regard admiratif à Benoit avant de retourner à sa nourriture. Benoit leva les yeux à temps pour voir Cathy sourire et lui faire un clin d'œil. Timide, il lui rendit son sourire et pour la première fois depuis son arrivée, il se sentit comme un membre à part entière de la famille.

samedi 5 octobre 2019

Un week-end à Saumur


Cette histoire a été écrite par Julien Simon, merci à lui. Vous pouvez vous aussi envoyer vos histoires. 


Sur un site web consacré à la fessée, j'ai rencontré un couple dont le mari 70 ans et la femme 62
m'ont proposé après bien des échanges de messages de venir passer un weekend chez eux. Ce n'est
pas trop loin de chez moi alors j'ai accepté. Je savais en gros ce qui m'attendait. Je devrais servir tout
le weekend à table eux deux et leurs invités... et subir chaque fois que nécessaire, une fessée
déculottée. Rien que cela déjà me plaisait beaucoup....

Lorsque je suis arrivé, j'ai découvert une ferme, assez peu rénovée et fort vétuste. Le couple en
question était bien conforme à ce que j'imaginais avec les photos échangées. Lui gros en partie
chauve, une casquette vissée sur la tête, elle, les cheveux gris blanc, pas mal foutue sous une robe au
genoux. très sèche, elle dégageait un certain charme d'autrefois. Elle me dit qu'elle avait enseigné
toute sa carrière dans une école privée. Lui avait été agriculteur, en retraite. On est entré. J'avais
emmené un petit bagage léger, ne voulant pas m'imposer.

Le Monsieur, Monsieur Paul, m'a tout de suite mis à l'aise. :" ici ce sera des vraies fessées, pas des
fessées d'amateurs comme tu as du en recevoir" Il m'a demandé si j'acceptais, bien sur j'ai dit oui !!!
quelle question !!!

il m'a servi un verre pendant que sa femme Madame Louisette est sortie de la grande salle. Elle est
revenue alors que je finissais mon verre de vin blanc, avec toute une série d'objets dans les mains :
martinet, paddle en bois, paddle en cuir, canne anglaise, badine, etc... je n'en croyais pas mes yeux !
et au milieu de tout ça j'ai vu des godes... elle a suivi mon regard et m'a dit "Paul ne peut plus alors
on fait avec". J'étais sidéré par tant de liberté de langage et de pratique.... alors que j'avais été servi
d'un deuxième verre de vin blanc, je fus conduit à ma chambre du weekend. Un lit en fer, une place,
une armoire et c'est tout.

Comme je demandais où se trouvaient les toilettes, je les vis sourire et ils ne me répondirent pas.
Revenus à table, et ayant bu mon troisième verre de vin blanc, Madame Louisette me dit qu'elle était
très contente de ma tenue vestimentaire, très scolaire : culotte courte en velours très courte à raz les
fesses, tenue avec des bretelles, longues chaussettes grises, et soulier noir. Elle me dit alors qu'il

faudrait bientôt vérifier si dessous c'était aussi bien... je rougis et ne dis rien. Puis, j'ai eu envie de
faire pipi... je demandais à nouveau les toilettes et Madame Louisette m'a répondu que non, je n'irai
pas aux toilettes, je n'avais qu'à me retenir encore. J'ai insisté, et là, j'ai pris une claque sur la joue. je
me suis levé d'un bond, et là, une claque sur les cuisses. je me suis rassis et nous avons parlé de mes
expériences de fessées, de qui m'en avait donné, de comment, etc etc...je me tortillais sur ma chaise,
serrant ma main droite sur mon sexe au travers de la culotte courte... je voyais bien leurs échanges
de sourire je savais comment ça allait finir et c'est arrivé. N'en pouvant plus j'ai senti que je faisais
pipi à la culotte... bien sur, ça a coulé, inondant ma culotte courte et ruisselant le long de ma chaise.
Monsieur Paul s'est levé, m'a pris le bras droit, et m'a courbé sur la longue table en bois. calmement,
avec des gestes très maîtrisés, il a saisi le paddle en bis et a commencé à l'appliquer au travers de la
culotte courte en velours trempée. Puis au bout d'une vingtaine de coups, il a dégrafé mes bretelles,
a fait tomber sur mes chevilles la culotte courte mouillée et a dévoilé ma culotte blanche en coton. il
m'a alors couché sur ses genoux et m'a appliqué sur la culotte une magistrale fessée à la main. Ces
mains étaient de vrais battoirs, tellement elles étaient rêches et caleuses. Enfin, il m'a baissé la
culotte et Madame Louisette a dit que la couleur de mes fesses lui plaisait bien. Elle a dit à son mari
de stopper la fessée car sinon "il ne tiendra pas le weekend le pauvre garçon". J'ai été mis au coin et
mains sur la tête.

Au bout d'un quart d'heure, Madame Louisette m'a dit que je pouvais me reculotter j'ai demandé à
me changer elle a refusé d'un sourire cruel. Je l'ai ensuite aidé à préparer le repas du soir. Et quand
j'ai mis la table, j'y ai mis pour 8 personnes. J'étais transi, j'allais servir 8 personnes et prendre des
fessées devant eux tous ? moi qui ai toujours aimé recevoir des fessées déculottées en public, j'allais
être servi !!!!

les invités sont arrivés, tous de leurs âges sauf... deux d'entre eux. Une jeune femme de 25 ans
environ et un jeune homme de 30 ans environs. Là, j'étais soudain moins fiérot... Ils ont tous les deux
regardé avec attention ma tenue, et se sont adressé des regards et des sourires complices.... L'une
des invités leur a dit que ce soir ils risquaient bien de voir ce qui arrivait au vilain garçon quand il
n'était pas sage....j'ai rougi et les deux jeunes aussi... Ils avaient été amenés ici chacun par un des
invités du couple. j'ai servi l'apéritif et l'un des invité a dit que ça sentait le pipi... Monsieur Paul a dit
tout simplement "ben oui le Julien a pissé dans ses culottes". Gros éclats de rire chez ces habitués
visiblement des soirées du couple... Quand je me penchais sur la table basse pour prendre le plateau
et servir les gâteaux apéritifs, je savais que l'on voyait la naissance de mes fesses, faut dire que
Madame Louisette avait remonté mes bretelles autant que possible pour bien dégager mes cuisses...
une femme a même dit qu'on voyait un bout de ma culotte et que c'était charmant....

Au moment de passer à table j'ai desservi et ouf pas d'accident, je n'ai rien renversé. Puis j'ai servi à
table. Quand je servais les assiettes à chacun, j'ai senti des mains qui me palpait les cuisses, les
fesses, une main s'est même glissée sous ma culotte courte pour toucher ma culotte, ça m'excitait
vraiment. Pis, une des invités a dit que son assiette était froide. Là, ce fut un grand silence. Monsieur
Pal m'a demandé d'aller près de la dame en question, une grosse femme vulgaire, trop maquillée et
parlant fort. Elle a reculé sa chaise, m'a couché sur ses genoux et m'a administré une fessée à la main
au début doucement puis très très fort... Un homme a dit qu'une fessée ça se donnait cul u alors elle
m'a relevé, a enlevé mes bretelles a baissé ma culotte courte et tout de suite m'a déculotté. j'étais là,
le zizi à l'air, pendant, et les fesses offertes. Elle m'a recouché sur ses genoux et a repris la fessée à la

main. Quand elle cessa, j'avais les fesses en feu. Me relevant j'ai croisé le regard de la jeune femme,
elle baissa la tête mais n'avait rien perdu du spectacle. Le jeune homme lui, avait sa main droite sous
la table je devinais ce qu'il faisait ! Au fromage, là encore nouvelle bêtise de ma part. Le Monsieur qui
releva ma faute ne pris pas la peine de demander quoi que ce soit, il se leva d'un bond, me courba
sur la table, me baissa la culotte courte et remonta ma culotte en coton entre ems fesses. Il avait
bien entendu comme tout le monde vi les accessoires que Madame Louisette avait laissé à la vue de
tous, il alla s'emparer du paddle en cuir et me cingla les fesses avec une rare violence, j'ai gémit, je
me suis mis à pleurer contre ma volonté, ça sortait tout seul... il m'a laissé pantelant, je n'arrivais pas
à me relever après sa fessée et les commentaires ont fusé "celui ci il résiste bien, on va voir bientôt
jusqu'où"... Un autre homme s'est levé et a pris sa ceinture, il vint à moi, me déculotté sèchement et
me donna de la ceinture une bonne vingtaine de coups. j'étais effondré, je ne sentais plus mes
fesses, elles n'étaient plus qu'un amas rouge et violet. comme je me relevais enfin et voulu me
reculotter, ce me fut interdit par Madame Louisette qui me dit que je finirai de servir le repas comme
ça, culotte aux chevilles. Marcher n'était pas facile et pas question de faire tomber quoi que ce soit.
Lorsque j'ai servi le dessert et me suis approché de la jeune femme, j'ai vu qu'elle regardait mon zizi
tout petit ... elle rougit... quant au jeune homme lui, toujours une main sous la table ! et il fut vu ...
par une dame aussi sèche que grande... Alors Monsieur Pail s'est levé, est allé direct dur le gars, et a
bien vu en le levant de force la bosse qui déformait son pantalon. Il bandait et se caressait, jouissant
de mes fessées reçues. Monsieur Paul, aidé par un autre homme l'on prestement mis en caleçon,
puis cul nu, il a été courbé sur la table, juste à côté de la jeune femme et il a reçu la canne anglaise
directe... il a crié, il a pleuré beaucoup, il a supplié. Une des dames lui a dit alors "je t'avais prévenu,
ici ça ne rigole pas et je t'avais dit que les vilains garçons on les punissaient comme ça, tant pis pour
toi"... j'ai assisté à sa fessée sans broncher, puis j'ai continué à servir le dessert. Le garçon fut autorisé
à s'asseoir mais pas à se reculotter. Je ne savais pas quoi penser... pourquoi elle et lui étaient là en
fait ? pour me regarder prendre des fessées? pour en subir aussi ? Après le repas, les deux jeunes et
moi avons été faire la vaisselle. Nous nous sommes reculottés, sans rien demander. La jeune femme
nous observait et me demanda "alors ça fait quoi ? tu aimes ? je lui ai dit la vérité. Oui, j'ai été
marqué très tôt par la fessée, que j'en avais en fait toujours reçu, même à mon âge et qu'il m'en
fallait régulièrement. La fille a rougi et a voulu voir l'état de mes fesses... je me suis déculotté et lui ai
montré. Elle poussa un Ohh en voyant mes fesses marquées et rouge vif. Et elle se mit à pleurer. je
ne comprenais pas pourquoi alors je l'ai prise dans mes bras et les réconforté lui disant que ça ne
risquait pas de lui arriver à elle.. Elle me répondit que si, car elle avait fait une faute grave et si elle
était là c'était aussi pour être puni. Je n'en revenais pas...

Nous fûmes appelé au salon, et Madame Louisette s'est levé. Elle a expliqué à tout le monde que
j'étais en fait un sale morveux qui à mon âge faisait encore pipi à la culotte et que j'aimais recevoir
des fessées cul nu devant tout le monde, et que ce weekend j'allais en recevoir tellement que ça
allait me passer. Ensuite elle regarda le jeune homme et dit 'lui, si il est là c'est parce qu'il a volé dans
le magasin de Madame Michelle, il a été pris sur le fait et il a eu le choix : la gendarmerie ou la
fessée"... puis se tournant vers la jeune femme, elle dit "si Nadège est là ce soir, et demain, c'est
qu'elle aussi a commis un délit. Cette jeune institutrice s'est permise de donner la fessée déculottée
à la petite fille de Madame Simone. Elle est là pour voir ce que cela fait que de se faire déculotter et
fesser, ainsi elle ne recommencera plus je pense".

Nadège puisqu'enfin je connaissais son prénom, se mis à pleurer et à demander pardon. En vain.
Madame Louisette se leva doucement, puis vint se placer face à Nadège. Elle lui dit "ici, nous

sommes un groupe de personnes qui avons toujours connu 'autorité et la juste punition Moi même
lorsqu'enseignante j'ai donné des fessées cela a toujours été pour des bonnes raisons, pas pour un
rien comme tu l'a fait. Alors maintenant tu vas te laisser faire et tu tires bien car sinon, une plainte et
ta carrière est foutue.Et ton directeur d'école, ici présent est de mon avis, ainsi que tes collègues.
Nadège allait donc se faire fesser devant son directeur et peut être des collègues ! incroyable mais
tellement jouissif !!! C'tait tellement fort que j'en ai fait un petit pipi dans ma culotte...

Alors Nadège en pleurs, fut installée sur les genoux de Madame Louisette qui remonta lentement sa
jupe, pour dévoiler à tout le monde moi y compris, une magnifique grande culotte blanche à petites
fleurs en coton.... une vraie culotte de gamine.... Madame Louisette commença la fessée directement
à grandes claques rapides et fortes... je voyais bouger les fesses de Nadège, je la voyais pleurer je
l'entendais crier... puis au bout d'une trentaine peut être plus, de claques, la fessée prit fin...
Madame Louisette attrapa l'élastique de la jolie culotte et commença à la baisser. Nadège mit sa
main pour empêcher la déculottée mais la déculottée vint et Nadège pleura encore plus, elle était
visiblement effondrée, de douleur et d'humiliation. La fessée repris pour un bonne vingtaine de
claques et Madame Louisette la releva lui demandant de se pencher sur la table du salon jambes
écartées. Là, on pouvait voir les lèvres de son sexe, c'était féérique... Puis Madame Louisette a pris le
martinet et a cinglé les cuisses et les fesses de Nadège, qui avait cessé de pleurer, elle gémissait
comme absente. Lorsque la fessée fut finie, Madame Louisette lui dt que la prochaine si il y avait
prochaine fois, ce serait pire, ce serait comme ce que j'avais reçu.

Puis le jeune homme vit arriver son tour, le vrai... Un gros homme le pris en main, le déculotta aussi
vite qu'il s'était levé et le courba lui aussi sur la table du salon. Il pris le paddle en bis et le frappa
jusqu'à ce que les cris du gars soient trop fort... ses fesses passaient du rouge au violet et je voyais
qu'il allait finir par avoir les fesses en sang. Ce qui arriva. Il fut mis au coin.

Puis, il fut décidé que tout le monde allait se coucher. Et rendez vous demain matin. N'ayant pas été
aux toilettes de la journée, je demandais à nouveau les toilettes et je pris une baffe. Madame
Louisette et une autre femme me conduisirent à ma chambre, me déshabillèrent entièrement et je fs
allongé sur lit. je vis la dame prendre dans l'armoire une couche culotte et elle me l'a mise. Je fus
couché, sans un "nonne nuit" en couche culotte. Je n'ai pas insisté, j'avais bien top mal aux fesses
pour s=risquer d'en prendre une autre. Il y eut des bruits, des cris, des pleurs, j'entendais de loin.. pis
'endormi.

Le dimanche matin je fus surpris de voir Nadège venir me réveiller et ouvrir les volets. Elle me dit
qu'elle avait dormi ici et qu'on lui avait demandé d'aller me réveiller. Je me suis levé, oubliant que je
portais une couche culotte... Nadège la regarda, me regarda et me dit "elle est pleine et ça pue"...
dans la nuit j'avais fais pipi et caca dans ma couche culotte.... Elle me sourit et me dit qu'elle aussi en
portait une. Je lui demandais de me la montrer elle me dit que de toute façon j'avais tout vu de son
intimité la veille alors oui, elle leva sa jupe et mon montra sa couche qui elle aussi semblait pleine de
pipi.... Je lui demandais si on lui avait proposé de la changer, elle me dit que non et n'avait pas osé
l'enlever de peur de la fessée.. On est descendu dans la cuisine, Madame Louisette y était. Elle nous
regarda et dit : "ça ne sent pas la rose ici"... elle vint vers moi, me baissa le short que j'avais mis par
dessus la couche et me l'enleva. Puis elle enleva la jupe de Nadège on s'est retrouvé tousles deux en
couche pleine dans la cuisine sans rien d'autre... On a eu droit à un bol de café et Madame Louisette
nous a dit d'aller aider Monsieur Paul dehors. On a bien été obligé de sortir comme ça... ça faisait un
drôle d'effet de marcher en canard avec la couche pleine, ce n'était pas désagréable du tout. et je
trouvais Nadège sexy en couche culotte. Et là, en arrivant près de Monsieur Paul je vois que celui ci
avait un appareil photo et nous prenait en photo. Je cru défaillir car la fessée oui j'aime ça, les
couches culottes pourquoi pas mais les photos c'était pas prévu ça... je le lui ai dit et là, il nous
apprends que la veille toutes nos fessées ont été filmés et prises en photos. Véridique...

Douche froide, la vraie. Comment un weekend de plaisir à recevoir des fessées et à regarder une
nana se prendre des fessées tourne en une seconde en désastre...

samedi 24 août 2019

Benoit et Caroline fessés à l'académie d'excellence


Benoit Dutal et Caroline Tainio étaient assis en silence dans la salle de réunion de l’académie d’excellence. Quinze jours s'étaient écoulés depuis l'incident survenu lors de la visite d'un lycée à Berlin pendant les vacances de Pâques. Mme Storey avait aménagé le hall et placé les chaises pour que le public puisse en être témoin.

Benoit et Caroline s'étaient introduits dans la ville lors de leur deuxième soirée à Berlin. Ils avaient pénétré dune boîte de nuit et bien que, contrairement à trois autres filles, ils ne s'étaient pas saoulés, ils avaient quand même défié Frau Kessler et Madame Harcourt. Pour cette raison, ils attendaient leur punition.

Pendant qu’ils attendaient l’arrivée de Mme Storey et de Mlle Downey, ils étaient surveillés par leur prof principale, Mme McNamara, qui les avait amenés dans la salle commune de la classe 13 et les avait fait descendre dans le hall pour leur punition. La petite maîtresse anglaise aux cheveux noirs était là, le premier jour après Pâques, lorsque Jasmine Storey avait sévèrement réprimandé les huit étudiants dans son bureau.

Nicola McNamara travaillait à l’académie d’excellence depuis 20 ans. Cependant, elle savait que même si elle était extrêmement stricte, une dose de discipline de Jasmine Storey ferait bien passer le message et le mauvais comportement de n'importe quel étudiant.

Elle avait été extrêmement énervée quand elle a appris ce que huit des étudiants avaient fait cette nuit-là lors de leur voyage à Berlin. La police locale leur avait dit que huit étudiants avaient été arrêtés pour ivresse et les professeurs ont été forcés d'aller les chercher au poste de police. Trois filles, Molly Redman, Lucy Robinson et Chloe Williams s'étaient tellement saoulées qu'elles avaient vomi pendant la garde à vue. Les professeurs ont dû annuler les activités du lendemain.

Dans des circonstances normales, Frau Kessler, la grande maîtresse allemande aux cheveux blonds, à lunettes n'aurait pas hésité à fesser chacun des étudiants pour ce qu'ils avaient fait, mais elle n'était pas sûre de pouvoir effectuer la punition dans un hôtel. Mme Harcourt avait convenu avec elle qu'il serait préférable les punir à leur retour à l’académie.

Les deux étudiants se tournèrent vers Nicola McNamara, qui se tenait à gauche, les bras croisés sur la poitrine. Ils se sont ensuite tournés pour regarder les doubles portes au fond de la salle. Les portes se sont ouvertes lentement et le public a commencé à se ranger dans la grande salle. Ils allaient bien être punis. Il n'y a aucun moyen d’échapper à la punition qu'ils allaient recevoir dans peu de temps. Ils allaient se faire fesser et ceci devant une vingtaine de personnes - leurs pairs, leurs professeurs et même des personnes qu’ils ne connaissaient pas vraiment.

Derrière les deux étudiants, la directrice de quarante-six ans, Mme Cedarside, s'est assise à côté de l'une des gouvernantes de l'école, Mme Jennifer Brown. À leurs côtés, Mme Kessler, Chloé Harcourt et l’assistante administrative Mia McKenna, qui avait participé au voyage à Berlin, siégeaient également. Viennent ensuite Wendy Marasse, adjointe de Mme Cedarside, et les assistantes, Kirsty Maitland, Laura Hatton et Charlotte Hickman. Dans la rangée derrière les professeurs, Laeticia Campbell était assise à côté de son équipe de onze préfets. Mme McNamara prit place à côté de Mlle Hickman, Tandis que Jasmine Storey et Helen Downey se dirigèrent vers la table où étaient déposés les outils pour punir les punis. Brosse en bois, ceintures en cuires et cannes.

Les chaussures à talons hauts de Jasmine et Helen firent un bruit presque assourdissant en marchant sur le parquet. Une fois arrivés à la table, elle vérifièrent les instruments qu’elles allaient utiliser, puis se tournèrent vers le public et les deux élèves, qui s’asseyaient, la tête baissée, regardant leurs chaussures. Mme Storey se dirigea vers le côté droit de la grande salle de réunion et ramassa deux chaises bleues qu'elle porta jusqu'à la table avant de les poser devant. Elle sourit à Mme Cedarside et passa ses cheveux bruns jusqu'aux épaules derrière ses oreilles.

La directrice se concentra sur les deux élèves qui continuaient de fixer le sol. Elle hocha la tête en retirant sa veste de marine qu'elle plaça au dos d'une des chaises. Elle remonta les manches de son chemisier, puis passa ses mains sur le devant de sa jupe. Jasmine Storey était calme mais à l'intérieur, elle était extrêmement en colère. La directrice adjointe de quarante-cinq ans regarda Helen Downey, qui acquiesça de la tête.

C'était l'heure.

“Bien, Caroline et Benoit. Vous savez tous les deux pourquoi vous êtes ici et ce qui va vous arriver cet après-midi. » lâcha Jasmine Storey.

Les deux étudiants levèrent les yeux de leurs chaussures et se concentrèrent sur Mme Storey, qui les regardait. Les élèves n'ont rien dit, mais ont simplement hoché la tête devant la sévère directrice.

«Très bien. Je veux que vous vous leviez et que vous marchiez vers la table. Vous enlèverez vos blazers, vos pantalons et vos culottes et vous plierez le tout proprement. Vous vous tiendrez alors devant ces deux chaises. »Elle indiqua les deux chaises devant la grande table avec sa main gauche.

Caroline Tainio et Benoit Dutal mirent un moment avant de se lever nerveusement et de marcher lentement vers la grande table sur laquelle les outils avaient été soigneusement disposés par Mme Storey. Alors qu'ils marchaient sur le plancher en bois, leurs chaussures faisaient un grand bruit qui coupait le silence. Les deux étudiants se regardèrent à nouveau avant de commencer à se déshabiller comme ils l'avaient appris. Ils ont lentement et soigneusement retiré leurs blazers de l'école, qu'ils ont pliés et placés avec précaution sur la table devant eux. Ensuite, ils se sont baissés puis ont retiré leurs chaussures, qu’ils ont placées sur le côté et à l’écart. Ensuite, ils ont dégagé et déboutonné leurs jeans qu’ils ont ensuite pliés et placés sur la table. Enfin, ils se sont détournés du regard du public et ont retiré leurs sous-vêtements avec précaution avant de les replier et de les placer par-dessus le tas de vêtements sur la table.

Ils restèrent restèrent face au public, conscients que leurs fesses nues étaient visibles de tout le monde dans la salle.

«Tournez-vous, et tenez-vous devant les chaises, s'il vous plaît.» La voix familière de Mme Storey rompit le silence.

Une fois qu'ils eurent suivi les instructions, Caroline et Benoit regardèrent Jasmine et Helen s'asseoir sur les deux sièges rembourrés bleus. Mlle Downey s'employa à retrousser les manches de son chemisier blanc et les regarda.

«Caroline Tainio, sur les genou de Mlle Downey. » Dit Jasmine.

Caroline obéit immédiatement. Elle savait que cela ferait mal mais était légèrement soulagée qu'elle soit punie par Mlle Downey et non par Mme Storey. Benoit Dutal secoua la tête avec incrédulité. Il savait qu'il recevrait une fessée plus sévère que son amie car les fessées de Mme Storey étaient toujours infligées de pleine force.

«Benoit. Viens et penche-toi sur mes genoux. »Mme Storey sourit avec un sourire mesquin envers le jeune brun.

Le jeune homme se dirigea lentement vers la directrice adjointe âgée de quarante-cinq ans et s'allongea doucement sur ses genoux, posant ses mains à plat sur le sol devant lui. Jasmine Storey plaça ensuite sa main gauche solidement sur le bas de son dos et sa grande main droite sur son fessier froid et exposé.

Benoit Dutal leva les yeux et put voir les jambes et les fesses de son amie allongés sur les genoux d'Helen devant lui. Il ferma les yeux et baissa la tête, essayant de se préparer à la punition qu'il allait recevoir. Il espérait ne pas crier ni pleurer. Mme Storey frotta les petites fesses rondes du jeune garçon et, fit un signe de tête à Helen Downey. Les dames levèrent la main droite et une seconde plus tard les abattirent avec une grosse claque sur les derrières de Caroline et Benoit.

Les deux élèves essayèrent de rester aussi immobiles que possible face à la douleur. Benoit Dutal s'est tortillé sur les genoux de la directrice générale adjointe, mais ses efforts ont été vains.

Clac ! Clac ! Clac ! Clac ! Clac ! Jasmine a lâché une série de lentes et sévères claques sur chaque centimètre des fesses de Benoit.

“Clac!” “Clac!” “Clac!” “Clac!” “Clac!” “Clac!” “Clac!” Ensuite, les cuisses du vilain étudiant ont elles aussi reçu la visite de la lourde main droite de Mme Storey.

“Clac!” “Clac!” “Clac!” “Clac!” “Clac!” “Clac!” “Clac!”

“Clac!” “Clac!” “Clac!” “Clac!” “Clac!” “Clac!” “Clac!”

“Clac!” “Clac!” “Clac!” “Clac!” “Clac!” “Clac!” “Clac!”

“Clac!” “Clac!” “Clac!” “Clac!” “Clac!” “Clac!” “Clac!”

“Clac!” “Clac!” “Clac!” “Clac!” “Clac!” “Clac!” “Clac!”

La directrice adjointe, a lancé une série de gifles frénétiques sur les jambes et sur les cuisses de Benoit Dutal. Elle resserra la main gauche autour de la taille du jeune homme de 23 ans, qui tentait d'échapper à la douleur qui lui était infligée aux fesses. Jasmine sourit en entendant les supplications du garçon, suivies de reniflements et de sanglots.

“S'il vous plaît, Mme Storey! S'il vous plaît, arrêtez! Je n'ai pas bu pendant mon absence! S'il vous plaît, Mlle!" Il leva la main droite pour essayer de protéger ses fesses de nouvelles claques, mais Jasmine l’en empêcha.

Il a continué à plaider auprès de Mme Storey, mais ses paroles ont été ignorées. La directrice adjointe était déterminée à faire un exemple de cette punition. La rumeur allait bientôt circuler autour de l'école à propos de ce qui s'était passé dans la salle de réunion de l’académie d’excellence, ce qui garantirait par la suite, un bon comportement des élèves. Jasmine Storey donna une longue fessée aussi forte qu'elle le put jusqu'à ce qu'elle ait transformé les fesses blanches de Benoit en une teinte rougeoyante de rose et de rouge.

“Clac!” “Clac!” “Clac!” “Clac!” “Clac!” “Clac!” “Clac!”

“Clac!” “Clac!” “Clac!” “Clac!” “Clac!” “Clac!” “Clac!”

“Clac!” “Clac!” “Clac!” “Clac!” “Clac!” “Clac!” “Clac!”

“Clac!” “Clac!” “Clac!” “Clac!” “Clac!” “Clac!” “Clac!”

Benoit Dutal a cessé de supplier Jasmine de s'arrêter. C'était inutile, peu importe à quel point il criait. Au lieu de cela, le public qui était assis, bouleversé par ce qu'il voyait, a eu droit à quinze minutes de pleurs, il pleurait et pleurait bruyamment tandis que la fessée de sa directrice continuait.

Juste devant Benoit, Caroline Tainio avait également du mal à se faire punir par Helen Downey. Elle avait commencé à pleurer après le premier coup avec la petite main droite d'Helen et, bien qu'elle n'ai pas imploré et crié comme son ami, elle pleurait de manière incontrôlable et ses larmes coulaient sur le plancher.

"Clac!" "Clac!" "Clac!" "Clac!" "Clac!" "Clac!" "Clac!" Mlle Downey a fessé Caroline entre les fesses et les cuisses.

"Clac!" "Clac!" "Clac!" "Clac!" "Clac!" "Clac!" "Clac!" Elle a laissé des empreintes de main sur le dos des jambes de la fille.

“Clac!” “Clac!” “Clac!” “Clac!” “Clac!” “Clac!” “Clac!” Sa fesse droite a reçu une demi-douzaine de coups.

“Clac!” “Clac!” “Clac!” “Clac!” “Clac!” “Clac!” “Clac!” La fesse gauche de Caroline a reçu sa part.

“Clac!” “Clac!” “Clac!” “Clac!” “Clac!” “Clac!” “Clac!”

“Clac!” “Clac!” “Clac!” “Clac!” “Clac!” “Clac!” “Clac!”

“Clac!” “Clac!” “Clac!” “Clac!” “Clac!” “Clac!” “Clac!”

Jasmine Storey s'arrêta et plaça sa main droite sur le chemisier blanc de Benoit qui le couvrait. Elle sourit en écoutant la respiration du garçon, qui était plus vif. Le jeune homme de 23 ans sanglotait et reniflait bruyamment et essayait de retrouver son calme, espérant contre tout espoir que sa punition soit finie. À la gauche de Jasmine, Helen fit également une pause, frottant doucement les fesses de Caroline.

«Levez-vous et marchez jusqu'à la table», dit doucement Mme Storey.

«Prenez une brosse et revenez ici. Benoit, vous allez vous pencher sur le genou de Mademoiselle Downey et Caroline, vous allez vous mettre sur mes genoux », a-t-elle poursuivi.

Il fallut quelques instants aux deux élèves pour se lever. Les deux se frottèrent les yeux avant de se diriger vers la grande table et de prendre à contrecœur l'une des brosses à cheveux que la directrice adjointe avait disposés. Ils retournèrent vers Helen et Jasmine et tendirent doucement les brosses aux dames. Mme Storey tapota fort sa brosse contre la paume de sa main droite et fit signe à Caroline Tainio.

«Sur mes genoux, vilaine fille.» Elle regarda la fille se poser soigneusement sur ses genoux, posant ses mains à plat sur le sol devant elle.

Jasmine Storey regarda Helen, qui avait pris la brosse de Benoit et attendait que le garçon se positionne sur ses genoux.

«Douze coups.», annonça Mme Storey en regardant Helen Downey, qui avait déjà soulevé la brosse à cheveux dans les aires.

Jasmine Storey leva aussitôt la brosse et les dames fessèrent de manière presque synchronisée.

"Claack!"

"Claack!"

"Claack!"

"Claack!"

"Claack!"

"Claack!"

Les professeurs se sont arrêtés pour laisser un répit aux deux élèves. Les larmes avaient continué à couler et les reniflements, les sanglots et les supplications étaient devenus plus forts.

"Claack!"

"Claack!"

"Claack!"

"Claack!"

"Claack!"

"Claack!"

Mme Storey sourit à Helen et les femmes placèrent leurs brosses sur le dos de Caroline et de Benoit, dont les fesses étaient rouges et douloureuses.

«Debout, allez vous pencher sur la table derrière vous.»

Benoit et Caroline avaient exécutèrent les instructions de la directrice adjointe et se penchèrent sur la table, visible des spectateurs. Jasmine Storey et Helen Downey se levèrent et se dirigèrent vers la table, posant les brosses et ramassant chacune une ceinture en cuir. Mlle Downey se dirigea vers Benoit et se pencha légèrement pour soulever le chemisier blanc du garçon. Jasmine se dirigea vers le côté gauche de Caroline et posa aussitôt le morceau de cuir sur les fesses de la fille, qui était rouge vif et qui, à l'évidence, tremblait depuis la punition.

«D'accord. Vous recevrez chacun six coups de ceinture de la part de chacune d'entre nous. Est-ce compris, Caroline? Elle attendit une réponse.

"Oui, M-Madame Storey", Caroline Tainio avait du mal à répondre en raison de la gêne qu'elle ressentait.

«Compris, Benoit?» Demanda Jasmine avec sévérité.

"Oui, Mme Storey," répondit Benoit.

Les deux enseignantes prirent position à la gauche de chaque élève et, une fois satisfait de leur position les ceintures volèrent dans les airs avant de retomber dans un claquement cinglant sur les fesses des deux punis.

Les deux élèvent se redressèrent instantanément et plaquèrent leurs mains sur leurs fesses alors que la douleur apparu. Les larmes coulaient.

«Restez immobile ou je doublerai les douze coups! »Mme Storey éleva la voix.

Caroline et Benoit regardèrent la directrice adjointe, mais obéirent rapidement, saisissant le bout de la table.Jasmine sourit à Helen et les dames remirent leurs ceintures sur leurs épaules droites, préparant le second coup contre les fesses à leur merci devant elles.

"Crack!" Le deuxième coup embrassa le centre du cul des deux élèves.

"Crack!" Plus de sanglots et de larmes des élèves.

"Crack!" Caroline se balança alors que la douleur se faisait sentir.

«Crack! ~ Benoit a soulevé son pied droit alors que la sangle se posait solidement au centre de ses fesses rouges et meurtri.

"Crack!" Helen claqua les fesses de Benoit sévèrement, très bas, entre la fesse et la cuisse.

Helen et Jasmine changèrent de place. Elles ne perdirent pas de temps à administrer la deuxième partie de la fessée, cette fois, Helen fessa Caroline et Jasmine fessa Benoit.

"Crack!"

"Crack!"

"Crack!"

"Crack!"

"Crack!"

"Crack!"

Les étudiants restèrent penchés sur la grande table malgré la douleur intense qu'ils ressentaient au fond. Dans le public, les réactions étaient différentes. L'un des préfets, Rachael Muldowney, avait agrippé la main de Kim Campbell et la serrait très fort. Elle ne voulait vraiment pas que deux de ses amis soient punis. Kim caressa doucement la main de son amie et lui sourit. Au premier rang, Jennifer Brown appréciait le spectacle. La femme de soixante-treize ans avait été chargée de discipliner les jeunes délinquants dans un centre de redressement au cours de sa carrière. Voir Helen et Jasmine punir les deux élèves lui rappelait beaucoup de souvenirs Elle aurait aimé pouvoir y participer.

Mme Storey et Mlle Downey ont posé les ceintures sur la grande table et ont ramassé les cannes qui seraient utilisées pour le final du châtiment. Les deux femmes les firent voler plusieurs fois dans les airs, à la fois pour le théâtre et pour annoncer à Caroline et Benoit ce qu'il allait se passer. Les deux étudiants fermèrent les yeux et resserrèrent davantage leur emprise sur la table alors que Jasmine Storey annonçait la suite des événements.

“Bien. Pour conclure votre punition, vous recevrez chacun douze coups de canne. »Elle balança sa canne dans les airs avant de continuer.

«Vous vous rendrez à mon bureau à la fin de la journée pour recueillir une lettre destinée à vos parents qui leur dira exactement pourquoi vous avez été puni aujourd'hui et ce qui vous arrivera à l'avenir si vous décidiez de vous conduire mal. Est-ce que je me fais bien comprendre? »Elle éleva la voix alors qu'elle prononçait les cinq derniers mots.

«Oui, Mme Storey», ont finalement répondu les deux élèves, entre leurs reniflements et leurs sanglots.

Les deux enseignantes reprirent leurs positions à la gauche de l'un ou l'autre étudiant - Jasmine à la gauche de Benoit et Helen à la gauche de Caroline. Les deux dames ont posée leurs cannes de 75cm de long sur les fesses, devant elles. Helen a placé sa main gauche sur sa hanche gauche . Elle tapota doucement la canne contre le fessier rouge et marqué de Caroline et regarda Jasmine, qui lui sourit et hocha la tête. Elles élevèrent leurs cannes ensemble et les firent voler dans les airs, se posant quelques millisecondes plus tard avec un «Thwack!» Qui résonna dans la grande salle de réunion.

Les deux élèves ont eu du mal à rester en place, mais ont eu peu de temps pour bouger car leurs professeurs ont aussitôt envoyé le deuxième coup, atterrissant quelques instants plus tard avec un autre «Thwack!

"Thwack!"

"Thwack!"

"Thwack!"

"Thwack!"

Helen Downey et Jasmine Storey ont fait une pause, chacune caressant les fessiers des élèves. Les deux fessiers étaient extrêmement chauds au toucher. Les professeurs ont échangé leurs places : Jasmine Storey se préparait à finir le châtiment de Caroline et Helen, désireuse d'achever Benoit Dutal. Une fois de plus, les dames levèrent leurs cannes en l'air et les abattirent quelques secondes plus tard, se posant au centre du fessier devant elles.

"Thwack!"

Une pause pour permettre de récupérer.

"Thwack!"

Les cris et les sanglots étaient les seuls sons entendus dans la salle de réunion.

"Thwack!"

Une autre pause alors que Jasmine attendait que Caroline remette son pied droit au sol, qu'elle avait soulevé.

"Thwack!"

Benoit Dutal a crié fort, avant d'enfouir sa tête plus profondément dans ses bras et d'essayer de l'étouffer.

"Thwack!"

Et enfin.

"Thwack!"

Mme Storey a pris calmement la canne d'Helen Downey et les a posés doucement sur la table où Caroline Tainio et Benoit Dutal ont continué de renifler, de sangloter et de pleurer de manière incontrôlable. Elle regarda les fesses de chaque élève et les toucha doucement de la main droite, souriant alors que Benoit grimaçait de douleur. Ils avaient tous les deux un ensemble clair de marques, les marques de la ceinture et de la brosse étaient également clairement visibles. Elle laissa les deux élèves penchés sur la table et se tourna pour faire face au public.

«C'est le premier groupe à avoir été puni aujourd'hui et je punirai les autres dans la semaine. Espérons qu'ils apprendront que les élèves de l’académie ne se comportent pas de manière aussi inacceptable. »Elle sourit à Anita Cedarside, la directrice qui regarda simplement sa montre.

«Merci d'avoir été témoin de cela. Madame Kessler, Mademoiselle Harcourt, Mme McNamara et les préfets, j'espère bien que cela montre que ces jeunes gens ridicules sont désolés d'avoir porté atteinte à la réputation de l'école."

À ce moment, le public a commencé à se lever et à se diriger vers la sortie au fond de la salle. En quelques instants, Jasmine Storey s'aperçut qu'il ne restait plus qu'Helen, Caroline, Benoit et elle-même dans la grande salle.

"Pouviez escorter ces vilaines jeunes personnes dans mon bureau lorsque vous aurez terminé, je vous en serais reconnaissante, Mlle Downey." Dit Mme Storey. Elle ouvrit la grande porte et sortit dans le couloir.



Helen Downey resta un moment à regarder le fond de l'assemblée, réalisant qu'elle était seule avec Caroline et Benoit. Elle regarda le fessier de Caroline. C'était rouge vif et visiblement douloureux. Helen se dirigea ensuite de l'autre côté de la table et regarda les fesses de Benoit. C'était identique à celui de Tainio et l'enseignante âgée de 26 ans secoua la tête lorsqu'elle réalisa que les deux élèves ne s'assairaient pas confortablement pendant des jours.