Cette histoire a été écrite par Julien Simon, merci à lui. Vous pouvez vous aussi envoyer vos histoires.
Sur un site web consacré à la fessée, j'ai rencontré un couple dont le mari 70 ans et la femme 62
m'ont proposé après bien des échanges de messages de venir passer un weekend chez eux. Ce n'est
pas trop loin de chez moi alors j'ai accepté. Je savais en gros ce qui m'attendait. Je devrais servir tout
le weekend à table eux deux et leurs invités... et subir chaque fois que nécessaire, une fessée
déculottée. Rien que cela déjà me plaisait beaucoup....
Lorsque je suis arrivé, j'ai découvert une ferme, assez peu rénovée et fort vétuste. Le couple en
question était bien conforme à ce que j'imaginais avec les photos échangées. Lui gros en partie
chauve, une casquette vissée sur la tête, elle, les cheveux gris blanc, pas mal foutue sous une robe au
genoux. très sèche, elle dégageait un certain charme d'autrefois. Elle me dit qu'elle avait enseigné
toute sa carrière dans une école privée. Lui avait été agriculteur, en retraite. On est entré. J'avais
emmené un petit bagage léger, ne voulant pas m'imposer.
Le Monsieur, Monsieur Paul, m'a tout de suite mis à l'aise. :" ici ce sera des vraies fessées, pas des
fessées d'amateurs comme tu as du en recevoir" Il m'a demandé si j'acceptais, bien sur j'ai dit oui !!!
quelle question !!!
il m'a servi un verre pendant que sa femme Madame Louisette est sortie de la grande salle. Elle est
revenue alors que je finissais mon verre de vin blanc, avec toute une série d'objets dans les mains :
martinet, paddle en bois, paddle en cuir, canne anglaise, badine, etc... je n'en croyais pas mes yeux !
et au milieu de tout ça j'ai vu des godes... elle a suivi mon regard et m'a dit "Paul ne peut plus alors
on fait avec". J'étais sidéré par tant de liberté de langage et de pratique.... alors que j'avais été servi
d'un deuxième verre de vin blanc, je fus conduit à ma chambre du weekend. Un lit en fer, une place,
une armoire et c'est tout.
Comme je demandais où se trouvaient les toilettes, je les vis sourire et ils ne me répondirent pas.
Revenus à table, et ayant bu mon troisième verre de vin blanc, Madame Louisette me dit qu'elle était
très contente de ma tenue vestimentaire, très scolaire : culotte courte en velours très courte à raz les
fesses, tenue avec des bretelles, longues chaussettes grises, et soulier noir. Elle me dit alors qu'il
faudrait bientôt vérifier si dessous c'était aussi bien... je rougis et ne dis rien. Puis, j'ai eu envie de
faire pipi... je demandais à nouveau les toilettes et Madame Louisette m'a répondu que non, je n'irai
pas aux toilettes, je n'avais qu'à me retenir encore. J'ai insisté, et là, j'ai pris une claque sur la joue. je
me suis levé d'un bond, et là, une claque sur les cuisses. je me suis rassis et nous avons parlé de mes
expériences de fessées, de qui m'en avait donné, de comment, etc etc...je me tortillais sur ma chaise,
serrant ma main droite sur mon sexe au travers de la culotte courte... je voyais bien leurs échanges
de sourire je savais comment ça allait finir et c'est arrivé. N'en pouvant plus j'ai senti que je faisais
pipi à la culotte... bien sur, ça a coulé, inondant ma culotte courte et ruisselant le long de ma chaise.
Monsieur Paul s'est levé, m'a pris le bras droit, et m'a courbé sur la longue table en bois. calmement,
avec des gestes très maîtrisés, il a saisi le paddle en bis et a commencé à l'appliquer au travers de la
culotte courte en velours trempée. Puis au bout d'une vingtaine de coups, il a dégrafé mes bretelles,
a fait tomber sur mes chevilles la culotte courte mouillée et a dévoilé ma culotte blanche en coton. il
m'a alors couché sur ses genoux et m'a appliqué sur la culotte une magistrale fessée à la main. Ces
mains étaient de vrais battoirs, tellement elles étaient rêches et caleuses. Enfin, il m'a baissé la
culotte et Madame Louisette a dit que la couleur de mes fesses lui plaisait bien. Elle a dit à son mari
de stopper la fessée car sinon "il ne tiendra pas le weekend le pauvre garçon". J'ai été mis au coin et
mains sur la tête.
Au bout d'un quart d'heure, Madame Louisette m'a dit que je pouvais me reculotter j'ai demandé à
me changer elle a refusé d'un sourire cruel. Je l'ai ensuite aidé à préparer le repas du soir. Et quand
j'ai mis la table, j'y ai mis pour 8 personnes. J'étais transi, j'allais servir 8 personnes et prendre des
fessées devant eux tous ? moi qui ai toujours aimé recevoir des fessées déculottées en public, j'allais
être servi !!!!
les invités sont arrivés, tous de leurs âges sauf... deux d'entre eux. Une jeune femme de 25 ans
environ et un jeune homme de 30 ans environs. Là, j'étais soudain moins fiérot... Ils ont tous les deux
regardé avec attention ma tenue, et se sont adressé des regards et des sourires complices.... L'une
des invités leur a dit que ce soir ils risquaient bien de voir ce qui arrivait au vilain garçon quand il
n'était pas sage....j'ai rougi et les deux jeunes aussi... Ils avaient été amenés ici chacun par un des
invités du couple. j'ai servi l'apéritif et l'un des invité a dit que ça sentait le pipi... Monsieur Paul a dit
tout simplement "ben oui le Julien a pissé dans ses culottes". Gros éclats de rire chez ces habitués
visiblement des soirées du couple... Quand je me penchais sur la table basse pour prendre le plateau
et servir les gâteaux apéritifs, je savais que l'on voyait la naissance de mes fesses, faut dire que
Madame Louisette avait remonté mes bretelles autant que possible pour bien dégager mes cuisses...
une femme a même dit qu'on voyait un bout de ma culotte et que c'était charmant....
Au moment de passer à table j'ai desservi et ouf pas d'accident, je n'ai rien renversé. Puis j'ai servi à
table. Quand je servais les assiettes à chacun, j'ai senti des mains qui me palpait les cuisses, les
fesses, une main s'est même glissée sous ma culotte courte pour toucher ma culotte, ça m'excitait
vraiment. Pis, une des invités a dit que son assiette était froide. Là, ce fut un grand silence. Monsieur
Pal m'a demandé d'aller près de la dame en question, une grosse femme vulgaire, trop maquillée et
parlant fort. Elle a reculé sa chaise, m'a couché sur ses genoux et m'a administré une fessée à la main
au début doucement puis très très fort... Un homme a dit qu'une fessée ça se donnait cul u alors elle
m'a relevé, a enlevé mes bretelles a baissé ma culotte courte et tout de suite m'a déculotté. j'étais là,
le zizi à l'air, pendant, et les fesses offertes. Elle m'a recouché sur ses genoux et a repris la fessée à la
main. Quand elle cessa, j'avais les fesses en feu. Me relevant j'ai croisé le regard de la jeune femme,
elle baissa la tête mais n'avait rien perdu du spectacle. Le jeune homme lui, avait sa main droite sous
la table je devinais ce qu'il faisait ! Au fromage, là encore nouvelle bêtise de ma part. Le Monsieur qui
releva ma faute ne pris pas la peine de demander quoi que ce soit, il se leva d'un bond, me courba
sur la table, me baissa la culotte courte et remonta ma culotte en coton entre ems fesses. Il avait
bien entendu comme tout le monde vi les accessoires que Madame Louisette avait laissé à la vue de
tous, il alla s'emparer du paddle en cuir et me cingla les fesses avec une rare violence, j'ai gémit, je
me suis mis à pleurer contre ma volonté, ça sortait tout seul... il m'a laissé pantelant, je n'arrivais pas
à me relever après sa fessée et les commentaires ont fusé "celui ci il résiste bien, on va voir bientôt
jusqu'où"... Un autre homme s'est levé et a pris sa ceinture, il vint à moi, me déculotté sèchement et
me donna de la ceinture une bonne vingtaine de coups. j'étais effondré, je ne sentais plus mes
fesses, elles n'étaient plus qu'un amas rouge et violet. comme je me relevais enfin et voulu me
reculotter, ce me fut interdit par Madame Louisette qui me dit que je finirai de servir le repas comme
ça, culotte aux chevilles. Marcher n'était pas facile et pas question de faire tomber quoi que ce soit.
Lorsque j'ai servi le dessert et me suis approché de la jeune femme, j'ai vu qu'elle regardait mon zizi
tout petit ... elle rougit... quant au jeune homme lui, toujours une main sous la table ! et il fut vu ...
par une dame aussi sèche que grande... Alors Monsieur Pail s'est levé, est allé direct dur le gars, et a
bien vu en le levant de force la bosse qui déformait son pantalon. Il bandait et se caressait, jouissant
de mes fessées reçues. Monsieur Paul, aidé par un autre homme l'on prestement mis en caleçon,
puis cul nu, il a été courbé sur la table, juste à côté de la jeune femme et il a reçu la canne anglaise
directe... il a crié, il a pleuré beaucoup, il a supplié. Une des dames lui a dit alors "je t'avais prévenu,
ici ça ne rigole pas et je t'avais dit que les vilains garçons on les punissaient comme ça, tant pis pour
toi"... j'ai assisté à sa fessée sans broncher, puis j'ai continué à servir le dessert. Le garçon fut autorisé
à s'asseoir mais pas à se reculotter. Je ne savais pas quoi penser... pourquoi elle et lui étaient là en
fait ? pour me regarder prendre des fessées? pour en subir aussi ? Après le repas, les deux jeunes et
moi avons été faire la vaisselle. Nous nous sommes reculottés, sans rien demander. La jeune femme
nous observait et me demanda "alors ça fait quoi ? tu aimes ? je lui ai dit la vérité. Oui, j'ai été
marqué très tôt par la fessée, que j'en avais en fait toujours reçu, même à mon âge et qu'il m'en
fallait régulièrement. La fille a rougi et a voulu voir l'état de mes fesses... je me suis déculotté et lui ai
montré. Elle poussa un Ohh en voyant mes fesses marquées et rouge vif. Et elle se mit à pleurer. je
ne comprenais pas pourquoi alors je l'ai prise dans mes bras et les réconforté lui disant que ça ne
risquait pas de lui arriver à elle.. Elle me répondit que si, car elle avait fait une faute grave et si elle
était là c'était aussi pour être puni. Je n'en revenais pas...
Nous fûmes appelé au salon, et Madame Louisette s'est levé. Elle a expliqué à tout le monde que
j'étais en fait un sale morveux qui à mon âge faisait encore pipi à la culotte et que j'aimais recevoir
des fessées cul nu devant tout le monde, et que ce weekend j'allais en recevoir tellement que ça
allait me passer. Ensuite elle regarda le jeune homme et dit 'lui, si il est là c'est parce qu'il a volé dans
le magasin de Madame Michelle, il a été pris sur le fait et il a eu le choix : la gendarmerie ou la
fessée"... puis se tournant vers la jeune femme, elle dit "si Nadège est là ce soir, et demain, c'est
qu'elle aussi a commis un délit. Cette jeune institutrice s'est permise de donner la fessée déculottée
à la petite fille de Madame Simone. Elle est là pour voir ce que cela fait que de se faire déculotter et
fesser, ainsi elle ne recommencera plus je pense".
Nadège puisqu'enfin je connaissais son prénom, se mis à pleurer et à demander pardon. En vain.
Madame Louisette se leva doucement, puis vint se placer face à Nadège. Elle lui dit "ici, nous
sommes un groupe de personnes qui avons toujours connu 'autorité et la juste punition Moi même
lorsqu'enseignante j'ai donné des fessées cela a toujours été pour des bonnes raisons, pas pour un
rien comme tu l'a fait. Alors maintenant tu vas te laisser faire et tu tires bien car sinon, une plainte et
ta carrière est foutue.Et ton directeur d'école, ici présent est de mon avis, ainsi que tes collègues.
Nadège allait donc se faire fesser devant son directeur et peut être des collègues ! incroyable mais
tellement jouissif !!! C'tait tellement fort que j'en ai fait un petit pipi dans ma culotte...
Alors Nadège en pleurs, fut installée sur les genoux de Madame Louisette qui remonta lentement sa
jupe, pour dévoiler à tout le monde moi y compris, une magnifique grande culotte blanche à petites
fleurs en coton.... une vraie culotte de gamine.... Madame Louisette commença la fessée directement
à grandes claques rapides et fortes... je voyais bouger les fesses de Nadège, je la voyais pleurer je
l'entendais crier... puis au bout d'une trentaine peut être plus, de claques, la fessée prit fin...
Madame Louisette attrapa l'élastique de la jolie culotte et commença à la baisser. Nadège mit sa
main pour empêcher la déculottée mais la déculottée vint et Nadège pleura encore plus, elle était
visiblement effondrée, de douleur et d'humiliation. La fessée repris pour un bonne vingtaine de
claques et Madame Louisette la releva lui demandant de se pencher sur la table du salon jambes
écartées. Là, on pouvait voir les lèvres de son sexe, c'était féérique... Puis Madame Louisette a pris le
martinet et a cinglé les cuisses et les fesses de Nadège, qui avait cessé de pleurer, elle gémissait
comme absente. Lorsque la fessée fut finie, Madame Louisette lui dt que la prochaine si il y avait
prochaine fois, ce serait pire, ce serait comme ce que j'avais reçu.
Puis le jeune homme vit arriver son tour, le vrai... Un gros homme le pris en main, le déculotta aussi
vite qu'il s'était levé et le courba lui aussi sur la table du salon. Il pris le paddle en bis et le frappa
jusqu'à ce que les cris du gars soient trop fort... ses fesses passaient du rouge au violet et je voyais
qu'il allait finir par avoir les fesses en sang. Ce qui arriva. Il fut mis au coin.
Puis, il fut décidé que tout le monde allait se coucher. Et rendez vous demain matin. N'ayant pas été
aux toilettes de la journée, je demandais à nouveau les toilettes et je pris une baffe. Madame
Louisette et une autre femme me conduisirent à ma chambre, me déshabillèrent entièrement et je fs
allongé sur lit. je vis la dame prendre dans l'armoire une couche culotte et elle me l'a mise. Je fus
couché, sans un "nonne nuit" en couche culotte. Je n'ai pas insisté, j'avais bien top mal aux fesses
pour s=risquer d'en prendre une autre. Il y eut des bruits, des cris, des pleurs, j'entendais de loin.. pis
'endormi.
Le dimanche matin je fus surpris de voir Nadège venir me réveiller et ouvrir les volets. Elle me dit
qu'elle avait dormi ici et qu'on lui avait demandé d'aller me réveiller. Je me suis levé, oubliant que je
portais une couche culotte... Nadège la regarda, me regarda et me dit "elle est pleine et ça pue"...
dans la nuit j'avais fais pipi et caca dans ma couche culotte.... Elle me sourit et me dit qu'elle aussi en
portait une. Je lui demandais de me la montrer elle me dit que de toute façon j'avais tout vu de son
intimité la veille alors oui, elle leva sa jupe et mon montra sa couche qui elle aussi semblait pleine de
pipi.... Je lui demandais si on lui avait proposé de la changer, elle me dit que non et n'avait pas osé
l'enlever de peur de la fessée.. On est descendu dans la cuisine, Madame Louisette y était. Elle nous
regarda et dit : "ça ne sent pas la rose ici"... elle vint vers moi, me baissa le short que j'avais mis par
dessus la couche et me l'enleva. Puis elle enleva la jupe de Nadège on s'est retrouvé tousles deux en
couche pleine dans la cuisine sans rien d'autre... On a eu droit à un bol de café et Madame Louisette
nous a dit d'aller aider Monsieur Paul dehors. On a bien été obligé de sortir comme ça... ça faisait un
drôle d'effet de marcher en canard avec la couche pleine, ce n'était pas désagréable du tout. et je
trouvais Nadège sexy en couche culotte. Et là, en arrivant près de Monsieur Paul je vois que celui ci
avait un appareil photo et nous prenait en photo. Je cru défaillir car la fessée oui j'aime ça, les
couches culottes pourquoi pas mais les photos c'était pas prévu ça... je le lui ai dit et là, il nous
apprends que la veille toutes nos fessées ont été filmés et prises en photos. Véridique...
Douche froide, la vraie. Comment un weekend de plaisir à recevoir des fessées et à regarder une
nana se prendre des fessées tourne en une seconde en désastre...
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