samedi 19 juin 2021

Un étudiant fessé par sa directrice - partie 1


“Vous vouliez me voir, madame ?” Le jeune garçon demanda hésitant dans l’embrasure de la porte.


La principale Higgins hocha la tête d’un air sinistre. “Entre, Benoit”


Le jeune homme entra, fermant la porte derrière lui. Il était nerveux et intimidé par le grand bureau.


Il portait un pantalon blanc comme neige serrant délicieusement les courbes de ses hanches. Un pull de créateur tout aussi moulant venant dessiner sa légère musculature. Un pull vert forêt élégamment coupé.


Il avait des cheveux bruns et un peu ébouriffés. Ses yeux étaient d’un marron tendant vers le noir. Il pinçait ses lèvres nerveusement pendant que la principale le regardait. 


Mme Higgins soupira en regardant le rapport lui faisant face. Elle avait sous-estimé la gravité de la situation. Elle secoua la tête. “Je crois que ce soit en effet une affaire sérieuse Monsieur Dutal”. 


“Ai-je fait quelque chose de mal ?” Le jeune garçon semblait perplexe.


La directrice hocha la tête. “Ceci est un rapport de plusieurs enseignants et élèves. Ils vous ont observé au cours des dernières semaines. Je sais que vous êtes nouveau et que vous n’êtes peut-être pas encore familier avec notre règlement, mais vous avez enfreint l’un de nos codes les plus importants.”


Il haleta puis s’humecta les lèvres. “Qu’est-ce que j’ai fait ?”


“Tournez-vous”


“Quoi ?”


“Tournez-vous” Elle fit un mouvement de tire-bouchon avec son doigt et avec hésitation le garçon obéit.


Ce fut au tour de Mme Higgins de haleter. Elle déglutit tentant sans succès de détacher ses yeux de l’étonnante vue. Les fesses du jeune homme étaient incroyablement moulées dans son pantalon blanc, une des paires de fesses les plus désirables qu’elle avait vues en 27 ans d’enseignement. Des fesses bien rondes et musclées.


Après un long temps à regarder, Mme Higgins se racla la gorge et fit signe à Benoit de se retourner. Elle se leva et lui tourna le dos pour pouvoir ajuster son pantalon. Elle faisait face à l’ensemble de bibliothèques derrière son bureau alors qu’elle réfléchissait. C’était le problème le plus grave qu’elle ait jamais rencontré et elle n’était pas absolument certaine de la procédure à suivre.


Elle appuya sur l’interphone de son téléphone de bureau. Après quelques secondes, sa secrétaire répondit. “Oui, Mme Higgins ?”


“Pas d’interruptions Mme Clark. Annulez tous les rendez-vous. Je vais être occupée le reste de la journée.”


“Oui madame.” répondit-elle avant de raccrocher le téléphone. Elle se tourna vers le jeune homme, quelque peu nerveux. “Benoit je vais devoir vous punir.”


Les mots étaient forts et menaçants au milieu de la pièce fermée. Elle entendit la gorgée d’horreur du garçon.


“Mais madame..”


“Il n’y a pas de discussion Benoit. Cela doit être fait”. Elle lui fit face, son expression aussi sévère que possible. “S’il vous plaît, ne rendez pas cela plus difficile.”


La directrice sortit de derrière son bureau et tira une chaise dans le coin, une grande chaise avec un rembourrage en velours et sans bras. Elle s’assit et tendit la main au garçon. Il s’approcha avec précaution, la confusion sur le visage.


“Qu.. qu’allez-vous faire ?” demanda t-il, même si yeux effrayés révélaient ses soupçons.


“Je vais te donner une fessée.”


“Quoi ?”


“Et pas seulement une petite fessée. Une des fessées les plus longues, les plus dures et les plus sévères que j’ai jamais données, et j’en ai donné des milliers.”


Des larmes brillaient dans les yeux de Benoit. Il secoua la tête et essaya de retirer sa main tremblante de l’emprise de la femme, mais elle le tint fermement, le guidant vers son destin : ses genoux.


“Noooon !” gémit-il. Mais c’est un cri sourd et impuissant, la complainte d’un résigné à l’inévitable. Gémissant toujours il s’étira sur les genoux de la femme. Il ne pu voir l’expression du visage de la directrice admirant son corps incroyable, ne l’a pas vu se lécher les lèvres, n’a pas remarqué son frisson quand il a cambré son dos pour s’étendre, se positionner. Non tout ce qu’il voyait c’était le tapis marron, brouillé par ses larmes alors que ses paumes s’appuyaient contre le sol.


Mme Higgings pour sa part, n’arrivait pas à croire que des fesses masculines aussi incroyablement rondes existaient. Sa main dériva et glissa le long d’une jambe longue et élancée, reposant sur une de ses épaisses cuisses. Elle pouvait sentir les muscles du garçons se tendre alors qu’il se tortillait légèrement. Le tissu blan et élégant de son pantalon ressemblait à de la soie. Sa jambe était lisse, ferme et bien en chair. Ses doigts étaient à quelques centimètres de la montagneuse bosse de sa fesse gauche qui peinait à se contenir sous son pantalon.


“Oh s’il vous plait, madame !” haleta le garçon. “Vous ne pouvez pas me donner une fessée !”


“Je peux et je le ferai, Mr Dutal. Maintenant, taisez-vous et acceptez votre punition comme un bon garçon ou je devrai vous punir encore plus sévèrement.”


La résistance disparue, elle glissa sa main de sa jambe à sa fesse. Ses fesses étaient massives, incroyablement prodigieuses pour une si jeune chose. Il lui a semblé prendre des heures pour atteindre le sommet de sa fesse. Sa main se percha finalement au sommet, et elle baissa les yeux sur le chemin qu’elle avait parcouru. 


La fesse étant aussi ferme qu’elle l’avait prévu. Elle caressa soigneusement son derrière, ne manquant aucune section de ce dernier. Elle glissa ses doigts dans la zone de son entrejambe, frottant plus fort. Le garçon gémit bruyamment, secouant les pieds, mais ne dit rien.


La directrice leva la main bien haut. CLAQUE ! Sa main se posa sur la fesse la plus proche. Le garçon lâcha un petit “Oh !”


Oh, oui, quelle sensation merveilleuse. La douce résistance de la chair ferme, cédant d’abord la place à sa main, puis la repoussant avec impudence. Elle pouvait le sentir maintenant, tremblant légèrement, le corps vivant sur ses genoux et se tortillant. Un tel bonheur.


De nouveau la main se leva. CLAQUE ! Cette fois sur l’autre fesse, sa paume se connectant à celle-ci, ses doigts s’enroulant autour du bord extérieur.


“Aïe” cria le jeune homme. “Ca fait mal !”


“C’est ce que font les fessées mon cher.” murmura Mme Higgins, à peine consciente de la conversation. Elle se concentrait pleinement sur la fessée des fesses pulpeuses devant elle.


Sa main montait et descendait, montait et descendait. Le jeune homme cria et s’agita, mais elle le tint fermement sans même y penser. Ses yeux buvaient chaque mouvement délicat et chatoyant de ses fesses tremblantes. Sa paume mémorisait chaque courbe et saillie de ses fesses. Son cœur battait férocement à chaque rebond de sa chair, aimant la façon dont ses fesses reprenaient une forme parfaite après chaque coup venant les déformer.


Elle l’a fessé pendant plus d’une heure. Le rythme variait. Parfois elle alternait les fesses. Parfois, elle se concentrait uniquement sur la gauche pendant une longue période. Parfois elle utilisait son énergie sur une cible en particulier comme la partie inférieure de la fesse. Parfois, elle donnait une fessée délibérément lente, quatre ou cinq coups par minute. Parfois, elle se contentait de frotter et de serrer ses fesses pendant de longs instants sans dire un mot. A plusieurs reprises, elle est devenue folle, le fessant si fort et si vite que les sons de la fessée semblaient résonner dans la pièce pendant une demi-minute après qu’elle se soit arrêté. 


Quand elle a fini, le jeune homme allongé sur ses genoux, était en pleurs, trempé de sueur et haletant. Il semblait qu’il s’était autant donné qu’elle. Elle lui tapota les fesses pendant un long moment, frottant ses fesses et entre ses jambes jusqu’à ce qu’il se rétablisse.


Elle le fit se lever et lui sourit. Il grimaça, agité. “S’il vous plaît madame, puis-je y aller maintenant ?” murmura t-il la vois rauque à force de pleurer.


“Partir ? Pourquoi ? Bien sûr que non ! Nous avons à peine commencé, mon enfant. Nous avons bien d’autres punitions à venir”.


Le visage rose du garçon pâlit. “Mais madame !” Il tendit la main vers son derrière ébouillanté pour le protéger.


“Shhh”, a chuchoté la directrice. “Tu as très bien pris ta fessée d’échauffement. Tu mérites une petite pause. Maintenant va te mettre dans le coin-là bas. Dans quelques minutes nous commencerons ta vraie fessée. Après tout, une fessée ne compte si elle n’est pas fait sur les fesses nues, non ?”


Rien dans l’histoire du garçon n’aurait pu le préparer à un commentaire comme celui-là. Son visage montrait son incrédulité. Il se laissa conduire jusqu’au coin où il se tenait, tremblant, jetant de temps en temps un coup d’oeil à la principale Higgins qui travaillait à son bureau. Chaque fois qu’elle bougeait un bras, secouait un papier ou laissait tomber un stylo, il se figeait, frissonnant de terreur.


La scène était l’une des meilleures. La principale Higgins l’observa, le jeune homme debout dans son coin. Elle avait parfaitement capté la vision de son pantalon tendu, chaque courbe des fesses du garçon.


Mme Higgins posa son stylo. C’est l’heure de la deuxième partie.


“Je pense que tu es prêt pour ta vraie fessée maintenant, Benoit.”


“Non !” cria le jeune homme en se détournant du coin au fur et à mesure qu’elle se rapprochait. Ses mains passèrent derrière lui, couvrant ses fesses afin de se protéger.


“Ne rends pas ça plus compliqué” dit-elle sévèrement, lui saisissant les bras et l’attirant vers la chaise au milieu de la pièce. Benoit y jeta un coup d’oeil, son visage déformé par la peur.


Elle s’assit et le tint devant lui. Il se tenait debout, tremblant, versant quelques larmes. “Arrête ce cinéma” gronda t-elle. “Tu es un jeune adulte, pas un enfant de deux ans.”


Le garçon se figea de surprise et cligna des yeux. 


“C’est mieux. Maintenant, habitue-toi à la réalité. Tu as été un garçon terriblement méchant et tu vas être sévèrement puni. Tu n’y peux rien. Fais passer ça dans ta jolie petite tête; Ca va faire mal, et ce ne sera pas fini avant longtemps. Compris ?”


“Oh, s’il vous plait madame..”

Higgins le secoua vivement, ses mains agrippant plus fort ses bras. “Compris ?”


Se pinçant les lèvres, le garçon hocha la tête. Ses yeux regardant des pieds.


“Bien. Maintenant je veux que tu sois un grand garçon. Arrête ce babillage idiot ou je vais devoir sortir ma pagaie là-bas et vraiment rôtir tes petits pains.” La directrice hocha la tête en direction du mur du fond. Benoit regarda et haleta. A côté des trophées et des certificats encadrés se trouvait une énorme pagaie en boie. C’était presque une rame tellement elle était massive. Se faire punir avec ça était impensable. Le jeune homme déglutit et hocha passivement la tête vers la femme.


“Je serai bon, madame.”


“Excellent. Si vous obéissez à chacun de mes ordres sans hésiter, nous verrons si nous pouvons terminer cela sans pagaie.”


“Oui Madame !”


“Enlève ton pantalon.”


Les mots semblaient aspirer tout l’air de la pièce. Le garçon devint pâle, figé dans l’indécision, alors qu’il fixait la femme avec une horrible incrédulité. Pendant un long moment, il ne parle pas, puis poussa finalement un rauque : “Madame, vous ne pouvez pas..”


Mme Higgins soupire “Est-ce que je dois prendre la pagaie ?”


“Non..” Benoit attrapa le bouton sur le devant de son pantalon. Il hésita une première fois, les yeux remplis de larmes amères il détacha le bouton. Bouton par bouton, il a ouvert la braguette. Se détournant légèrement d’elle et serrant les dents, il enleva le pantalon moulant.


Il se tenait à ses côtés immobile, les mains sur le devant, le visage violemment rouge. Son pull ne couvrait que la partie haute de sa taille, laissant la plupart de son sous-vêtement exposé. Il regarda droit devant lui, la mâchoire figée. 


Sa culotte était blanche, gracieusement coupée. La directrice sourit en étudiant son profil. La fesse devant elle dépassait légèrement de la culotte du jeune homme. Elle le fit pivoter, admirant la vaillante mais faible tentative du tissu pour envelopper les monticules incurvés des fesses du jeune homme. Les parties inférieures de ses fesses étaient partiellement nues. La peau était d’un pâle crémeux avec des taches de roses à cause de sa fessée d’échauffement. 


Doucement, la directrice a guidé le garçon sur ses genoux. A deux reprises, il hésita légèrement, mais sa résistance fut brève, et elle ne fit même pas de commentaire. Admirant les fesses dodues qu’elle était sur le point de fesser, Mme Higgins se mit à les frotter un peu partout. Le garçon frissona.


“Es-tu prêt pour la fessée, Benoit ?”


La voix du garçon était amère de résignation. “Oui, Madame.”


“Demandez la alors.”


“Hein ?”


“Demandez-la. Demandez-moi de vous donner une fessée.”


Elle attendit alors, patiemment, pendant qu’elle calculait la tâche à venir. Finalement, il laissa échapper “Qu’est ce..”


La principale soupira, frottant ses fesses plus fort, le pinçant avec ses fortes pressions. “Allez, Benoit. Soyez poli.”


“Mme Higgins, s’il vous plait..”


Il y a eu un fort SPLAT et le garçon glapit. Une empreinte de paume rose brillait sur sa cuisse droite. Il remua violemment la jambe. “D’accord, d’accord” émit-il. “Mme Higgins.” commença-t-il, puis s’arrêta. Elle attendit en silence. “P… voulez..vous.. euh, me donner une fessée ?”


“Quel est le mot magique ?”


“Putain..” gémit le garçon. “S’il vous plait ?”


“S’il vous plait quoi ?”


“S’il vous plait, allez vous me donner une fessée ?” cria le garçon en secouant violemment son corps. Il se figea à l’instant où les mots sortirent de sa bouche.Sa tête tourna pour la regarder, ses yeux mémorisant l’expression exacte de terreur sur son visage. 


“Puisque vous avez si gentiment demandé” murmura la principale.


Cette fois elle n’était pas douce comme la première fois. Elle a donné une fessée, lentement, mais extrêmement forte. Les légers cris de surprise du jeune homme devinrent rapidement de véritables gémissements de douleur profonde. Il était plus stoïque cette fois, ne luttant et ne pleurnichant pas autant. Cela plaisait beaucoup à Mme Higgins. Elle aimait la fessée, mais une grande agitation au sujet d’une discipline relativement douce, l’agaçait. Cela avait tendance à la mettre en colère et c’est pourquoi elle donnait une fessée plus forte que prévue.


Après dix minutes de claques lentes mais constantes, elle s’arrêta. Elle pouvait sentir Benoit se soulever sur ses jambes, luttant pour se contrôler. Il haletait à cause de l’effort. Sa main battait sourdement, un sentiment merveilleusement vivant. La douleur n’était qu’un indice de ce que les fesses de Benoît devaient ressentir.


Elle frotta distraitement les fesses, aimant leurs courbes fermes. Le garçon avait-il la moindre idée de ce qu’il possédait ? Probablement pas. C’était incroyable mais certains garçons ne se rendaient pas compte à quel point ils étaient spéciales, imaginant que c’était les grosses montagnes de muscles qui pouvaient devenir des mannequins ou acteurs de cinéma.


“Avez-vous apprécié cette fessée ?” demanda t-elle doucement. 


Benoit secoua la tête. “Non, madame. Ca fait très mal.”


“Eh bien, il y a beaucoup plus à venir, alors accrochez-vous bien.”


“Oh.. madame..” 


Des gifles soudaines et sévères couvraient les mots que le garçon disait, et bientôt il ne parla plus mais hurla, la douleur prenant le contrôle de son cerveau. Cette fessée était rapide et furieuse, de nouveaux coups atterrissaient presque avant que la chair ne se soit remise en place. Mme Higgins ne lui a rien épargné, mais a donné une fessée aussi fort et rapide qu’elle le pouvait physiquement.


Après deux minutes, elle s’arrêta et tira sa culotte dans sa fente, découvrant la plupart de ses fesses, et reprit l’assaut avec une intensité fébrile. Benoit sanglotait de manière incohérente, agitant ses hanches comme un geste futile pour l’encourager à s’arrêter. A son insu, cela eu l’effet exactement inverse, car les fesses qui s’agitaient commençait à tellement énerver Mme Higgings qu’elle a continué la fessée plus longtemps qu’elle ne l’avait prévu à l’origine. Quand elle s’est finalement arrêté, les fesses de Benoit étaient couvertes d’un rose vif. 


Mme Higgings lui a frotté les fesses pendant un moment, jusqu’à ce qu’il arrête de pleurer et se calme, à l’exception de quelques gémissements de plainte. Elle a médité sur son cul pendant quelques minutes.


“Je sais ce dont vous avez besoin” dit-elle soudainement. “Lève toi” Elle un donna un coup sec sur les fesses de Benoit. Il sauta pratiquement de ses genous, se remit debout et serra ses fesses douloureuses. “Au coin” ordonna la principale.


“Oh s’il vous plait, pas plus” supplia le garçon. Il baissa la tête et partit quand elle pointa du doigt, cependant.


“Les mains sur la tête. C’est un bon garçon.”


Mme Higgins alla au bureau et fouilla dans un tiroir. “Ah” dit-elle. Elle est retournée près de Benoit. “Je n’ai pas trouvé de brosse à cheveux mais cette règle devrait faire l’affaire” 


“Vous n’êtes pas..” commença Benoit mais ses mots furent coupés par le coup sec de la règle en bois sur sa fesse gauche. Il poussa un cri et serra les fesses.


“Les mains sur la tête !”


“Oh s’il vous plait !”


“Vous préférez que j’utilise la pagaie ?”


En larmes, Benoit secoua la tête et leva lentement les bras. Il croisa ses doigts sur le dessus de sa tête et serra fermement.


Une douzaine de fois, la directrice a réprimé Benoit qui gémit et gémit. Glapissant de temps en temps. Plusieurs rectangles rouge vif sont apparus sur ses fesses et se sont rapidement estompés en taches cramoisies. 


“Reste là et n’ose même pas penser à te toucher les fesses.” ordonna la proviseure. Benoit renifla en réponse.



A suivre..