lundi 28 octobre 2019

L'échange scolaire



“Mais je vous ai dit que les notes ne comptent pas pour les devoirs maison, alors pourquoi se donner la peine de les faire ?”

Benoit regarda exaspéré, la mère de sa famille d’accueil, Cathy. "Qui se soucie de savoir si je fais mes devoirs ou non?"

Du coin de l'œil, Cathy remarqua que sa propre fille Shannon avait frémi devant les mots de Benoit. La lycéenne de 18 ans a essayé de faire comprendre à son invité français qu’il devait se taire. Shannon savait que, quand sa mère était en colère, il valait mieux ne pas se disputer avec elle. Cathy garda cependant les yeux sur Benoit. «Moi, je m'en soucie.» Dit-elle fermement. «Pendant que tu seras avec nous, tu feras de ton mieux. Si tu as des problèmes avec ton travail scolaire, tu peux toujours demander de l’aide, je suis moi-même professeur, et je suis sûr que Shannon serait heureuse de t'aider aussi. "Cathy jeta un regard noir à Benoit qui fuyait le regard en traversant la cuisine pour sortir une bouteille d'eau du frigo.

"Ne pas faire ses devoirs n'est pas une option.", Continua Cathy sévèrement, repoussant une mèche de cheveux roux de son visage. Benoit se retourna et croisa les bras. «Alors, que voulez vous faire, vous asseoir à côté de moi et me regarder faire mes devoirs?» Pourquoi cette femme ne pouvait-elle pas le laisser seul ? Il n'était pas venu dans ce programme d'échange pour passer ses journées à étudier. Il voulait s'amuser pendant son séjour!

Cathy ne put contenir sa colère. «Je pourrais le faire. Mais pour le moment, tu es puni jeune homme. Jusqu'à lundi, tu ne quitteras la maison que pour aller à l'école, c'est clair?! ”

La mâchoire de Benoit tomba. Il ne pouvait pas croire ce qu'il entendait. Ses parents n'avaient jamais étaient aussi oppressants avec lui. Depuis l'âge de douze ans, on lui avait dit qu'il était assez âgé pour s'occuper de son propre travail scolaire, que c'était sa propre responsabilité. "Jusqu'au lundi?!", S'exclama-t-il avec colère. «Mais nous ne sommes que mercredi et j'ai déjà des projets pour ce week-end!» Il jeta un coup d'œil à Shannon pour obtenir de l'aide, mais elle fuya le regard de Benoit.

"Tu m'as bien entendu. Maintenant, va dans ta chambre et restes y. Je t'appellerai pour le dîner. »Dit Cathy froidement. "Si j'étais toi, je commencerais à rattraper les travaux manqués." Furieusement, Benoit tourna les talons et sortit de la cuisine. Il claqua la porte de sa chambre à l'étage. Cathy soupira.

Shannon repoussa sa chaise. "Je dois aller à la bibliothèque.", Dit-elle à sa mère, sèchement. «Je serai de retour pour le dîner.» Elle attrapa les clés de sa voiture sur la table de la cuisine et quitta la pièce. Avec un autre soupir, Cathy se laissa tomber sur la chaise vide en se frottant les tempes.

Cela semblait une si bonne idée d’accueillir un étudiant en échange scolaire pour vivre avec eux. Sa fille, Shannon, était fille unique et Cathy et son mari, Malcolm, avaient pensé qu'il serait bien pour elle d'avoir quelqu'un avec qui traîner, même s'ils savaient qu'il y aurait des problèmes. Intégrer un étranger dans sa famille, en particulier une personne d'origine culturelle différente, n’est pas facile. Mais en toute honnêteté, il fallait bien avouer que séjourner avec Benoit avait très bien fonctionné au cours des six dernières semaines. En général, l'étudiant était amical, enjoué et serviable, et Shannon et lui s'étaient immédiatement liés d’amitié. L'école était une tout autre histoire cependant. Jusqu'ici, Malcolm et Cathy n'avaient pas réussi à lui faire prendre l'école au sérieux. Voyant qu'ils obtenaient de bonnes notes de Shannon, ils n'étaient pas disposés à laisser Benoit s'en tirer avec son attitude nonchalante. Deux jours auparavant, Cathy avait parlé à son mari de la nécessité de discuter de l’école avec Benoit. Encore.

"Bien", murmura Cathy en se levant à nouveau. Il était inutile de continuer à s’indifférer comportement du garçon. Elle parlerait à nouveau avec Benoit plus tard, après le dîner. Elle jeta un coup d'œil à l'horloge par-dessus le comptoir et vit qu'elle avait encore du temps pour classer les papiers avant de commencer à dîner. Elle est allée à son bureau et s'est mise au travail.

Benoit mit un peu plus de temps à se calmer. Il était furieux d’être privé de sortie. Qui cette femme pensait-elle être, sa mère? Le priver de sortie ? Il avait 19 ans, pas trois! Et ce week-end était important ! Leslie, l'amie de Shannon et de Benoit, organisait une fête ce vendredi et tout le monde serait là. Tout le monde sauf moi, pensa Benoit. Il devait simplement reparler avec Cathy, lui expliquer. Il était hors de question qu’il rate cette fête. Peut-être que Shannon pourrait l’aider à élaborer une stratégie.

Benoit fronça les sourcils en se souvenant du regard froid de Shannon plus tôt. Pourquoi a-t-elle réagi comme ça? Ils s'entendaient normalement bien. Alors pourquoi ce visage froid ?



Cathy se retourna quand elle entendit un bruit de pas derrière elle, s'attendant à voir Shannon. Mais c'était le visage de Benoit qui apparu dans son bureau. Les lèvres de Cathy se sont éclaircies. "Je crois que je t'ai dit de rester dans ta chambre, Benoit."

Benoit hocha la tête. "Je sais. Je me demandais si je pouvais vous parler une minute. »Cathy le regarda un instant, puis désigna la chaise à côté du bureau. Benoit s'assit. Il regarda pensivement la femme. "Cathy, pourquoi Shannon était-elle si en colère ?"

Cathy prit son temps pour répondre. Elle remit le capuchon sur le stylo rouge avec lequel elle classait les papiers, puis dit lentement. «Je suppose que Shannon a eu l'impression que je te laisse facilement partir.»

«Me laisser partir facilement?», Éclata Benoit. "Tu dois être en train de rigoler!" Cathy se tourna vers le garçon et le regarda dans les yeux. «Benoit», dit-elle doucement, «Shannon ne t'a-t-elle jamais dit comment nous la punissons dans de telles situations?» Benoit secoua la tête, réfléchissant. "Non, je ne pense pas." Il sourit. "Je ne pense pas que Shannon s’attire les ennuis de toute façon."

Cathy a rendu le sourire. «Tu as raison, en fait, elle est généralement très responsable. Mais quand elle ne l'est pas… »Elle hésita un instant. "Quand elle ne l’est pas, Shannon reçoit une fessée." Benoit la fixa avec incrédulité, comme si il n'était pas sûr d'avoir bien compris. “Une fessée? Vous voulez dire des claques sur les fesses, ce genre de fessée? »
« Oui. »Répondit simplement Cathy. "Ce genre de fessée."

Benoit la fixa, sans voix. «Mais c'est une punition pour un enfant.» Dit-il finalement. «On fait ça sur les enfants quand ils sont jeunes.» Cathy sourit. «Des enfants plus âgés comme Shannon bénéficient parfois d'une bonne fessée, croyez-moi.»

"Et Shannon a pensé que tu devrais aussi me donner une fessée?", Demanda Benoit avec hésitation.
"C’est ce que je pense.", Dit Cathy distraitement. "Mais tu n'es pas notre fils, alors je ne pense pas que ce serait approprié."

Benoit regarda Cathy d'un air pensif. Cela semblait trop beau pour être vrai, ce serait la réponse à son problème. "Alors si vous me donnez la fessée pour ne pas avoir fait mes devoirs, serais-je autorisé à aller à la soirée de Leslie vendredi?"
Cathy réfléchit à la question. "Oui, je pense que oui."

Benoit la regarda. "Je pense que Shannon a raison, ce n'est pas juste que vous me traitiez différemment.", Lâcha-t-elle. «Je préférerais avoir une fessée que d’être privé de sortie.»
Cathy éclata de rire. «Oh non, crois-moi. Les fessées ne sont pas amusantes. "son visage redevint sévère," Si tu ne veux pas être puni, tu devrais peut-être envisager de faire ton travail scolaire. "
Benoit a répondu. «Mais je veux vraiment aller à la fête vendredi.. s'il vous plaît, Cathy."

Cathy se mordit la lèvre. «Je ne suis pas sûre de ça, Benoit, et de ce que tes parents diraient.»
«Mais j'ai 19 ans.» Lui rappela Benoit. “Je peux prendre mes propres décisions.”
“Hm. Je suppose que oui. ”, A déclaré Cathy pensif. "J'y penserai. S'il te plaît, retourne dans ta chambre, je viendrai te voir quand ma décision sera prise.
Benoit sourit. “ Merci! »Il se laissa tomber de sa chaise avant de sortir. OUI! Alors il irait à cette fête !

En haut, il arpentait sa chambre, incapable de s'asseoir. Benoit n'était pas inquièt pour la fessée. Cela ne pouvait être pire que de manquer la fête de Leslie.

Un peu plus tard, on frappa à la porte. Benoit s'assit sur le bord du lit quand Cathy entra. "Eh bien, Benoit.", Dit-elle. "J'y ai pensé, et il ne fait aucun doute dans mon esprit qu'une fessée te ferait du bien, il n’est pas acceptable de ne pas faire ses devoirs trois jours de suite." Benoit a senti le "mais" venir et attendit avec impatience.

«Mais», a poursuivi Cathy, «tu n'es pas notre fils et tu n'as probablement jamais été fessée auparavant. Je vais donc te laisser le choix. Si, à un moment quelconque, tu veux que je cesse la fessée, je la cesserai. Mais si je la cesse tu n’iras pas à la soirée vendredi. Est-ce clair? Benoit hocha la tête avec impatience. "D'accord mais je ne te demanderai pas d’arrêter."

"Très bien c’est ta décison.", Dit Cathy. Elle regarda l'adolescent. «Je reviens tout de suite."

Benoit se leva nerveusement près de son lit, attendant. Cathy rentra dans la pièce en tenant une grande brosse à cheveux ovale. Benoit était confus. Qu'est-ce que Cathy va d'une brosse à cheveux?

La femme s'est assise sur le lit, la brosse à cheveux à côté d'elle, faisant signe à Benoit de se tenir à sa droite. «Eh bien, jeune homme. Comme je tel'ai déjà dit, nous prenons très au sérieux le travail scolaire dans cette maison. Ne pas faire ses devoirs n'est tout simplement pas une option, et je peux t'assurer que désormais tu seras toujours puni lorsque j'apprendrai que tu as négligé le travail à l'école. »Alors que la réprimande continuait, Benoit fut surpris de sentir ses joues brûler. Il se sentait stupide de rester là, comme un petit enfant, à écouter la remontrance et il voulait juste recevoir la fessée.

Il n'a pas dû attendre longtemps. Au bout de quelques minutes, Cathy dit: «Bien, descendons ce jean.» Benoit s’indigna. "Quoi?" Non, non, non, non, non!

"Les fessées sont généralement données sur les fesses nues dans cette maison.", A expliqué Cathy. "Sachant que tu n’es pas notre fils, tu peux garder ta culotte, mais ce jean va tomber." Elle déboutonna et dézippa le jean du garçon, et le tira jusqu'aux genoux. Avant que Benoit ait eu le temps de réagis dans son boxer blanc, Cathy pris le poignet de Benoit et tira le garçon sur ses genoux.

Benoit n'était pas sûr de ce à quoi il s'attendait, mais certainement pas à ça. S'étendre sur les genoux de Cathy était tellement embarrassant. Pour la première fois, il doutait d'avoir pris la bonne décision. "Bien, jeune homme", dit Cathy, "voyons si nous ne pouvons te forcer à prendre l'école au sérieux." Benoit tressaillit lorsque la paume de Cathy s’abattit sur ses fesses pour la première fois, puis une seconde fois, jusqu'à ce qu'il ressente les fessées à venir à un rythme soutenu. Benoit trouva que cela lui piquait certes, mais que c'était supportable, alors que les fessées pleuvaient sur ses fesses et que la brulure se répandait sur celles-ci.

Cathy a continué de le gronder. «Tu es un garçon intelligent et je veux que tu fasses de ton mieux. Tu n'es pas seulement là pour t’amuser, mais aussi pour étudier. »Elle accéléra le rythme de la fessée. Le garçon avait assez bien résisté jusqu'à présent, pensa-t-elle en lâchant une volée de fessées. Benoit ne criait pas trop et ne se tortillait pas plus que ça. «Je me moque de savoir si tes notes comptent ou non, parce que tu n'apprends pas pour les notes - tu apprends pour la vie."

Benoit se mordit la lèvre pour éviter une réponse désinvolte. Bien plus que d'avoir le dernier mot, il voulait que cette fessée se termine. A présent, la belle chaleur sur ses fesses avait été remplacée par une sensation de brûlure, et plus cela durait, plus ça faisait mal. Il espérait que ce serait bientôt fini et voulait juste se lever de cette position indigne, étalé sur les genoux de la mère de sa famille d’accueil, son jean serré autour de ses genoux.

Cathy fessait encore et encore. Benoit savait maintenant ce qu’elle avait voulu dire quand elle avait dit que les fessées n'étaient pas amusantes. Ce n'était pas du tout comme Benoit l'avait imaginé. Ça faisait plus mal qu'il ne l'avait prévu. Il ressentait beaucoup de honte et d'humiliation. Il serra les dents. Eh bien - si il voulait aller à cette fête, il devra simplement supporter ça.

Cathy se sourit à elle-même. Les fesses du garçon était maintenant uniformément rose et Benoit commencait à se tortiller, essayant d’éviter la fessée. Bien, pensa Cathy, on dirait que je commence à faire un bon boulot. Et attendez, mon garçon, que je commence avec la brosse à cheveux.

Elle arrêta de donner la fessée et entendit Benoit expirer avec soulagement. «Pas besoin de vous détendre, mon cher, nous n'avons pas encore fini.» Dit-elle en prenant la brosse à cheveux. Benoit était consterné. Pas encore fini? Combien de temps cette fessée sordide était-elle censée durer?

Cathy utilisa sa main libre pour frotter le derrière du garçon. Il était déjà assez brulant et Cathy allait s'assurer qu'il soit beaucoup plus brulant. Elle retroussa le boxer de Benoit, le plaçant entre les fesses du garçon. Benoit se tortilla mal à l'aise. Que faisait cette femme? Quoi qu'il en soit, Benoit avait maintenant le sentiment qu'il ne l'apprécierait pas.

CLACK

Benoit cambra le dos et poussa un cri strident alors que la brosse à cheveux frappa ses fesses, maintenant presque nue. "OWWWWW - QUE FAITES-VOUS ???", haleta-t-il.

CLACK ;

"Je te donne une fessée.", Répondit froidement Cathy CLACK! La brosse atterri pour la troisième fois sur le derrière du garçon. Cathy le serra plus fermement autour de la taille, observant les trois marques rouges de la brosse à cheveux se former sur les fesses précédemment roses. Elle releva la brosse à cheveux.

CLACK ! «Je ne vais pas - CLACK! - négliger - CLACK! - l’école - CLACK! - pendant que vous - CLACK! - serez là! »

Cria Benoit, il agita les pieds et hurla, il cambra le dos dans une tentative futile de se dégager des genoux de la femme alors que la brosse à cheveux se posait encore et encore sur son derrière.

"OWWWWWW - NOOOON STOP !!!", hurla-t-il. La douleur était incroyable, Benoit n'avait jamais rien ressenti de tel auparavant. Il émit un sanglot alors que Cathy s'arrêtait, mais la fessée n'était toujours pas terminée. Cathy était simplement fatiguée d'essayer d'empêcher le garçon de se tortiller. Elle plaça sa jambe droite sur celle du malheureux et reprit la brosse.

CLAC !
CLAC !
CLAC !

Et ainsi de suite. Benoit hurla. "STOP !!! S'IL VOUS PLAÎT - CA FAIT MAL! »Sa main revint pour protéger ses fesses, mais Cathy l'attrapa simplement et l’amena au bas du dos de Benoit. "Bien sûr que ça fait mal, c'est une fessée." Cathy savait que Benoit en avait assez reçu et finit la fessée avec quelques claques fortes, ce qui fit hurler le garçon encore plus qu’avant.

Cathy a mis la brosse de côté. "Tu peux te lever.", Dit-elle doucement. Les mains de 'Benoit volèrent jusqu' à ses fesses, se frottant furieusement et luttant contre les larmes. Cathy remarqua que le visage de Benoit était presque aussi rouge que ses fesses. Bon, pensa-t-elle, on dirait que le jeune homme a appris quelque chose. Elle tira doucement le garçon pour s'asseoir à côté de lui sur le lit.

«Pourquoi ne fais-tu pas la sieste maintenant? Tu te sentiras mieux quand tu te réveilleras. Benoit hocha la tête.

Allongé sur le côté, il n'osait pas regarder Cathy dans les yeux, il était tellement embarrassée.
«Je te laisse dormir maintenant.”

Son ton doux et aimant fit monter les larmes aux yeux d'Benoit. «Je suis désolé» murmura-t-il. « Je ne le referai plus. Je vais étudier, je te le promets. »
« Je sais. »Dit Cathy en se frottant la tête. «Maintenant, dors un peu.»

Elle ramassa le jean de Benoit par terre et le suspendit à une chaise. La propreté était quelque chose d'autre dont ils devront discuter à un moment donné…


Benoit se réveilla une heure plus tard et plissa les yeux au réveil. L'heure du dîner, il ferait mieux de se lever. Il se leva délicatement du lit et se plaça devant le miroir. Il a descendu son boxer. Wow, ses fesses étaient encores rouges. Il s'attendait à ce que le rouge disparaisse plus rapidement. Ses fesses, c'était plutôt douloureux. Il savait juste que s'asseoir serait inconfortable. Il soupira et enfila rapidement son jean. Quelle journée! Il ne considérerait plus les fessées comme des «punitions pour enfants», cela était certain.

Cathy sourit quand Benoit entra dans la cuisine. «As-tu fait une bonne sieste?» Benoit acquiesça, l'air embarrassé. "Oui, merci ..." C'était un effort de regarder la femme dans les yeux. «Je voulais dire que je suis désolé. Je ne voulais pas être difficile. », Laissa échapper Benoit, surpris de lui même. Il n'avait pas prévu de dire quelque chose comme ça.

Cathy serra Benoit dans ses bras. "Je sais chéri. Ne t'inquiète pas. Maintenant, assieds-toi, le dîner est prêt. »Benoit sourit et se laissa tomber sur sa chaise. Ce sourire se transforma en une grimace. Il avait eu raison - s'asseoir était inconfortable.

Malcolm et Shannon entrèrent alors que Cathy posait la lasagne sur la table. Malcolm sourit et salua Benoit, mais Shannon évitait toujours de le regarder.

"Cela a l'air bon.", A déclaré Malcolm. Se tournant vers les étudiants, il dit: «Comment s'est passée votre journée?»
«Assez bien.», Dit Shannon, semblant toujours légèrement boudeuse. Malcolm fronça les sourcils mais se tourna vers Benoit. «Benoit, as-tu passé une bonne journée?»

Benoit rougit furieusement et baissa les yeux sur son assiette. Cathy lui laissa le temps de répondre, mais quand il devint évident que Benoit n'allait pas répondre à la question de Malcolm, elle dit: «En fait, la journée de Benoit n'a pas été trop bonne.»

La tête de Benoit se leva. S'il te plaît, ne leur dis pas, pensa-t-il, s'il te plaît, ne dis pas…

"Benoit et moi avons discuté du travail scolaire aujourd'hui, après l'appel de l'école pour me dire quil n’avait pas fait ses devoirs trois jours de suite.", Continua calmement Cathy, regardant Shannon du coin de l'œil qui poussait sa nourriture. "J'ai donné une fessée à Benoit et il m'a promis de travailler plus à partir de maintenant." C'est

maintenant la tête de Shannon s’est levée. Incroyablement elle regarda sa mère et Benoit. "Tu as fessé Benoit?"

Benoit était mortifié. Enterrez moi maintenant, pensa-t-il désespérément, ne regardant personne. Cette fête a intérêt à être bonne, après tout ce que j'ai vécu pour pouvoir y aller.

Cathy a regardé sa fille. "Oui, Benoit a pensé que c'était injuste si nous vous traitions différemment."

Sans voix, Shannon jeta un regard admiratif à Benoit avant de retourner à sa nourriture. Benoit leva les yeux à temps pour voir Cathy sourire et lui faire un clin d'œil. Timide, il lui rendit son sourire et pour la première fois depuis son arrivée, il se sentit comme un membre à part entière de la famille.

samedi 5 octobre 2019

Un week-end à Saumur


Cette histoire a été écrite par Julien Simon, merci à lui. Vous pouvez vous aussi envoyer vos histoires. 


Sur un site web consacré à la fessée, j'ai rencontré un couple dont le mari 70 ans et la femme 62
m'ont proposé après bien des échanges de messages de venir passer un weekend chez eux. Ce n'est
pas trop loin de chez moi alors j'ai accepté. Je savais en gros ce qui m'attendait. Je devrais servir tout
le weekend à table eux deux et leurs invités... et subir chaque fois que nécessaire, une fessée
déculottée. Rien que cela déjà me plaisait beaucoup....

Lorsque je suis arrivé, j'ai découvert une ferme, assez peu rénovée et fort vétuste. Le couple en
question était bien conforme à ce que j'imaginais avec les photos échangées. Lui gros en partie
chauve, une casquette vissée sur la tête, elle, les cheveux gris blanc, pas mal foutue sous une robe au
genoux. très sèche, elle dégageait un certain charme d'autrefois. Elle me dit qu'elle avait enseigné
toute sa carrière dans une école privée. Lui avait été agriculteur, en retraite. On est entré. J'avais
emmené un petit bagage léger, ne voulant pas m'imposer.

Le Monsieur, Monsieur Paul, m'a tout de suite mis à l'aise. :" ici ce sera des vraies fessées, pas des
fessées d'amateurs comme tu as du en recevoir" Il m'a demandé si j'acceptais, bien sur j'ai dit oui !!!
quelle question !!!

il m'a servi un verre pendant que sa femme Madame Louisette est sortie de la grande salle. Elle est
revenue alors que je finissais mon verre de vin blanc, avec toute une série d'objets dans les mains :
martinet, paddle en bois, paddle en cuir, canne anglaise, badine, etc... je n'en croyais pas mes yeux !
et au milieu de tout ça j'ai vu des godes... elle a suivi mon regard et m'a dit "Paul ne peut plus alors
on fait avec". J'étais sidéré par tant de liberté de langage et de pratique.... alors que j'avais été servi
d'un deuxième verre de vin blanc, je fus conduit à ma chambre du weekend. Un lit en fer, une place,
une armoire et c'est tout.

Comme je demandais où se trouvaient les toilettes, je les vis sourire et ils ne me répondirent pas.
Revenus à table, et ayant bu mon troisième verre de vin blanc, Madame Louisette me dit qu'elle était
très contente de ma tenue vestimentaire, très scolaire : culotte courte en velours très courte à raz les
fesses, tenue avec des bretelles, longues chaussettes grises, et soulier noir. Elle me dit alors qu'il

faudrait bientôt vérifier si dessous c'était aussi bien... je rougis et ne dis rien. Puis, j'ai eu envie de
faire pipi... je demandais à nouveau les toilettes et Madame Louisette m'a répondu que non, je n'irai
pas aux toilettes, je n'avais qu'à me retenir encore. J'ai insisté, et là, j'ai pris une claque sur la joue. je
me suis levé d'un bond, et là, une claque sur les cuisses. je me suis rassis et nous avons parlé de mes
expériences de fessées, de qui m'en avait donné, de comment, etc etc...je me tortillais sur ma chaise,
serrant ma main droite sur mon sexe au travers de la culotte courte... je voyais bien leurs échanges
de sourire je savais comment ça allait finir et c'est arrivé. N'en pouvant plus j'ai senti que je faisais
pipi à la culotte... bien sur, ça a coulé, inondant ma culotte courte et ruisselant le long de ma chaise.
Monsieur Paul s'est levé, m'a pris le bras droit, et m'a courbé sur la longue table en bois. calmement,
avec des gestes très maîtrisés, il a saisi le paddle en bis et a commencé à l'appliquer au travers de la
culotte courte en velours trempée. Puis au bout d'une vingtaine de coups, il a dégrafé mes bretelles,
a fait tomber sur mes chevilles la culotte courte mouillée et a dévoilé ma culotte blanche en coton. il
m'a alors couché sur ses genoux et m'a appliqué sur la culotte une magistrale fessée à la main. Ces
mains étaient de vrais battoirs, tellement elles étaient rêches et caleuses. Enfin, il m'a baissé la
culotte et Madame Louisette a dit que la couleur de mes fesses lui plaisait bien. Elle a dit à son mari
de stopper la fessée car sinon "il ne tiendra pas le weekend le pauvre garçon". J'ai été mis au coin et
mains sur la tête.

Au bout d'un quart d'heure, Madame Louisette m'a dit que je pouvais me reculotter j'ai demandé à
me changer elle a refusé d'un sourire cruel. Je l'ai ensuite aidé à préparer le repas du soir. Et quand
j'ai mis la table, j'y ai mis pour 8 personnes. J'étais transi, j'allais servir 8 personnes et prendre des
fessées devant eux tous ? moi qui ai toujours aimé recevoir des fessées déculottées en public, j'allais
être servi !!!!

les invités sont arrivés, tous de leurs âges sauf... deux d'entre eux. Une jeune femme de 25 ans
environ et un jeune homme de 30 ans environs. Là, j'étais soudain moins fiérot... Ils ont tous les deux
regardé avec attention ma tenue, et se sont adressé des regards et des sourires complices.... L'une
des invités leur a dit que ce soir ils risquaient bien de voir ce qui arrivait au vilain garçon quand il
n'était pas sage....j'ai rougi et les deux jeunes aussi... Ils avaient été amenés ici chacun par un des
invités du couple. j'ai servi l'apéritif et l'un des invité a dit que ça sentait le pipi... Monsieur Paul a dit
tout simplement "ben oui le Julien a pissé dans ses culottes". Gros éclats de rire chez ces habitués
visiblement des soirées du couple... Quand je me penchais sur la table basse pour prendre le plateau
et servir les gâteaux apéritifs, je savais que l'on voyait la naissance de mes fesses, faut dire que
Madame Louisette avait remonté mes bretelles autant que possible pour bien dégager mes cuisses...
une femme a même dit qu'on voyait un bout de ma culotte et que c'était charmant....

Au moment de passer à table j'ai desservi et ouf pas d'accident, je n'ai rien renversé. Puis j'ai servi à
table. Quand je servais les assiettes à chacun, j'ai senti des mains qui me palpait les cuisses, les
fesses, une main s'est même glissée sous ma culotte courte pour toucher ma culotte, ça m'excitait
vraiment. Pis, une des invités a dit que son assiette était froide. Là, ce fut un grand silence. Monsieur
Pal m'a demandé d'aller près de la dame en question, une grosse femme vulgaire, trop maquillée et
parlant fort. Elle a reculé sa chaise, m'a couché sur ses genoux et m'a administré une fessée à la main
au début doucement puis très très fort... Un homme a dit qu'une fessée ça se donnait cul u alors elle
m'a relevé, a enlevé mes bretelles a baissé ma culotte courte et tout de suite m'a déculotté. j'étais là,
le zizi à l'air, pendant, et les fesses offertes. Elle m'a recouché sur ses genoux et a repris la fessée à la

main. Quand elle cessa, j'avais les fesses en feu. Me relevant j'ai croisé le regard de la jeune femme,
elle baissa la tête mais n'avait rien perdu du spectacle. Le jeune homme lui, avait sa main droite sous
la table je devinais ce qu'il faisait ! Au fromage, là encore nouvelle bêtise de ma part. Le Monsieur qui
releva ma faute ne pris pas la peine de demander quoi que ce soit, il se leva d'un bond, me courba
sur la table, me baissa la culotte courte et remonta ma culotte en coton entre ems fesses. Il avait
bien entendu comme tout le monde vi les accessoires que Madame Louisette avait laissé à la vue de
tous, il alla s'emparer du paddle en cuir et me cingla les fesses avec une rare violence, j'ai gémit, je
me suis mis à pleurer contre ma volonté, ça sortait tout seul... il m'a laissé pantelant, je n'arrivais pas
à me relever après sa fessée et les commentaires ont fusé "celui ci il résiste bien, on va voir bientôt
jusqu'où"... Un autre homme s'est levé et a pris sa ceinture, il vint à moi, me déculotté sèchement et
me donna de la ceinture une bonne vingtaine de coups. j'étais effondré, je ne sentais plus mes
fesses, elles n'étaient plus qu'un amas rouge et violet. comme je me relevais enfin et voulu me
reculotter, ce me fut interdit par Madame Louisette qui me dit que je finirai de servir le repas comme
ça, culotte aux chevilles. Marcher n'était pas facile et pas question de faire tomber quoi que ce soit.
Lorsque j'ai servi le dessert et me suis approché de la jeune femme, j'ai vu qu'elle regardait mon zizi
tout petit ... elle rougit... quant au jeune homme lui, toujours une main sous la table ! et il fut vu ...
par une dame aussi sèche que grande... Alors Monsieur Pail s'est levé, est allé direct dur le gars, et a
bien vu en le levant de force la bosse qui déformait son pantalon. Il bandait et se caressait, jouissant
de mes fessées reçues. Monsieur Paul, aidé par un autre homme l'on prestement mis en caleçon,
puis cul nu, il a été courbé sur la table, juste à côté de la jeune femme et il a reçu la canne anglaise
directe... il a crié, il a pleuré beaucoup, il a supplié. Une des dames lui a dit alors "je t'avais prévenu,
ici ça ne rigole pas et je t'avais dit que les vilains garçons on les punissaient comme ça, tant pis pour
toi"... j'ai assisté à sa fessée sans broncher, puis j'ai continué à servir le dessert. Le garçon fut autorisé
à s'asseoir mais pas à se reculotter. Je ne savais pas quoi penser... pourquoi elle et lui étaient là en
fait ? pour me regarder prendre des fessées? pour en subir aussi ? Après le repas, les deux jeunes et
moi avons été faire la vaisselle. Nous nous sommes reculottés, sans rien demander. La jeune femme
nous observait et me demanda "alors ça fait quoi ? tu aimes ? je lui ai dit la vérité. Oui, j'ai été
marqué très tôt par la fessée, que j'en avais en fait toujours reçu, même à mon âge et qu'il m'en
fallait régulièrement. La fille a rougi et a voulu voir l'état de mes fesses... je me suis déculotté et lui ai
montré. Elle poussa un Ohh en voyant mes fesses marquées et rouge vif. Et elle se mit à pleurer. je
ne comprenais pas pourquoi alors je l'ai prise dans mes bras et les réconforté lui disant que ça ne
risquait pas de lui arriver à elle.. Elle me répondit que si, car elle avait fait une faute grave et si elle
était là c'était aussi pour être puni. Je n'en revenais pas...

Nous fûmes appelé au salon, et Madame Louisette s'est levé. Elle a expliqué à tout le monde que
j'étais en fait un sale morveux qui à mon âge faisait encore pipi à la culotte et que j'aimais recevoir
des fessées cul nu devant tout le monde, et que ce weekend j'allais en recevoir tellement que ça
allait me passer. Ensuite elle regarda le jeune homme et dit 'lui, si il est là c'est parce qu'il a volé dans
le magasin de Madame Michelle, il a été pris sur le fait et il a eu le choix : la gendarmerie ou la
fessée"... puis se tournant vers la jeune femme, elle dit "si Nadège est là ce soir, et demain, c'est
qu'elle aussi a commis un délit. Cette jeune institutrice s'est permise de donner la fessée déculottée
à la petite fille de Madame Simone. Elle est là pour voir ce que cela fait que de se faire déculotter et
fesser, ainsi elle ne recommencera plus je pense".

Nadège puisqu'enfin je connaissais son prénom, se mis à pleurer et à demander pardon. En vain.
Madame Louisette se leva doucement, puis vint se placer face à Nadège. Elle lui dit "ici, nous

sommes un groupe de personnes qui avons toujours connu 'autorité et la juste punition Moi même
lorsqu'enseignante j'ai donné des fessées cela a toujours été pour des bonnes raisons, pas pour un
rien comme tu l'a fait. Alors maintenant tu vas te laisser faire et tu tires bien car sinon, une plainte et
ta carrière est foutue.Et ton directeur d'école, ici présent est de mon avis, ainsi que tes collègues.
Nadège allait donc se faire fesser devant son directeur et peut être des collègues ! incroyable mais
tellement jouissif !!! C'tait tellement fort que j'en ai fait un petit pipi dans ma culotte...

Alors Nadège en pleurs, fut installée sur les genoux de Madame Louisette qui remonta lentement sa
jupe, pour dévoiler à tout le monde moi y compris, une magnifique grande culotte blanche à petites
fleurs en coton.... une vraie culotte de gamine.... Madame Louisette commença la fessée directement
à grandes claques rapides et fortes... je voyais bouger les fesses de Nadège, je la voyais pleurer je
l'entendais crier... puis au bout d'une trentaine peut être plus, de claques, la fessée prit fin...
Madame Louisette attrapa l'élastique de la jolie culotte et commença à la baisser. Nadège mit sa
main pour empêcher la déculottée mais la déculottée vint et Nadège pleura encore plus, elle était
visiblement effondrée, de douleur et d'humiliation. La fessée repris pour un bonne vingtaine de
claques et Madame Louisette la releva lui demandant de se pencher sur la table du salon jambes
écartées. Là, on pouvait voir les lèvres de son sexe, c'était féérique... Puis Madame Louisette a pris le
martinet et a cinglé les cuisses et les fesses de Nadège, qui avait cessé de pleurer, elle gémissait
comme absente. Lorsque la fessée fut finie, Madame Louisette lui dt que la prochaine si il y avait
prochaine fois, ce serait pire, ce serait comme ce que j'avais reçu.

Puis le jeune homme vit arriver son tour, le vrai... Un gros homme le pris en main, le déculotta aussi
vite qu'il s'était levé et le courba lui aussi sur la table du salon. Il pris le paddle en bis et le frappa
jusqu'à ce que les cris du gars soient trop fort... ses fesses passaient du rouge au violet et je voyais
qu'il allait finir par avoir les fesses en sang. Ce qui arriva. Il fut mis au coin.

Puis, il fut décidé que tout le monde allait se coucher. Et rendez vous demain matin. N'ayant pas été
aux toilettes de la journée, je demandais à nouveau les toilettes et je pris une baffe. Madame
Louisette et une autre femme me conduisirent à ma chambre, me déshabillèrent entièrement et je fs
allongé sur lit. je vis la dame prendre dans l'armoire une couche culotte et elle me l'a mise. Je fus
couché, sans un "nonne nuit" en couche culotte. Je n'ai pas insisté, j'avais bien top mal aux fesses
pour s=risquer d'en prendre une autre. Il y eut des bruits, des cris, des pleurs, j'entendais de loin.. pis
'endormi.

Le dimanche matin je fus surpris de voir Nadège venir me réveiller et ouvrir les volets. Elle me dit
qu'elle avait dormi ici et qu'on lui avait demandé d'aller me réveiller. Je me suis levé, oubliant que je
portais une couche culotte... Nadège la regarda, me regarda et me dit "elle est pleine et ça pue"...
dans la nuit j'avais fais pipi et caca dans ma couche culotte.... Elle me sourit et me dit qu'elle aussi en
portait une. Je lui demandais de me la montrer elle me dit que de toute façon j'avais tout vu de son
intimité la veille alors oui, elle leva sa jupe et mon montra sa couche qui elle aussi semblait pleine de
pipi.... Je lui demandais si on lui avait proposé de la changer, elle me dit que non et n'avait pas osé
l'enlever de peur de la fessée.. On est descendu dans la cuisine, Madame Louisette y était. Elle nous
regarda et dit : "ça ne sent pas la rose ici"... elle vint vers moi, me baissa le short que j'avais mis par
dessus la couche et me l'enleva. Puis elle enleva la jupe de Nadège on s'est retrouvé tousles deux en
couche pleine dans la cuisine sans rien d'autre... On a eu droit à un bol de café et Madame Louisette
nous a dit d'aller aider Monsieur Paul dehors. On a bien été obligé de sortir comme ça... ça faisait un
drôle d'effet de marcher en canard avec la couche pleine, ce n'était pas désagréable du tout. et je
trouvais Nadège sexy en couche culotte. Et là, en arrivant près de Monsieur Paul je vois que celui ci
avait un appareil photo et nous prenait en photo. Je cru défaillir car la fessée oui j'aime ça, les
couches culottes pourquoi pas mais les photos c'était pas prévu ça... je le lui ai dit et là, il nous
apprends que la veille toutes nos fessées ont été filmés et prises en photos. Véridique...

Douche froide, la vraie. Comment un weekend de plaisir à recevoir des fessées et à regarder une
nana se prendre des fessées tourne en une seconde en désastre...