vendredi 14 juin 2019

Fessé par une mystérieuse femme






Cela ressemblait à une belle opportunité de travail d’été. Il vit une annonce dans le journal : “ Chauffeurs recherchés. Doit être présentable et poli doit posséder un permis.” Rien à propos de l’âge ou du sexe. Aucun indice comme quoi les étudiants ne sont pas acceptés. Alors il s’est présenté lui même au bureau, s’est fait interrogé par une femme bien habillé avec des lunettes qui regarda son permis, lui demanda si il porterait un uniforme de chauffeur à l’occasion, ce sera le cas. Il avait le job.

Au départ, c’était assez amusant de conduire une brillante limousine noire en transportant des gens d’un endroit à un autre. Et la paye était plutôt bonne - surtout pour un jeune de 23 ans encore étudiant - mais rapidement la monotonie du boulot prit le dessus. La plupart des passagers étaient des dirigeants d’entreprise d’un âge avancé, qu’il n’appréciait pas forcément. Il passait beaucoup de temps à attendre à l’extérieur de bureaux ou restaurants renommés. Bien sûr pendant ce temps il lisait un livre, mais c’était toujours ennuyant.
Un jour il reçu un appel.
“Gabriel, on aimerait que tu ailles à l’aéroport et que tu prennes un passager pour le vol de 15h30 venant de Londres. C’est un client important, donc fais de ton mieux. Mets ton uniforme, elle s’appelle Mme Karl et reste attentif jusqu’à que les passagers débarquent.”
A l’aéroport il attendit comme prévu. Finalement une femme arriva, descendit l’escalator devant lui. Elle était grande et fine. Elle dégageait un certain air d’autorité en elle avec sa coiffure très structurée et ce regard snob qu’elle possédait. Elle ne dit pas un mot mais le regarde lui et son uniforme. Puis elle déclara. “Bien. S’il vous plait amenez-moi à la réclamation des bagages.”
Au tapis roulant, elle attendit derrière lui avant de montrer du doigt sa valise. “C’est celle là.” Quand il se pencha pour ramasser la valise, il la sentit palper ses fesses. Il haleta, se releva, les joues rouges mais il la regarda calmement comme si rien ne s’était passé. Lorsqu’ils rejoint la limousine, il lui tint la porte avant qu’elle ne rentre. Il ferma alors la porte et rejoint le siège du conducteur. Il est sur le point de se retourner pour lui demander où elle veut aller, mais la femme prit la parole avant qu’il ne se retourne.
“Ne vous retournez pas, je vais vous donner les directions à prendre. Je veux que vous rejoignez l’autoroute et que vous sortez à la deuxième sortie.” D’ici elle le dirigea sur une route de campagne qui serpente à travers une petite forêt calme.
“Arrêtez-vous là et éteignez le moteur.” Lui dit-elle. “Maintenant, sortez et ouvrez la porte arrière droite.”
Quand il se tient là, elle tend la main pour attraper gentiment son poignet mais fermement avant de le tirer sur ses genoux.
“Non ! Qu’est-ce que vous faites ?” Il haleta.
“Ne pose pas de questions stupides jeune homme.” Elle répond calmement. “Qu’est-ce que tu penses que je fais ? Je vais vous donner ce que vous méritez, évidemment.”
Surpris, Gabriel ne contesta même pas sa déclaration. Il n’y avait pas d’issues bien sûr, et en fait si il était honnête, il admettrait qu’il méritait une punition pour : paresse, procrastination, cours loupés, abus de consommation de drogues et d’alcool… mais d’un autre côté, qu’est-ce qui permettait une étrangère de le punir ? Mais encore une fois, être allongé sur les genoux de cette femme, semblait juste, comme si il était là où il devait être.
Alors que tout ça tourne dans la tête de Gabriel, Mme Karl se prépare calmement pour sa tâche à accomplir. Sans prévenir, elle descendit le pantalon et le caleçon de Gabriel au niveau de ses genoux. Il sentit l’air froid sur ses fesses et réalisa qu’il est humiliement nu sous les yeux de cette femme. Il se tortilla d’embarras.
“Reste tranquille mon garçon.” commande t-elle avec une piquante claque sur ses fesses. “Vous aurez de quoi beaucoup vous tortiller dans quelques instants, croyez-moi.” Elle caressa son postérieur sans défense, serra ses fesses et les tapota. “Vous avez de très belles petites fesses, jeune homme. Mais ce sont des fesses qui n’ont pas été assez fessées. Mais c’est quelque chose que nous sommes sur le point de corriger.”
“Mais vous ne pouvez pas !” protesta-t-il sauvagement. “Je veux dire… je suis trop vieux pour être fessé !”
Elle rigola. “Vous le pensez jeune homme ? Et bien c’est là que vous apprenez le contraire.”
SMACK !!
“Yee-oooow” crit t-il, moins pour la douleur que pour la surprise de la main qui vient atterir et lui piquer le derrière. Et il cria encore, et il continue de crier, de haleter et de se tortiller à chaque fois que la main descend encore et encore, frappant un coup à gauche, un coup à droite, recouvrant chaque centimètre de ses fesses de piquantes claques.
Une fois la surprise passée, il pensa au fond de lui que cette fessée n’était pas une si mauvaise chose après tout. Bien sûr, c’est complètement indigne pour un grand jeune homme de se retrouver allongé sur les genoux d’une femme à peine rencontré, et d’avoir les fesses nues d’un rouge vif. Mais au moins il n’y avait personne aux alentours, personne pour voir ça.
De façon inattendue, elle s’arrêta. Pensant que la fessée était finie, il tenta de se lever, mais il fut toujours tenu fermement dans sa position. “Oh non jeune Gabriel.” Comment connaissait-il son nom ? Se demanda-t-il dérouté. “Nous n’avons pas encore fini. Loin de là. C’est maintenant que ta vraie fessée va commencer.”
“Owwwwww” il hurla quand sa main descendit de pleine force sur ses fesses déjà bien fessées. Il réalisa que Mme Karl était une fesseuse très expérimentée et savait comment s’occuper du cul d’un vilain garçon. Un déluge de claques atterrissent sur ses fesses de plus en plus brulantes qui rebondissaient à chaque coup. Et pendant ce temps, elle lui parla de sa voix calme lui disant à quel point il était un vilain jeune homme qui méritait d’être fessé.
“Vous avez d’adorables fesses, faites pour être fessées. Elles sont même plus belles maintenant qu’elles sont rougies si joliment. Mais elles seront encore plus rouges avant qu’on ai fini. Et souviens toi, ce n’est qu’un avant goût de ce qui va se passer quand nous arriverons à destination. Au cours des prochains jours mon cher, vous allez passer pas mal de temps sur mes genoux. C’est un fessier pas assez fessé, et nous devons rattraper ça.”
Elle s’arrêta finalement, parcourant sa main entre ses jambes pour découvrir un pénis bien raide. “Ah vous êtes un jeune homme un peu pervers n’est-ce pas ? Je crois comprendre que vous être entrain d’apprécier votre punition !” Ses doigts glisse alors sur sa verge, la caresse doucement autour. Il haleta.
“Oui, un vrai pervers que nous avons là.” dit-elle. “Clairement, jeune homme, je ne vous ai pas fessé assez fort. Des mesures plus strictes sont donc à prévoir. Maintenant sur le sol, vous verrez une malette, ouvrez la s’il vous plait.” Il obéit. “Bien. Vous allez trouver une brosse à cheveux, passez la moi.”
Il s’agit d’une brosse à cheveux Mason & Pearson, noire. Il hésita, réalisant combien cela risque de faire mal.
“Maintenant s’il vous plait ! Je me dépêcherai si j’étais vous !”
A contrecoeur, il lui passa la brosse. Elle la prit et caressa avec le dos de la brosse les fesses de Gabriel. Cela était froid sur ses fesses chaudes.
“Vous voyez Gabriel, je hais causer des bleus. Je trouve ça esthétiquement déplaisant. Donc je ne voudrais jamais utiliser une brosse à cheveux comme ça sur sur des fesses qui n’ont pas été fessées. Mais une fois que les fesses sont bien chaudes et rouges grâce à ma main, comme les tiennes le sont actuellement mon cher, elles peuvent être fessées fortement avec la brosse sans faire aucun bleu. Ces fesses rosées vont juste rougir encore plus brillamment et sur une telle chaire tendre ca va piquer comme jamais et je suis sûre que vous le remarquerez très vite. Mais dans quelques heures, la rougeur s’estompera, quittant votre fessier, et vous serez prêt pour le prochain châtiment.”
“Oh s’il vous plait madame, stop. Je promets d’être mieux, mes fesses font déjà si terriblement mal !”
“C’est vrai mon cher ?” demanda t-elle ironiquement. “Je me délecte de l’entendre, vous voyez c’est précisément ce qu’une fessée est supposée faire. Mais je pense que vos fesses peuvent quelques fessées encore, les voilà !”
CLAAAAACK
“Aaaaaaaaah” Il crie se tortillant sauvagement quand la brosse s’abat sur ses fesses brulantes. Ce n’était pas une blague, cela piquait comme jamais.
CLAAAAAACK
“Aaaaaaaaaaah ! ow ow, stop, pas plus madame, s’il vous plait ! Je suis désolé, je suis honnêtement désolé !”
Mais ses plaintes sont vaines, la cruelle brosse continue de claquer son derrière brûlant encore et encore et encore. Brièvement Mme Karl marqua une pause pour appuyer sur un bouton sur la porte de la voiture. Des panneaux coulissants à l’arrière des sièges avant révélèrent un miroir de deux mètres de longueur. Comment se faisait-il qu’il n’avait jamais su qu’il y avait ce miroir dans la limousine ? Quand elle reprit la fessée, il réalisa avec un frisson de honte qu’il pouvait voir son reflet dans la glace - un homme de 23 ans igniominieusement puni comme un vilain petit garçon. Oui c’était ça, allongé sur les genoux d’une femme, son pantalon et son calecon desendus au niveau des genoux, ses jambes s’agitant, et ses fesses nues, la chair écarlate, rebondissantes sous le coups de la brosse.
“Une belle vue n’est-ce pas mon cher ?” murmure Mme Karl satisfaite, continuant de fesser son derrière avec vigueure. “En fait une des plus belles vues que j’ai pu voir. “
Il pouvait voir dans le miroir non sans honte, la brosse frapper rudement la tendre chair de ses fesses, continuant de plaider en larmes qu’elle s’arrête. Mais elle continua à le fesser, de plus en plus fort. Il continua de gigoter, n’en pouvant plus, jusqu’à ce que la fessée se termine.
Il resta allongé, amorphe sur les genoux de la femme, qui le rappela à la réalité en lui claquant ses fesses. “Allez debout jeune homme.” dit Mme Karl. “A moins que vous vouliez d’autres fessées. Maintenant retournez à la place du chauffeur.”
ll fit ce qu’elle lui dit de faire. Il sentit ses fesses si douloureuses au moment de s’assoir. Il demanda encore confus de la fessée, les directions à Mme Karl. “Désolé Madame.”
“Vous le serez jeune homme.”
Il l’emmena alors jusqu’à la destination, une grande maison.
“C’est votre destination mon cher, votre maison pour les prochains jours.” dit Mme Karl.
“Mais…”
“Oh ne t’inquiète pas Gabriel, vos collègues savent que vous êtes ici pour un moment, vous aurez tout ce dont vous avez besoin, y compris de la discipline. “