dimanche 28 juillet 2019

Fessée de bienvenue




“Bonjour” a lâché Benoit en ouvrant la porte de la boutique qu’il ferma derrière lui. Au plafond, une cloche démodée sonna quand il ouvrit la porte mais la pièce était vide.

“Oh excusez moi je ne vous ai pas entendu entrer.” La voix appartenait à une femme qui avait un visage dont l’âge était difficile à estimer. Il y avait une maturité évidente qui se dégageait de ses yeux, la manière dont elle se tenait mais elle avait aussi un teint de peau jeune, elle pourrait avoir entre le début de la trentaine et les quarante-cinq ans.

“Vous êtes nouveau dans la ville.” dit la femme avec l’assurance d’une citoyenne qui vivait dans cette petite ville depuis un moment où tout le monde connaissait tout le monde. Elle tendit sa main à Benoit qu’il serra rapidement. “Je suis Amandine Tanou. Comment puis-je vous aider ?”

“Je vais à Raven Hill la semaine prochaine, j’ai entendu dire que vous vendiez des uniformes ici ?”

Immédiatement il y eu du changement dans l’attitude de la gérante du magasin. Son gracieux sourire disparu pour laisser place à un regard plus méfiant, les bras se croisant au niveau de sa poitrine. Ce n’est pas la réaction que Benoit attendait mais il comprenait la crainte que pouvait avoir les gens en rencontrant des personnes envoyés en maison de correction.

“Je vois.” dit la gérante du magasin. Elle dévisagea Benoit de haut en bas. “Vous feriez mieux de venir avec moi. Et je ne veux pas de bêtises de votre part.”

“Ok.” répondit doucement Benoit, pas sûr de savoir quoi penser de ça. Les gens des petites villes sont supposés être amicaux.

Elle mena Benoit aux cabines d’essayage et tira le rideau en faisant un geste pour inviter Benoit à rentrer. “Entrez dedans. Enlevez tous vos vêtements je vais vous ramener votre uniforme.”

“Tout ?” demande Benoit pas sûr d’avoir bien entendu.

Le visage de Madame Tanou s’assombrit. “Tout jeune homme. La politique d’uniforme à Raven Hill est stricte. Vous découvrirez cela la semaine prochaine.” Un léger sourire s’afficha sur le visage de la femme. “Et vous apprendre à ne pas contester les ordres non plus.”

Benoit haussa les épaules en passant devant la femme pour entrer dans la cabine. Il tira le rideau derrière lui et commença à se déshabiller. Ca ne lui a pas pris longtemps, il faisait chaud et en peu de temps son t-shirt et son jean tombèrent au sol derrière ses chaussures. Il hésita quand ce fut le tour de son boxer. Il savait qu’il porterait un uniforme, mais n’imaginait pas que ça irait jusqu’aux sous-vêtements.

Sans prévenir, le rideau se tira et son visage devint rouge faisant face à Madame Tanou. “Hé !” protesta t-il. La femme ne connaissait-elle pas la notion d’intimité ?

“Je t’ai dit de te déshabiller complètement.” Le regard sévère de la femme lui fit face. “Je comprends pourquoi tu es envoyé à Raven Hill”

Avant que Benoit ne puisse réagir, la femme a laissé tomber le paquet de vêtements avant d’attraper son bras. Madame Tanou était surprenemment forte, et Benoit était trop choqué pour répondre tout de suite. Avant qu’il ne comprenne ce qui lui arrive, elle le sortit de la cabine pour le mettre près d’une chaise où Mme Tanou s’était assise. Une seconde plus tard, la femme l’avait allongé sur ses genoux.

“Qu’est-ce que vous faites ?” cria Benoit. Il aurait pu lutter face à la femme mais il était complètement pris au dépourvu. Il commença à se relever pour finalement se retrouver avec l’un de ses bras pris dans une clé de bras très professionnelle. Mme Tanou le pressa pour qu’il se rabatte et le maintint en place.

“Vous ne pouvez pas faire ça.” cria t-il alors qu’il se tortilla de nouveau de douleur. Peut-être qu’essayer de retirer son bras coincé avec son bras libre n’était pas une si bonne idée, surtout quand la gérante semblait tout a fait capable de disloquer son bras si cela lui permettait de le maintenir en place. “Je vais vous faire arrêter.”

“Une bouche aussi intelligente que désobéissante.” Commenta Mme Tanou. “Tu auras un accueil chaleureux à Raven Hill, mais ils vont t’apprendre les bonnes manières.”

Mme Cabot descendit le boxer de Benoit au niveau de ses genoux. Immédiatement il cria et essaye de se dégager de l’emprise de la femme. Comme si elle avait prévu le coup, Mme Cabot entoura les jambes de Benoit de sa propre jambe afin de l’empêcher de bouger plus.

La première claque atterrit fermement au milieu des fesses de Benoit.

“Oh! Arrêtez ça ! Ca fait mal !” Cria Benoit tout en continuant de lutter.

C’était un peu exagéré. Le coup piquait certainement mais c’était plus choquant que douloureux. Une seconde claque tomba, puis une troisième. Elles se succédèrent rapidement. La piquante sensation sur ses fesses s’accentua et Benoit commença à haleter quand ses fesses commencèrent à brûler.

“S’il vous plait, vous me faites mal.” Il pouvait sentir ses fesses de plus en plus brûlantes à chaque coup. La main de Madame Tanou commença à frapper les zones déjà claquées, et Benoit commença à sentir les larmes lui monter aux yeux.

Peu importe à quel point il bougeait, il n’irait nulle part. Encore et encore les coups tombèrent sur ses fesses à la merci de Mme Tanou. Chaque claque résonna dans la silencieuse boutique.

Ses fesses étaient en feu, Benoit était convaincu qu’il pouvait cuire un steak sur ses fesses tellement elle étaient chaudes.

“Bien, je crois que vous avez appris une bonne leçon.” lâcha Amandine en stoppant la fessée.

Benoit les yeux remplis de larmes tourna sa tête pour regarder en arrière, ses fesses. Elles étaient rougeoyantes et contrastaient avec la douce blancheur du reste de sa peau. En fait c’était moins rouge que ce qu’il aurait pu imaginer tant la douleur était forte. Alors dès que Mme Tanou relâcha la prise, il se remit immédiatement debout pour se frotter vivement les fesses, le boxer toujours au milieu de ses genoux qu’il remonta ensuite pour cacher son intimité.

Benoit avait du mal à croire ce qui s’était passé, cette femme l’avait fessé ! L’avait fessé sur ses fesses nues comme une enfant désobéissant !

“Maintenant tu vas enlever ce boxer ou j’utilise la canne ?”


“J’en ai marre de vos menaces. Maintenant redonnez moi mes affaires et laissez moi partir.” S’indigna Benoit.

“Je vois que la canne va être nécessaire. Si tu sais ce qui est bon pour toi tu vas te pencher sur la chaise là bas, tu enlève ton boxer et tu reçois ce que je vais te donner… ou j’appelle le sheriff qui n’est autre que mon cousin en lui disant que j’ai été menacé et insulté par une délinquant de Raven Hill.”

Benoit était maté, il ne pouvait vraiment lutter, face à cette femme qui vaait clairement des connaissances. Ne voulant empirer son sort à Raven Hill, il se dirigea vers la chaise, se pencha, et abaissa son boxer.

“Bon garçon.” dit Mme Tanou avant de saisir d’une des cannes du magasin. “Maintenant ca va faire mal. Mais tâche de rester tranquille. A Raven Hill ils utilisent beaucoup la canne surtout sur les nouveaux délinquants. Et si tu ne tiens pas la position, tu as des coups en plus.”

SWISH ! Il a peine entendu le bruit de la canne se soulevant, quand celle-ci se rabattit au milieu de ses fesses laissant une fine ligne rouge.

SWISH ! Une seconde ligne apparue a côté de la première et Benoit cria malgré sa volonté de rester silencieux. Ca faisait mal, très mal ! Il se sentait déjà vulnérable dans sa position, les fesses à l’air tendu envers son bourreau, mais maintenant que la canne dancait sur ses fesses, il se sentait encore beaucoup plus vulnérable.

SWISH ! “Aaaaah” 3ème coup qui le fit crier à nouveau.

SWISH ! Son souffle s’était transformé en petit halètements, le battement de son coeur s’est accéléré.

SWISH ! Sa tête se releva en arrière et un nouveau cri se fit entendre dans la pièce.

“Relève toi.” Benoit se releva alors et pu se rhabiller. Bien accueilli dans sa nouvelle ville.

lundi 1 juillet 2019

Maîtresse Cindy - Partie 1


Ce texte a été rédigé par Sylvain de Perry, merci à lui de nous faire part de son oeuvre. Vous pouvez vous aussi m'envoyer vos récits par mail, je publierai les meilleurs.



Tu as 22 ans, envie de rencontrer une dominatrice. Par internet, tu regardes où tu
peux trouver un lieu de rencontre et une femme de ton âge. Le rendez-vous une
fois fixé, tu t’y rends.

Tu mesures un mètre quatre-vingt-cinq, brun aux yeux verts, nez droit, bien rasé,
bouche sensuelle, menton avec une fossette médiane, l’ensemble pèse soixante -
douze kilogrammes.

Vêtu d’un jean non moulant, d’une chemise bleue à manches courtes, c’est l’été,
tu entres dans la boîte après t’être présenté au videur.
Un subtil éclairage baigne le lieu où une musique classique douce t’accueille.
Comme convenu tu te présentes à la barmaid :

-Bonsoir. Je suis Sylvain, j’ai rendez-vous avec Cindy.

-Bonsoir Sylvain. Tu prends l’escalier au fond à droite, elle t’attend au premier
étage, deuxième porte à gauche.

-Merci.

Parvenu devant la porte, tu frappes sur le lourd battant. Une voix, à peine
audible, t’invite :

-Entre !

Tu pénètres dans le salon privé, assez vaste d’ailleurs, avec un mobilier sobre,
ferme la porte et regardes Cindy, assise dans un profond fauteuil de cuir.
Elle a des cheveux blonds courts, un front haut, des yeux bleus, assez froids, une
bouche large aux lèvres délicatement ourlées, une poitrine menue, caché par un
boléro de cuir noir, un pantalon de cuir noir, moulant comme une seconde peau
te laisse deviner des longues jambes aux cuisses assez fines.

-Bonsoir, Cindy.

-Ttt... Ttt ! Tu dois m’appeler Maîtresse Cindy. Mais surtout, quand nous
sommes tous les deux, Maîtresse. Quand nous sortirons, le cas échéant, ce sera
inutile de m’appeler Maîtresse. Compris ?

Tu rectifies aussitôt :

-Oui, Maîtresse. J’ai compris.

-Avant que l’on passe aux choses sérieuses, sers-moi un verre de whisky, un
pour toi si tu veux et assied-toi. Puis explique-moi ce qui t’amène.
Tu fais le service, t’assois sur la chaise à haut dossier face à elle.
Tu lui résumes que tu as envie de connaître les joies d’être dominé par une jeune
femme qui sache te guider. Que tu n’es plus puceau.
Pendant ton explication elle ne t’a pas quitté du regard, te fixe droit dans les
yeux.

Quand tu te tais, elle acquiesce :

-Parfait ! Ton programme me convient. Tu dois quand même savoir que je
n’hésiterais pas à te fesser cul nu quand tu le mériteras. Tu ne me feras l’amour
que quand je t’y autoriserai. Tes baisers et caresses seront appréciés. Mais
jamais de ta propre initiative. Pour cette première rencontre, avant de dîner dans
ce salon, tu vas commencer par te mettre à poil, que je te vois, ensuite je te
donnerai ta première fessée pour avoir omis de m’appeler Maîtresse dès ton
entrée et aussi en signe de bienvenu. D’accord ?

Tu pourrais bien sûr refuser que ça commence comme ça directement, mais
Cindy... pardon, Maîtresse Cindy, te plaît bien, alors...

-Tout à fait, Maîtresse.

-Alors... A poil !

Tu te lèves, ôtes tous tes vêtements, et deux minutes plus tard, tu es entièrement
nu face à elle. Tu freines l’envie de dissimuler ta bite en légère érection derrière
tes mains.
Son regard semble te dénuder encore plus, puis Maîtresse Cindy te commande :

-Tourne-toi que je vois ton cul.

Quand tu as fait demi-tour, tu l’entends qui se lève, s’approche de toi, pose une
main aux doigts fins et déliés sur ton cul, le caresse, ce qui augmente ton
érection.

-Tu es bien cambré ! J’adore les garçons au cul bien cambré. Ta croupe est bien
musclée. Fais-tu du sport ?

-Oui, Maîtresse. Surtout de la course pédestre.

Elle tapote ton derrière, dit :

-Parfait ! Bien... Ne le faisons pas attendre plus longtemps. La main me
démange déjà de le claquer comme il faut afin que tous deux se connaissent
parfaitement.
Maîtresse Cindy s’éloigne, s’assoit sur la chaise que tu as quittée, t’invite :

-Viens te mettre à plat ventre sur mes cuisses !

Tu fais deux pas, te penche en avant et plonge sur ses cuisses en cuir. Elle place
ta bite, qui a rétréci, entre ses cuisses avant de l’y emprisonner.
Son bras gauche te ceinture, sans serrer, juste pour te maintenir.
Alors que tu attends la première claque, qui ne saurait tarder, Maîtresse Cindy
passe sa main droite sur toute la surface de ton cul nu, précise :

-Le salon est insonorisé. Tu peux crier ta douleur sans problème, aucun voisin
ne viendra nous déranger. Quant à notre repas, tu iras avertir le serveur quand ta
correction sera achevée.

La main caressante quitte tes fesses et, aussitôt, y revient sous forme de claque,
sèche, percutante, puissante.

Tu retiens de justesse le cri de surprise mais aussi de douleur qui a failli jaillir de
tes lèvres.

Déjà une nouvelle claque percute ta fesse droite juste au même endroit que la
précédente.

Maîtresse Cindy fesse tranquillement, visant apparemment le même endroit. Et
cela pendant une dizaine de claques.

Ensuite elle frappe de la même façon la fesse gauche. Cette fois tu comptes dans
ta tête : dix claques.

Les dix suivantes sont distribuées aux deux fesses ensembles, à la jonction avec
les cuisses avec un très léger mouvement ascendant.

Puis ce sont dix autres, à nouveau fesse droite, mais à un point décalé par
rapport à la première salve.

C’est là que tu ne peux retenir tes premiers cris :

-Aaaaaaaye !... Nooooooon !... Maîtresse !... Vous me faîtes !... Maaaaaaal !...
Ça suffit pour une première fessée !... S’il vous plaît, Maîtresse !...

Sans cesser la percutante fessée, Maîtresse Cindy explique :

-Déjà m’arrêter ? Tu plaisantes, j’espère ! Ma main ne connaîtra parfaitement ta
croupe que quand elle sera uniformément rouge.

Sous la douloureuse fessée, tu te rends compte que tu bandes complètement dans
la prison des cuisses de cuir qui t’enserrent.

Tu ne comptes plus les claques qui percutent toujours tes fesses, sans relâche,
avec la même irritante puissance.

Tu replis ton bras droit afin d’aller t’offrir un rempart de ta main.
La voix toujours aussi douce de Maîtresse Cindy t’arrête net :

-Stop ! Remet ta main où elle était tout de suite. Pour ce geste, après ta fessée, je
t’allouerai un supplément.

-Nooooooon !... Maîtresse !... Excusez-moi !... Mais j’ai trooooooop !...
Maaaaaaal !... Arrêtez la fessée !... S’il vous plaît !...

-C’est bientôt fini ! Dès que ta croupe sera parfaitement rouge, comme si tu
avais un slip carmin.

Peu après :

-Voilà les trois dernières.

Chaque fesse et leur base sont claquées fortement, ce qui te fait hurler.
Le bras gauche ne te ceinture plus et cette main, toujours fraîche, contre toute
attente, caresse ton cul martyrisé. Puis :

-Allez, debout !

Tu te mets sur pied avec plaisir, t’éloignes de ta fesseuse, frottes tes fesses avec
plaisir.

Maîtresse Cindy quitte la chaise, s’approche de toi, prend ta bite bandante dans
sa main droite :

-C’est elle qui va être punie pour la main dont tu as voulu te servir en protection.

-Oh ! Non, Maîtresse ! C’était machinal !

-Je sais, mais ça évitera que tu recommences lors d’une prochaine fessée.

Sans lâcher ta bite, elle te remorque vers la table où repose une mallette
Samsonite qu’elle ouvre de son autre main, prend une cravache très courte mais
avec une languette en cuir rouge large et épaisse.
Maîtresse Cindy la prend dans sa main gauche, de la droite, décalotte ton gland.

-Cinq coups de cravache pour ton incartade. Regarde-moi droit dans les yeux !
La peur au ventre tu la fixes.
Tu ne vois rien, mais le premier coup te cingle sèchement.

-Aaaaaaaye !...
Au troisième des larmes envahissent tes yeux, brouillent ta vue.

Après le cinquième, tu manques de défaillir, alors que Maîtresse Cindy lâche ta
bite, repose la cravache, prend ton visage entre ses mains, approche le sien et
lèche les larmes qui coulent sur tes joues.

Puis elle pose ses lèvres sur les tiennes, et tu réponds à l’ardent baiser dont elle
te gratifie avant de reculer et de te dire :

-J’ignore le temps que nous resterons ensemble voire si tu donneras suite à cette
soirée, mais en attendant, suis contente que tu embrasses bien. D’ailleurs, j’ai
oublié de te faire embrasser ma main juste après ta fessée. Signe que tu m’as
quand même troublée. Va au bout du couloir, il y a le maître d’hôtel, demande
lui la carte et revient.

Comme tu t’approches de tes habits, Maîtresse Cindy interrompt ton geste :

-Que fais-tu ?

-Je m’habille pour sortir, Maîtresse !

Elle rit (joli rire clair, agréable) :

-Inutile, cet étage est réservé aux couples amateurs de S. M., vas-y comme tu
es !

-Bien, Maîtresse !

Tu te rends au bout du couloir, un peu honteux malgré tout, surtout en croisant
une jeune fille aux seins rougis, aux aréoles garnis de pince. Quand elle t’a
dépassé, tu te retournes et ses fesses sont comme doivent être les tiennes :
rouges coquelicot.

Un homme d’une cinquantaine d’année t’accueille :

-Bonsoir. Vous désirez ?

-La carte, s’il vous plaît, Monsieur.

Il te tend deux cartes assez longues et, quand tu te retournes pour gagner le
salon, t’interpelle :

-C’est vous qui êtes avec Maîtresse Cindy ?

Tu t’arrêtes, le fixe :

-Oui. Pourquoi ?

-Simple : on voit que vous avez été copieusement fessé. C’est ce qu’elle
préfère...

Tu repars en te demandant si lui n’a pas été aussi fessé pour une erreur de
service.

Pour le repas, que tu payeras, elle te laisse le libre choix des mets, précise :

-Avec moi pas de repas dans des écuelles ou du jeu avec la nourriture. C’est
sacré !

-Vous avez raison, Maîtresse. Je n’aurai d’ailleurs pas donné suite à cette
rencontre dans ce cas.

Notre choix fait, tu rapportes le menu au maître d’hôtel qui te précise :

-Vous direz à votre Maîtresse que je livrerai le repas dans vingt minutes.

-Merci, Monsieur.

Quand tu es avec Maîtresse Cindy, tu lui rapportes le délai d’attente.

-Parfait ! On a encore un peu de temps à nous.

Elle te désigne le fauteuil, t’ordonne :

-A genoux, ventre contre le dossier, cuisses bien écartées.
Un peu inquiet, tu demandes :

-Que... Qu’allez-vous me faire, Maîtresse ?

-Rien de méchant...

Elle se dirige vers sa mallette, sort une boîte avec des gants de latex et un pot de
gel, poursuit :

-Faire connaissance avec ton trou du cul, afin de déterminer si je te garni d’un
plug avant d’aller chez toi ou chez moi après le repas.

-Faîtes doucement... A part la prise de température... Mon anus est vierge.

-Je m’en doute.

Main droite gantée, elle oint ton anus de gel, fait de même avec ses majeur et
index.

Puis Maîtresse Cindy pose sa main gauche sur tes reins, appuye afin d’accentuer
la cambrure de tes fesses ; son majeur se pose sur ton anneau rectal, elle pousse
et le doigt pénètre en toi, te faisant un peu mal.

-Aaaaaaaye !

Elle enfonce le majeur jusqu’à sa paume, dit :

-Tu es bien serré, en effet.

Maîtresse Cindy fait naviguer son doigt en toi, opère un retrait, puis l’enfonce à
nouveau, le sort complètement, t’alloue une claque, décide :

-Je vais te mettre un plug, comme ça ton conduit va s’agrandir un peu. Garde la
position.

Elle va à sa mallette, choisis un plug qu’elle recouvre d’un préservatif, le graisse
copieusement de gel. Elle revient derrière toi : le plug est assez long, dix-huit
centimètres, en fait un cône qui s’élargit jusqu’à la base et se termine par un
hiatus afin qu’il tienne bien en toi.

Tu protestes :

-Non !... Non !... Maîtresse !... Ça ne va pas entrer !...

Maîtresse Cindy te claque les fesses par deux fois, rétorque :

-Ne te plains pas toujours. Ça va pénétrer sans souci et parfaitement tenir.
Elle appuye de nouveau sur tes reins, abouche le plug contre ton trou du cul en
le tenant à la base d’une main ferme, pousse.
Tu sens ton anus qui s’écarte alors que le plug pénètre, doucement mais
fermement.

-Aaaaaaaye !... Ça m’élargit trop, Maîtresse !... Ça n’entrera pas !...
Malgré toi, tu serres tes fronces anales.

La main gauche quitte tes reins et tu reçois quatre claques alors qu’elle dit :

-Ne serre pas ton cul ! Détend toi au contraire !

-Je ne peux pas, Maîtresse... Aaaaaaaye !...

Quatre nouvelles claques sur tes fesses, puis elle lâche :

-Veux-tu d’autres claques pour t’y aider ?

-Non !... Non, Maîtresse !...

-Alors relâche-toi ! Sinon quand le maître d’hôtel va te voir dans cette position,
il va rester pour te mater.

Du coup tu te relâches et, sous la poussée permanente, le plug poursuit sa
progression en toi. Tu sens ton conduit se dilater progressivement au fur et à
mesure de la lente avancée du cône. Maîtresse Cindy t’encourage :

-Voilà ! Encore quelques centimètres et tu l’auras en entier.

Tu as l’impression d’être complètement rempli par le plug quand ton orifice
anale se referme sur le hiatus terminale laissant la seule plaque de la base à
l’extérieur.

Au même moment on toque à la porte.

Maîtresse Cindy dit :
-Entrez !

Tu n’as pas le temps de protester que la honte te submerge. En tournant la tête,
tu vois que ce n’est pas le maître d’hôtel qui entre, mais une jeune serveuse,
court vêtu, portant un grand plateau.

Son regard voit le tableau que tu offres : à genoux dans le fauteuil, nu, cul rouge,
avec ce plug en toi.

Elle demande, comme si de rien n’était :

-Où pose-je le plateau, madame ?

-Sur la table. Merci.

Maîtresse Cindy te laisse ainsi, va à son sac à main, y pêche son porte-monnaie
l’ouvre, en sort un billet de 5€ qu’elle tend à la serveuse. Elle la remercie et sort,
fermant le battant, après un dernier regard vers toi.

-Allez, debout, viens t’asseoir
Tu éprouves quelques difficultés avec cette présence incongrue en toi.
Néanmoins, penché vers l’avant, tu quittes le fauteuil et marche à petits pas
jusqu’à la table.

T’asseoir n’est pas aisé car quand tes fesses adhèrent au cuir de la chaise, tu as
la pénible impression que le plug s’enfonce d’avantage.
Le repas se déroule tranquillement.

Tu devises avec ta Maîtresse, de tout et de rien.
Le repas achevé, Maîtresse Cindy t’ordonne :

-Va poser le plateau par terre près de la porte et on décidera de la suite du
programme.

-Bien, Maîtresse.

Tu as un peu honte en ouvrant la porte, nu avec un plug dans le cul.
Heureusement aucun quidam dans le couloir. Ça te fait un peu mal quand tu te
baisses pour poser le plateau à terre, mais tu ne traînes pas, refermes vite le
battant avant de revenir vers ta Maîtresse qui décide :

-Allons chez moi, nous serons plus à l’aise. Habille-toi !
Tu la fixes, demandes :

-Et... Et le plug ?

-Exact.

Maîtresse Cindy te contourne, posa une main à la base du plug, le fait naviguer,
ce qui te gêne un peu car tes chairs ont adhéré au préservatif, lâche :

-Pas de souci, tu peux le garder.

Elle te gratifie de deux claques, ajoute :

-Ne perdons pas de temps, j’ai très envie de t’enculer.

Ça te laisse muet.

L’appartement de Maîtresse Cindy, situé dans le septième arrondissement,
avoisine les trois cents mètres carrés.

Nous sommes dans la chambre réservée aux parties de plaisir. Outre un grand et
large lit, un gros pouf de cuir noir, assez haut, deux fauteuils, une armoire vitrée
avec, sur les étagères, des olisbos de toutes tailles, des menottes, pinces, chaînes.
L’attirail complet de la dominatrice.

Sur un mur sont suspendus des gants de cuir, martinets, cravaches et paddle.
Elle a troqué son pantalon de cuir contre un short de cuir noir ; toi : nu.

-On va pouvoir ôter ton plug. Va t’agenouiller dans le fauteuil.

Elle ponctue son ordre de deux claques sur ton cul.

Mains gantées de latex, Maîtresse Cindy vient dans ton dos, agite le plug, ce qui
te fait pousser un :

-Aaaaaaaye !

Et elle tire sèchement tout en remuant le plug.

Ça te fait presque plus mal qu’en entrant, mais tu es content d’en être enfin
débarrassé.

Maîtresse Cindy pose plug et gants sur un plateau, revient vers toi, toujours dans
la même position :

-Ton cul est juste rosé. Donc je vais te donner une nouvelle fessée avant de
t’enculer.

Tu protestes :

-Non ! Non, Maîtresse !

-Préfères-tu le martinet ? Voire le paddle ?

-Bon... D’accord pour une fessée, Maîtresse !

Sachant que tu vas devoir subir une nouvelle correction, autant accepter une
fessée. Moindre mal. Si l’on peut dire.

Maîtresse Cindy s’assoit sur une chaise à haut dossier, et, sans même qu’elle t’y
invite, tu t’allonges à plat ventre, ta bite entre ses cuisses nues. Elle approuve :
-C’est bien, tu commences à devenir obéissant.

Elle te ceinture de son bras gauche, et sans préavis, la première claque percute
sèchement ta fesse droite, vite suivi par d’autres, à cadence rapide.

Très vite, malgré ta volonté de ne pas l’en régaler, tu cries :

-Aaaaaaaye ! Maîtresse, ça fait maaaaaaal ! Doucement, s’il vous plaît !...

Les claques sèches sont douloureuses à supporter. Heureusement, si l’on peut
dire, Maîtresse Cindy passe à la fesse gauche.

Tu continues à crier ta douleur, battant des jambes dans la vaine tentative
d’échapper à l’odieux châtiment dont ton cul nu est la cible :

-Pitié, Maîtresse !... Pluuuuuuus !... C’est insupportable !... Arrêtez la fessée, s’il
vous plaît !... Nooooooon !... Asssssssez !

Autant prier un mur.

Maîtresse Cindy fesse ton derrière à la base avec un léger mouvement
ascendant, rétorque :

-Tu sembles oublier que c’est une correction, pas un plaisir. Je te veux les fesses
bien rouges. Là, c’est fini ! Debout !

Tu ne te fais pas prier pour te remettre illico sur pieds, et tu te masses aussitôt
les fesses à pleines mains, sentant ton cul bouillant.

Maîtresse Cindy quitte son siège, va jusqu’au haut et large pouf de cuir blanc, le
place au centre de la pièce, t’ordonne :

-Met toi à place ventre ici, à genoux !

Elle se rend à l’armoire vitrée, l’ouvre, choisis un gode d’une bonne vingtaine
de centimètres, véritable copie d’un sexe d’homme, avec un gland large et une
colonne épaisse, le gaine d’un préservatif de latex noir, l’adapte à une ceinture
dont elle se ceint.

Puis Maîtresse Cindy, un pot de gel en main, revient vers toi après avoir ganté sa
main droite d’un gant de latex.

Elle oint une bonne couche de gel sur le gode, puis, ouvrant ton cul de sa main
gauche, elle en dépose une bonne dose sur ton trou du cul.

Elle dépose gant et pot à terre, place ses deux mains, dont la fraîcheur te
surprend, sur tes fesses rouges, abouche le gland sur ton orifice anal et pousse.
Malgré ta bonne volonté d’obéissance, tu te crispes.
Maîtresse Cindy lâche ta fesse droite et te gratifie de deux claques, annonce :

-Ne commence pas à te contracter ou je vais être obligé de te fesser à nouveau.
Décontracte-toi ! Ça va rentrer tout seul.

Tu te décrispes et, aussitôt, le nœud commence à pénétrer en toi, écartant
largement ton orifice.

Tu cries :

-Aaaaaaaye !... Doucement, Maîtresse !... Ça me fait mal !...

Sans te répondre, ses deux mains agrippées à tes lombes, Maîtresse Cindy
continue à forcer le passage, lentement, sereinement, sans à coup.
Tu te sens envahi par le gode qui emplit ton conduit anal, pénétrant en toi. C’est
une grande première, qui, contre toute attente, te fait bander.

Centimètre après centimètre la colonne raide continue son percement. Tu
t’agrippes au cuir du pouf, bouche ouverte sur tes cris :

-Arrêtez, Maîtresse !... Ça m’éventre !... Asssssssez !... Ça n’entrera pas plus
loin !... C’est trop gros !...

-Cesse de te plaindre ! Tu en as déjà la moitié dans le cul ! Après tu en
redemanderas !

Maîtresse Cindy poursuit sa tranquille pénétration, sans marquer un temps
d’arrêt.

Tu serres tes fronces dans la vaine tentative de faire cesser la progression du
gode. En vain. Il glisse parfaitement.

Et soudain ça s’arrête. Maîtresse Cindy lâche tes fesses, caresse ton dos, dit :
-Ca y est ! Tu l’as en entier dans ton cul !

Elle continue ses caresses, puis passe sa main droite entre pouf et ventre, jusqu’à
ta bite bandante, constate :

-J’étais sûr que tu banderais. Alors ne me dis plus que tu n’apprécies pas d’être
enculé.

Elle remet ses mains sur tes hanches et commence à reculer.

Tu as l’hideuse impression que ton ventre va se vider derrière le gode.

Maîtresse Cindy laisse habilement le gland en toi et s’enfonce à nouveau, plus
rapidement cette fois.

-Ouaaaaaaah !... Aaaaaaaye !...

Tes deux cris soulignent le nouveau retrait.

Mais sous les va et vient du gode, tu ne cries plus, car en fait tu t’habitues.

Maîtresse Cindy poursuit ses allers et retours réguliers, te lâche les fesses, passe
une main sous ton ventre et te branle en cadence, alors que son autre main va
dans son short et elle se caresse.

Tu te laisses aller, t’habituant à la possession anale.

Peu après tu éjacules dans la main de ta Maîtresse alors qu’elle aussi jouit.

Elle s’écroule sur ton dos où elle reste sans bouger.

Tu voulais rencontrer une dominatrice, c’est fait et tu en as jouis...