mercredi 15 septembre 2021

Ces dames aux mains fermes par Ramina

 CES DAMES AUX MAINS FERMES

LE CUISANT WEEK-END DE ROBIN EN FAMILLE.

Chapitre 2 : Patricia, une sœur sévère.






–  « Non mais Robin, tu as vu l’heure ? Tu viens d’où? s’emporte immédiatement Gladys, la poitrine gonflée de colère qui n‘avait pourtant pas besoin de ça pour s‘émanciper de son décolleté. Comme d’habitude, elle en rajoute un peu, histoire d’aggraver la situation et justifier la sévérité de la correction dont elle a l’intention de lui gratifier le derrière. 

– «  Ta sœur et moi, on en étaient même à se demander si tu avais l’intention de rentrer! » Ironise t-elle.

– Mais...mais  maman, j’étais avec Gérôme. On discutait et …et … je n’ai pas fait attention à l’heure...j’ai raté mon bus!

– Mince alors, mon pauvre chéri, tu as raté ton bus ! Tu n’as vraiment pas de chance!

– Ben non…

– Tu te fiches de moi là, hein ?

– Euh…Non maman, je te jure! 

– Oui, parce que contrairement à ce que supposait ta sœur tout à l’heure, tu ne pouvais pas être avec Gérôme. Je sais, qu’en ce moment il est en retenue tous les Week-End ! Alors ne nous racontes pas d’histoire ! »


Patricia qui ne manifeste aucun scrupule à l‘enfoncer un peu plus son frère dans son mensonge, surenchérit.


– « Surtout que de Ste Marie à ici, il y a un bus tous les quart d‘heure ! »


 Robin, bafouille. Il sait que ni sa sœur, et encore moins sa mère, ne vont lui épargner l’inévitable fessée prévue en cas de désobéissance aux règles de ponctualité de la maison. Le ton autoritaire de sa mère le tire de sa brève réflexion sur l’avenir immédiat de son postérieur.


– «  Tu m’écoutes Robin! Tu viens de désobéir et de mentir effrontément pour essayer de justifier ta mauvaise conduite. Tu sais ce qui t’attend? 

– Euuuuh oui… maman… Je sais.

– Bien, alors dis le moi,  Je t’écoute !

– Euuuh… une fessée maman.

– Exact, une fessée ! Mais encore... une simple fessée? 

– Non maman pas une simple fessée… Une bonne fessée!... Maman! 

– Plutôt oui ! Et une bonne fessée comment? 

– Une bonne fessée déculottée maman!

– Parfait, ça, au moins, tu l’as retenu. Alors ne perdons pas de temps. Amène moi tes fesses pour que je les déculotte. Je vais te flanquer les deux fessées que tu reconnais avoir méritées ! »


Robin regarde sa mère, l’air ahuri. Son cartable lui en tombe des mains. Il le ramasse par réflexe sans se rendre compte qu’il s’est ouvert tout seul. Quelques livres et une enveloppe restent par terre.  


– « Comment ça deux fessées? Pourquoi deux maman ?

– Ah parce que maintenant tu discutes ! »


Gladys fait semblant de se radoucir et reprend sur un ton faussement affectueux. 


– « Mais mon chéri, c’est très simple, dois je encore te rappeler les closes du contrat de discipline pour les garçons désobéissants, avec le  tarif des fessées en vigueur ? Oui ? »


 Robin ne répond pas. Il sait de toute façon que, quoi qu’il dise, sa mère inflexible, va lui flanquer la raclée qu’il a méritée. Et ça ne va pas traîner. Dans quelques secondes, il va se retrouver, déculotté, à plat ventre sur ses genoux, le derrière tressautant sous une magistrale fessée. Car pour Gladys, une petite ou une moyenne fessée, ça n’existe pas. Au catalogue des punitions ne figure qu’un seul modèle, mais pas n’importe lequel. Le modèle grand format. La fessée magistrale. 

Plutôt préoccupé de l’avenir immédiat de son postérieur, Robin enregistre à peine l’énumération des sanctions que sa mère lui rappelle avec insistance et une pointe de jubilation dans la voix. 


– « Tu sais comment ça fonctionne Robin. Au moindre écart de comportement, c’est la fessée ! Alors le calcul n’est pas difficile à faire, deux écarts, deux fessées! Une pour te punir de ton retard  inadmissible et la deuxième pour ton mensonge grossier. Le compte y est mon cher ! »

– Robin! Tu écoutes ce que te dit maman? » 

Le rappelle à l’ordre sa sœur que la main commence à démanger. Elle caresse d‘un regard enveloppant, la volumineuse paire de fesses qui gonfle le fond de son pantalon. 

-- « ll n’a pas l’air, dit sa mère, c’est parle à mes fesses ma tête est malade !

– Et bien on va lui parler à ses fesses ! »


Planté  dans le vestibule, immobile, le cartable à main, Robin semble tétanisé dans une situation qui n‘est pourtant pas nouvelle pour lui. Les menaces de fessées suivies d’exécution immédiate sont habituelles, ça se produit régulièrement.  Malgré cela, il sent ses fesses trembler au fond de son slip. Maman n’a pas l’habitude d’y aller de main morte. Il sait qu’il va encore s’en prendre des sévères, c’est sûr. Une semaine de punitions à Ste Marie lui ont fait un peu oublier le contexte familial. Conscient, mais souvent trop tard, de sa tendance chronique à enfreindre les consignes, il ne s’attendait pas un accueil triomphal. De là à se ramasser deux fessées à peine arrivé... 

Patricia reprend l’initiative et le sort de sa torpeur:


–  «Tu n’as pas bien entendu Robin, maman t’a demandé tes fesses! Et quand maman demande tes fesses, tu sais qu‘elle n‘aime pas attendre, alors tu les lui amène et en vitesse ! »


Elle le saisit par le col de sa veste et le secoue sans ménagement en imitant avec humour les annonces d’informations diffusées dans certains espaces publics. 


-- « La maman du petit Robin attend ses fesses sur ses genoux pour lui flanquer sa raclée! 

Claironne t-elle d’une voix forte. Gladys, magnanime, s’en amuse et lui concède la première salve.

– « Puisque tu a l’air d’en avoir tellement envie, Patricia, à toi l’honneur de la première fessée. Je te laisse la direction de la cérémonie d’ouverture des festivités.

– Merci maman, avec plaisir!  »

Elle enchaîne aussitôt.

– « Baisse ton pantalon Robin et viens ici! »


Robin sait qu’il n’a pas le choix. Il s’exécute immédiatement, déboucle sa ceinture, défait sa braguette  et, le pantalon sur les chevilles, s‘approche de sa sœur. Les jambes entravées, il se déplace d’une démarche chaotique. Il a beau avoir l’habitude, être obligé à vingt et un ans de s’exhiber le derrière à l’air et le sexe en évidence devant sa mère et sa sœur...Il se sent humilié, ridicule. Elles s’en amusent ouvertement lorsqu’il essaye de le cacher derrière ses mains plaquées dessus. 


Patricia ne perd pas de temps. Elle le saisit  par les cheveux et, résolue à lui flanquer sa fessée sur ses genoux, elle cherche du regard une place sur la banquette, Mais le siège est encombré par les paquets déposés  par sa mère. Elle décide alors de le corriger dans une autre position. Ses gestes sont précis, rapides, efficaces. Elle le courbe vers le sol, lui coince la  tête entre ses cuisses et, le ceinturant de son bras gauche passé sous son ventre, le soulève pour le positionner, fesses en l’air, tendues à sa main. Ses pieds ne touchent plus le sol  Robin  gémit sourdement. Il couine et transpire déjà, les joues irritées par le frottement des bas nylon de sa sœur. 


– « Excellente idée ma chérie, belle position! s’exclame Gladys On n’y pense pas assez souvent. 

– Oui, je la trouve très pratique. Les fesses sont bien déployées et à égale distance de la main. De plus Il ne peut pas se les protéger pendant sa correction »

Robin commence aussitôt à supplier en criant.  

– «  Pitié maman ! Patricia! Pas déjà la fessée ! Je ne le ferai plus, je rentrerai à l’heure! Promis juré ! » 

Patricia ne se préoccupe pas le moins du monde de ses protestations. Elle le maintient solidement en position sa main gauche passée sous son ventre et commence à le déculotter de son autre main. Celle qui va claquer . 

Gladys toujours attentive au moindre détail, réagit la première. 


– « Mais dis moi Robin!  s’exclame t-elle d’un ton faussement étonné , tu n’aurais pas déjà reçu une correction aujourd’hui. Tu as des marque rouges sur les fesses  !  Sûrement une fessée déculottée à la main, et bien appuyée même... on distingue encore les traces de doigts. »

– Oui maman !  répond la voix étouffée de Robin d’entre les cuisses serrées de sa sœur. Il ne peut manifestement pas nier l’évidence...C’est sœur Marie-Odette avant de partir. J’avais oublié de prendre mon carnet de correspondance.  

– Tu m‘en diras tant!  Encore une fessée bien méritée. Ta sœur va se charger de la suivante. Aller ma chérie, il est à toi !  Mets lui en une sévère ! » 



Patricia resserre les cuisses autour de son cou pour le maintenir bien en place pendant qu‘elle le déculotte. La mise en positon du derrière à corriger et le déculottage constituent les moments les plus excitants en préparation de la fessée qui s'en suit. Elle passe ses doigts sous la ceinture du slip qu’elle fait glisser avec dextérité sur les courbes volumineuses de la croupe tendue. Robin commence déjà à gémir. Il sent l’air frais caresser ses fesses au fur et à mesure que sa soeur les dégage du nylon en faisant sèchement l’élastique du slip sur ses cuisses. Elle échange un regard complice avec sa mère qui la gratifie d’un sourire d'encouragement et démarre, à toutes volées, une retentissante fessée qu'elle administre avec un plaisir manifeste. . Robin pousse aussitôt des petits cris de douleur, sous les commentaires ironiques de sa soeur.


– « Oh le pauvre chéri, je viens à peine de commencer qu’il se met déjà à pleurnicher. Ça promet pour la suite ! »


Indifférente à ses plaintes Patricia fait déjà preuve d’une bonne expérience et trouve rapidement la bonne cadence., Consciencieuse de remplir avec efficacité sa noble mission punitive, elle  s’applique à bien ajuster les claques en puissants allers et retours sur chaque fesse. Elle fesse fort, sec et serré et ça claque dur. Soumis immédiatement à rude épreuve, Robin clame sa douleur au fur et à mesure de la montée en température de ses fesses, à peine remises de la cuisante déculotté que  sœur Marie-Odette lui a flanquée au moment de sa sortie de l’école. 


– « C'est bien ma chérie, mais n'hésite pas à taper encore plus fort, il a les fesses dures !!  Encourage Gladys qui suit attentivement le déroulement de la punition. Ne t’occupes pas de ses pleurnicheries, quand la voix monte comme ça, c’est que la fessée est bonne.

– Je sais maman, je sais,  ce n’est pas la première que je lui claque au derrière! »


Patricia fesse dur. Elle veut montrer à sa mère, l'autorité qu'elle exerce sur son frère et la manière dont elle est maintenant capable de le corriger. La position qu'elle a choisi est aussi spectaculaire qu'efficace.  Les fesses déculottées du puni sont bien présentées, pleinement déployées, placées à la même distance de la main, ce qui permet à chacune d’elle de bénéficier d’un traitement identique.  Elles rougissent et chauffent en cadence sous les allers et retours équitablement répartis.

 Patricia se régale et s’applique à bien fesser. Elle entend profiter pleinement du sentiment de possession qu’elle ressent à contempler les fesses rougeoyantes de son frère, coincées entre ses cuisses, et les voir tressauter en cadence au rythme de la fessée qu’elle lui administre. Robin, malgré sa taille d’adulte, n’est pas très lourd. Elle lui  maintient les fesses en l’air sans difficulté et lui flanque sa déculottée avec une énergie propre à rassurer Gladys sur ses capacité à fesser avec la sévérité nécessaire. 


Stimulée par sa mère, la jeune femme ne semble pas disposée à lâcher sa proie, mais plutôt décidée à faire durer la fessée. Elle accentue la pression de ses cuisses, gainées de nylon qu'elle frotte en rythme sur les joues de sa victime pour le maintenir bien en place, et augmente progressivement la cadence. Robin reçoit immédiatement le changement de rythme en ployant les reins sous la puissance des claques. Il sait qu’il finira par céder et éclater en sanglots, mais essaye malgré tout d’en retarder l’échéance en retenant ses larmes. Dernier moment d’une dérisoire résistance pour conserver un semblant de dignité sous la main ferme qui lui incendie le derrière. Agrippé aux fortes cuisses de sa soeur, la tête coincée entre les deux, solidement maintenu en position, il saute d’un pied sur l’autre en tortillant ses grosses fesses dans une vaine tentative d’amortir les claques qui s’abattent dessus en rafales. Il rebondit sur place, en suppliant, appelant à une clémence que sa charmante soeur n’a aucunement l’intention de lui accorder. 


–«  Ahhhh Patricia, s’il te plait, pas si dure la fessée ! Tu tapes trop fort, de plus en plus fort ! Ça fait mal ! »


Indifférente à ses supplications, elle prend ça plutôt comme un compliment. Les dents serrées par l‘effort, la main ferme, bien enveloppante pour claquer un maximum de surface de chaire à chaque fois, elle se concentre sur l’intensité de sa frappe. 

Et Robin s’aplatit en pliant les jambes, les relève l’une après l’autre, exécutant une frénétique danse des fesses, au risque de craquer les élastiques de son slip tendu en travers de ses cuisses. Malgré ses contorsions désespérées, il ne peut soustraire un centimètre carré de chaire  aux magistrales claquées qui continuent inlassablement à lui cuire le derrière. Un derrière sévèrement corrigé qui irradie maintenant le vestibule d’un resplendissant rouge écarlate uniformément réparti sur toute sa surface. 


– Mais j’espère bien que ça fait mal! reprend Patricia qui poursuit avec ténacité le claquage intensif de la splendide paire de fesses qu‘elle a sous la main. Et elle en profite, sans états d’âme, trop heureuse de l‘avoir à son entière disposition. ,

–« Les fessées sont faites pour ça mon cher! Faire mal au derrière sinon ce ne sont plus des punitions » 

 Elle est obligée d’élever la voix pour se faire comprendre tant le niveau sonore de la fessée est assourdissant.

 

Gladys n’en perd pas une miette et exprime sa satisfaction en ponctuant chaque claque d’un hochement de tête approbateur. Ferme, rapide, cuisante, là deuxième main qu’elle a si bien initiée montre qu'elle est prête à entrer en service pour corriger les messieurs indisciplinés et mal éduqués qui font partie, en nombre, de leur entourage. . 


Le dialogue haché entre le frère et la sœur se poursuit, en parti couvert par le claquement retentissant du fessier sévèrement corrigé.  

– « Oui, mais… mais… quand même. Trépigne Robin qui commence à avoir du mal à respirer, la tête toujours coincée entre les cuisses de sa sœur, les joues en feu sous le frottement de ses bas nylon.  Ça… ça cuit ! Pitié! Pitié arrête ! »


Patricia le corrige à l’énergie et la fessée ne faiblit pas . C’est un vaste incendie qui embrase toute la surface de ses fesses du bas des reins  jusqu’à l’élastique du slip, tendu sur le haut des cuisses.

   –  «  Robin, ton cirque ça suffit ! Tu n’es vraiment pas en situation de réclamer quoi que ce soit. »

 Intervient soudain Gladys exaspérée par les protestations intempestives de son fils. 

– « Cesse de hurler et de gigoter comme ça! Tu acceptes ta fessée, un point c’est tout ! Et arrête de tortiller des fesses sans arrêt. Contente toi de les garder en place! Comment veux tu que ta sœur te fesse correctement  jusqu’au bout ! »

– Ne t’inquiète pas maman, je maîtrise la situation. il va se prendre sa raclée jusqu’au bout ! Et aussi longtemps que je le déciderai.

– C'est bien ma chérie. Mais à l’entendre réagir comme il le fait, je n’ai pas l’impression qu’il en tire vraiment la leçon. Ce garçon reste insolent et incorrigible. Tu n’es pas assez sévère avec lui. Il faut que tu fesses avec davantage d‘énergie, qu‘il apprenne à ne pas protester quand il reçoit ses fessées. Rien que pour ça il en mérite une autre. Je la lui mettrai tout à l‘heure quand on abordera la question de ses résultats scolaires »


Stimulée par sa mère Patricia ne se fait pas prier. Elle reprend la fessée de plus belle, en augmentant la cadence et la puissance des claques avec un enthousiasme clairement affiché. Robin se remet aussitôt à hurler et se débat comme un beau diable en tortillant frénétiquement son postérieur en fusion. Il bouge tellement que Patricia commence à avoir du mal à le tenir en place pour continuer à lui ajuster les claques avec précision. 


– « Bon ça suffit, passe moi ses fesses, il m’énerve!  S’écrie Gladys furieuse. Je vais lui ôter l’envie de faire le malin.

– Comme tu veux maman. Mais tu sais,  je peux continuer. C‘est sûr, tu as plus l’habitude que moi et tu tapes beaucoup plus fort. Pour autant, je ne suis pas mécontente de ma fessée, je lui en ai quand même claqué une bonne!

– Mais ma chérie, je ne dis pas le contraire. C'est une excellent fessée.  Bien fournie, cuisante et claquante, comme je les aime et comme je t’ai appris à les donner. Je ne fais pas beaucoup mieux tu sais. D’ailleurs Il suffit de regarder la couleur de ses fesses… Maintenant comme il continue à faire l’intéressant, il est temps que je le reprenne moi-même en mains. Tu peux le lâcher. » 


Patricia desserre les jambe, libérant son frère, toujours empêtré dans son pantalon et son slip. Il s’écroule à genoux à ses pieds en gémissant. Ses joues apparaissent marquées de chaque côté par l’empreinte de ses boucles de jarretelles, Elles sont brillantes de larmes et presque aussi rouges que ses fesses en pleine cuisson. Instinctivement, sans réfléchir, il se les prend à deux mains pour essayer d’en atténuer un tant soit peu l’incendie. L'inconscient 

Sa mère le fusille aussitôt du regard

– « Mais qu’est ce que tu fais Robin? S’écrie t-elle. Qui t’as autorisé à te frotter les fesses, viens ici ! Tout de suite!

– Mais maman, tu ne te rends pas compte, ça fait mal ! Patricia claque dur, j’ai les fesses en feu !

– C’est la meilleure celle là… je ne me rends pas compte. Viens ici je te dis ! »


Il y avait des moment ou Gladys se demandait avec inquiétude, si son fils, malgré ses vingt et un ans, faisait semblant d’être imbécile ou s’il l’était vraiment. A moins qu’il ne jouait simplement la comédie pour mieux se moquer du monde. Après une telle fessée il trouvait encore le moyen de se distinguer avec des remarques déplacées et en ignorant les consignes. 


samedi 28 août 2021

Le cuisant week-end de Robin en Famille - Chapitre 1

 LE CUISANT WEEK-END DE ROBIN EN FAMILLE

Cette série nous est proposé par Ramina que je remercie pour sa participation.

Chapitre 1 :  Une bonne discipline domestique

Gladys attendit que le chauffeur du taxi vienne lui ouvrir la portière pour 
sortir. Elle ne descendit pas tout de suite et le laissa attendre debout 
sur le trottoir, le temps de dire au revoir à son amie restée à l’intérieur 
pour se faire reconduire chez elle.
– « Ma chérie je te laisse, on se voit samedi pour le dîner, comme prévu!  
–   Entendu. A Samedi... Je n‘amène rien de particulier ? » demande Edwige 
après une chaleureuse embrassade .
–  Non, inutile d’apporter quoi que ce soit, tu sais bien, il y a tout ce 
qu’il faut à la maison! A moins que tu préfères utiliser tes instruments 
habituels. C’est comme tu veux, mais n’oublie pas t’amener ton mari, 
évidemment! »
. Les deux femmes échangèrent un clin d’œil complice et éclatèrent de rire 
en même temps.
- « Oh ça ne risque pas! Nous serons là pour dix neuf heures. J‘ai hâte d‘y 
être » répondit Edwige en se tortillant d’impatience sur la banquette au 
milieu de ses paquets.
Gladys descendit de la voiture et, sans même regarder le chauffeur, lui 
glissa un billet de dix euros qu‘elle lui tendit négligemment entre deux 
doigt gantés de dentelle noire. Elle ne pris pas la peine de l’entendre la 
remercier, claquant déjà des talons aiguille vers la porte d’entrée de sa 
maison. Ce n’était pas du mépris, ni de l’arrogance mais un inclinaison 
naturelle à dominer ses sujets… de préférence masculins. Elle traversa 
l’allée du jardin d’une démarche onduleuse, balançant dans chaque main les 
grands sacs imprimés aux marques de son shopping de la journée. Elle gravit 
d’un pas alerte les trois marches du perron. La porte n’était pas fermée à 
clé. Il était plus de dix neuf heure,t il y avait au moins quelqu’un de 
rentré. Le respect des horaires fixés n’était pas la moindre de ses 
exigences. Ce ne pouvait être que Patricia. A l’inverse de son fils et de 
son mari, sa fille faisait toujours preuve d‘une irréprochable ponctualité.

Gladys était une belle femme plantureuse, de celle que l’on dit dans la 
fleur de l‘âge, proche d’une cinquantaine, triomphante. Femme de caractère, 
au physique avantageux, elle portait haut, dominant, et dégageait une 
impression d’autorité naturelle qui inspirait d’emblée le respect. 
Héritière d’une famille relativement aisée, fin de branche d’une 
aristocratie militaire tombée en désuétude et en perte de notabilité, elle 
avait subit une éducation rigoureuse sous la férule d’un père 
intransigeant . C’est probablement par phénomène de compensation qu’elle 
avait décidé de renverser ce rapport de force à l’avantage du sexe prétendu 
faible. La formule ridicule était loin de correspondre à sa personnalité.et 
encore moins en rapport avec son tempérament  de femme forte. Elle avait 
transmis à sa fille, son sens naturel de l’autorité qu’elle exerçait 
notamment sur son fils Robin et Edouard, son second mari, soumis 
quotidiennement à une stricte et sévère discipline domestique. Une seule 
méthode, radicale mais efficace, l‘emploi systématique de la fessée, 
justifié par des raisons éducatives d’épanouissement du corps et de 
l’esprit.

Sa fille, Patricia, vingt quatre ans passés, vivait toujours sous le même 
toit, le temps de terminer ses études. La jeune femme cohabitait sans 
problème et disposait de son emploi du temps comme elle le voulait tout en 
respectant les horaires et les contrainte élémentaires qu’imposait la vie 
de famille. Consciencieusement initiée, par l’expérience de sa mère, aux 
techniques bienfaisantes de la fessée , elle se révélait une correctrice 
acharnée naturellement dotée d’une belle et cuisante force de frappe. Elle 
fessait presque aussi bien et aussi fort, que sa mère. Il ne lui manquait 
encore que tenir la distance sur les fessées longue durée. Simple question 
de technique qu’elle s’appliquait à améliorer par une pratique régulière.

De trois ans plus jeune, Robin son fils, nettement moins concerné que sa 
sœur, par la réalité trop contraignante du travail scolaire, était 
pensionnaire à Sainte Marie. Il ne rentrait que le Vendredi pour les 
Week-end. Son niveau de résultats stabilisé en dessous de la ligne de 
flottaison, avec pour conséquence fatale une persistance à cumuler les 
redoublements, avait nécessité une inscription d’urgence dans cette 
institution, tenue par des religieuses. Sainte Marie était la seule école 
qui avait accepté de prendre en charge sa scolarité défaillante. Ce fut à 
la plus grandes satisfactions de sa mère qui y trouva enfin le mode 
d‘enseignement idéal pour son fils. Celle-ci, adepte inconditionnelle de la 
fessée comme méthode d’éducation active, apprécia d’emblée les pratiques 
disciplinaires particulièrement sévères de l’établissement. Elle les 
estimait, à juste titre, comme le complément d’autorité indispensable aux 
règles de conduite qu’elle imposait elle même à la maison pour venir à bout 
du  « cas Robin »

Qui aime bien, châtie bien!  Robin n’avait pas à se plaindre de ce côté là, 
il était très aimé et par conséquent bien châtié.... par sa mère, sa sœur, 
des sœurs de l’institution. Elles s’appliquaient toutes, avec conscience, à 
lui démontrer comment de cuisantes fessées régulièrement administrées, 
contribuent à la réussite d’une bonne éducation. Il n’avait d’autre choix 
que d’y soumettre ses fesses, sans condition.  Et ces Dames sévères n’y 
allaient pas de main morte . A la moindre: désobéissance, au plus petit 
écart de comportement, une note insuffisante, une tentative de rébellion,,, 
c’était la fessée! Déculottée, immédiate, sur le champ. Toute contestation 
se révélait à haut risque et immédiatement réprimée sous le claquement des 
fessées et les brusques montées en chaleur de son postérieur. Le solide 
fessier bien ciblé de Robin restait rarement inactif et à température 
normale, à l’école comme à la maison. Devant souvent reconnaître avoir 
mérité ses corrections, le jeune homme savait de toute façon qu’il 
disposait de très peu de possibilités d’argumenter dans le sens contraire, 
sous peine d’inévitables déculottées en supplément des tarifs en vigueur.

  Mais Robin n’était pas le seul à bénéficier de ce cuisant traitement et à 
devoir soumettre régulièrement ses fesses aux exigences disciplinaires d’un 
entourage familial féminin qui lui laissait peu de moment de répit
Edouard, le deuxième mari de Gladys, donc le beau- père, cadre respecté en 
entreprise, perdait une partie de sa dignité et toute son autorité une fois 
franchi le seuil de la maison. Lui aussi, sous l’emprise de ces femmes 
autoritaires, était contraint d’accepter les règles de fonctionnement d’une 
vie de famille organisée, parfaitement hiérarchisée, pour le plus grand 
bien, disaient-elles, de l’éducation de chacun. Celle de Robin, à 
construire et mettre en place avant qu’il ne soit trop tard. Et celle du 
beaux père, adulte mal dégrossi bourré de mauvaises habitudes, entièrement 
à revoir à défaut d’en avoir reçu une convenable.
« Cent fois sur les fessiers remettez votre ouvrage, polissez les sans 
cesse et les repolissez… »
Ces dames aux main fermes, s’y employaient quotidiennement en adaptant 
leurs convictions à ces vers détournés de Boileau. Cuisant programme!

  Gladys entra et claqua la porte derrière elle.  Elle se débarrassa en 
déposant sacs, gants et manteau sur la banquette du vestibule. De ses deux 
mains, elle lissa avec soin la jupe de son tailleur sur ses hanches, et   
ses fesses opulentes, puis, se dirigea aussitôt vers l’escalier en claquant 
des hauts talons sur le carrelage. Elle aimait signaler ses déplacements   
par ce claquement menaçant, qui annonçait avec elle, l’arrivée de la 
fessée. Ça l ‘amusait beaucoup de savoir que le simple bruit de son pas 
décidé pouvait provoquer d’incontrôlables tremblement de fesses au fond 
d’un slip. C’était ça l’exercice de l’autorité. Inspirer obéissance et 
respect sous la menace permanente de la fessée.  Des fessées qui pouvaient   
tomber n’importe où, à n’importe quel moment, sous n’importe quel prétexte. 
Parfois sans raison particulière sinon celle d’une fessée d'entretien 
destinée à entretenir la capacité d’endurance des derrières.
La main sur la boule de l'escalier elle lève la tête en direction des 
chambres.
  « Tu es là ma chérie, c’est maman... Je viens de rentrer! »
  Accoudée à la rampe dans l’attente d’une réponse, elle lève une jambe 
l’une après l’autre pour vérifier l’alignement de la couture de ses bas sur 
ses mollets,
La voix claire de Patricia répond de l’intérieur de sa chambre.
« Oui, maman, je suis là, je descends! »
Un bruit alerte de cavalcade se fait entendre, rapide, sur les marches de 
l‘escalier Les deux femmes s’embrassent chaleureusement.  Patricia 
ressemblait traits pour traits à sa mère. Grande, blonde au physique 
impressionnant, dotée d’un fort tempérament, elle possédait toutes les 
qualité physiques et mentales d’une belle femme autoritaire. Patiemment 
initiée par sa mère, elle avait acquis une solide expérience de la fessée 
qui inspirait la crainte et imposait le respect à la gens masculine.
  «  Dis donc tu en as fait des achats! » S’exclame t-elle en voyants les 
sacs sur la banquette.
–  Oui, tu sais... quelques petites envies, comme ça ! Un peu de lingerie 
chez Madame de Blagnac, des slips à fessée pour les garçons, mais surtout, 
quelque chose qui va t’intéresser, pour joindre l’utile à l’agréable. »
Elles sort d’un sac un paquet assez long et étroit et l’agita avec un grand 
sourire sous les yeux de sa fille.
« Devine chérie... Tu vas être contente. 
« Un martinet ! Répond celle ci, ravie d‘avoir trouvé tout de suite en 
voyant le format du paquet.
– Oui, un martinet. Un gros, qu’on a bien en main, avec de belles lanières 
bien cinglantes qui devraient faire un malheur sur les fesses de nos petits 
chéris » S’enthousiasme Gladys.
Elle le sort de son emballage pour en faire apprécier le manche cannelé, 
assurant une solide prise en main, et les épaisses lanières de cuir 
luisant. Superbe et Impressionnant.
  « Regarde le travail du cuir, la souplesse des lanières et cette belle 
finition ! Avec un tel engin, les fessées, vont claquer sec! »
Fascinée par le redoutable instrument de discipline, Patricia s’en empare à 
son tour, en caresse le manche avec gourmandise et le soupèse pour en 
vérifier la fermeté de prise en main, Lentement, elle en fait glisser les 
longues lanières sur la paume de sa main. La sensation du cuir est agréable,
  « Huuuuum comme tu dis maman, belles fessées, bien cuisantes en 
perspective!.. Dit elle d’un air rêveur. Je connais deux paires de fesses 
qu’on n’a pas fini de faire danser avec un pareil instrument. 
– Et elles en ont bien besoin, vu le comportement de leurs propriétaires.
– Mais on en avait déjà un qui cinglait très bien. Il est encore très 
efficace. Je m’en suis servi ce matin pour mettre sa fessée à Edouard, et 
je peut t’assurer qu’il est parti au bureau les fesses bien rouges et bien 
marquées dans le slip! » 
– C’est vrai, mais on les utilise tellement qu’ils s’usent très vite. Ça 
s’entend au son du claquement. Quand ça commence à cingler moins fort il 
faut en changer. Celui là est plus solide il devrait durer plus longtemps. 
Même si leurs fesses deviennent de plus en plus endurantes à force de cuire 
sous les fessées. »
–  Il faut dire aussi maman que tu tapes tellement fort… »
– Oui je fesse fort, évidemment!  Pour réussir une fessée il faut taper 
fort, cela va de soi. Toujours fort, très fort même ! Je préfère renouveler 
les instruments de discipline quand il le faut plutôt que fesser moins fort 
pour les garder en bon état plus longtemps. Un martinet c’est fait pour 
servir! C’est fait pour cingler les fesses, pas pour rester accroché au mur.
– Je sais maman, je sais. Un martinet c’est fait pour fesser. »
  Gladys contempla distraitement le dos de ses mains et fit semblant de 
vérifier la tenue de son vernis à ongle en soulevant sa lourde poitrine 
d’un profond soupir de lassitude ,trop appuyé pour être vrai.
  « Ah que c’est dur d’inculquer des notions de discipline à ses enfants ! ».
Puis, elle changea brusquement de sujet.
  « Mais dis moi, tu es toute seule? Demanda t-elle.  Robin n’est pas encore 
rentré, Edouard non plus? »
Avant d’obtenir une réponse, elle l’ entraîna avec elle vers le salon, ou 
elles s’assirent toutes les deux, côte à côte, dans le canapé. Devant elles 
les deux tabourets à fessée trônaient, en attente, sur la surface carrelée, 
au milieu de la pièce. Ils n’allaient pas attendre longtemps...
– « Alors comme ça aucun des deux n’est rentré?
– Non maman, à part moi il n’y a personne..
– Ces deux là sont vraiment incorrigibles. On ne peut pas dire, tel père 
tel fils ils ne sont même pas parents! Incapables de respecter les horaires 
et une vie de famille normale! Il est presque huit heures moins le quart. 
Ton beau père doit traîner encore quelque part, dans un bar, quant à Robin, 
il devrait être là depuis longtemps! Il sort de Ste marie à dix huit heures 
et il n‘a que vingt minutes de Bus.
– Il est peut être passé voir un ami. Il est souvent avec Axel .
–  Axel ! Parlons en d’Axel Encore un bon celui là! Toujours à traîner. 
Robin ferait bien de mieux ses fréquentations. Non mais tu as vu l’heure 
qu’il est ?
– A mon avis, ça mérite une fessée ! Commente aussitôt Patricia en se 
frottant déjà les mains.
– Je ne te le fais pas dire ma chérie... et pas qu‘une !  Qu’il va 
d’ailleurs se prendre déculotté, le cochon! 

.La sœur, toujours prête à claquer un derrière, et particulièrement celui 
de son frère, saute sur l’occasion.
  «  Tu me laisseras la lui donner alors… S‘il te plait maman! »
Gladys esquisse une moue dubitative en hochant la tête. Patricia sait ce 
qu’elle veut et enchaîne pour convaincre
  « Tu n’arrêtes pas de me dire qu’il ne faut jamais rater une occasion de 
corriger une paire de fesses pour ne pas perdre la main… Alors rends toi 
compte…depuis que Robin est à Ste Marie, je n‘ai pas eu une seule fessée à 
administrer de toute la semaine! C’est toujours toi qui corrige Edouard 
quand il a mérité d’être puni. Sauf ce matin j'ai quand même eu le droit de 
lui en mettre une au martinet. Après ça tu va dire que mes fessées ne sont 
pas assez sévères parce que re que je manque encore de pratique. »
Gladys écoute sa fille avec une pointe de fierté dans le regard. Même 
caractère que sa mère, autoritaire, impétueuse. Comment lui refuser 
l’administration d’une fessée réclamée avec autant de conviction et de 
véhémence.
« D’accord ma chérie...très bien ! Tu vas flanquer sa fessée à ton frère 
pour le punir de son retard inadmissible. Mais  je veux que tu lui en 
mettes une sévère. Il faut le prendre aux fesses dès son arrivée pour le 
mettre tout de suite en condition.
– Fais moi confiance maman, je te garantis qu’il va avoir du mal à se 
reculotter après celle que je vais lui mettre.
– J ‘espère bien! Parce que, autant que je peux le savoir, ses résultats 
scolaires de la semaine et son attitude en général sont tellement 
désastreux qu’il mérite un sérieux recadrage. Et comme il risque de passer 
autant de temps le slip sur les cuisses que les fesses dedans, il n‘aura 
pas trop l’occasion d’avoir du mal à se reculotter !
Patricia lâche un long soupire de satisfaction qui soulève sa forte 
poitrine débordant de son bustier. Après une longue semaine sans fessée, le 
programme de recadrage s’annonçait particulièrement bien venu.
  « Excellent maman, merci!  Tu ne seras pas déçue! Ses fesses non 
plus...fais moi confiance, je vais bien m’en occuper, comme tu m’as appris 
à le faire.
– J’y compte bien ! Il se moque clairement de nous l‘animal. Il n’a même 
pas encore mis les pieds dans la maison qu‘il a déjà une fessée en 
préparation ...avec un retard pareil il la mérite amplement ! »
Emportée par son élan Gladys laisse monter sa colère.
  « Sans compter les fessées que je lui prépare pour sanctionner ses mauvais 
résultats de la semaine et son indiscipline. »
– Mais comment tu sais ça maman? »
– Je suis déjà au courant, c’est tout!  La directrice de Ste Marie m‘a 
envoyé un mail ce matin pour me prévenir au cas où il ne me donnerait pas 
la lettre qu‘elle l’a chargé de me remettre. Il en est bien capable. Les 
fesses n’ont pas fini de lui cuire, c’est moi qui te le dis! »
  Tout en écoutant sa mère qui ne décolérait pas, Patricia jeta 
machinalement un coup d’oeil par la fenêtre.
  « Tiens, le voilà! 
– Et bien, ce n’est pas trop tôt...  Gronda Gladys en se levant du canapé. 
Il peut préparer ses fesses, elles n’ont pas fini de chauffer ce Week-End ! 
– Oui, il arrive même en courant. 
– Oh Il peut toujours courir, ça ne va rien changer à ce qui l’attend. 
Déjà, un comité d’accueil dont il va se souvenir... Et pour couronner le 
tout, ton beau père n’est  toujours pas rentré! Incroyable! Il devient 
urgent de recadrer ce petit monde qui en prend un peu trop à son aise, à 
mon goût. Ma chérie, il va falloir faire claquer les fessées.  Plus fortes, 
plus longues, et plus souvent ! »
Patricia acquiesça avec un sourire entendu. Quand on aime on ne compte pas. 
La perspective d’un renforcement de la discipline à la maison avec, à la 
clé, une distribution plus généreuse de fessées ne pouvait que satisfaire 
son goût immodéré des corrections, initié et entretenu pas sa mère.

Entre un frère de vingt et un ans qui se comportait comme un adolescent 
attardé irresponsable et un beau père égoïste, peu respectueux de son 
entourage familial, elles n’étaient pas trop de deux pour faire respecter 
les règles de vie commune.  Une seule méthode, radicale, la fessée. La 
fessée déculottée, systématiquement administrée au moindre relâchement, 
comme au plus petit écart de comportement.  Mais sur des messieurs aussi 
récalcitrants car multirécidivistes, leur efficacité se révélait souvent de 
courte durée et nécessitait, par conséquent, un renouvellement permanent 
des séances de corrections. C’est ainsi que, les deux hommes se faisaient 
régulièrement déculotter et rougir les fesses à peu près dans toutes les 
pièces de la maison, avec pour les deux femmes, une préférence marquée pour 
les pièces carrelées. Elles amplifiaient le volume sonore des fessées et 
les rendaient encore plus impressionnantes. Le vestibule faisait partie de 
ces endroits, appréciés pour leur qualité de résonance qui mettait en 
valeur le savoureux  claquement des mains fermes de ces Dames sur les 
fesses déculottées de ces Messieurs, Eux, par contre, appréciaient beaucoup 
moins,

Les deux femme étaient campées dans l'entrée, côte à côte, au moment où 
Robin, tout essoufflé, fit brusquement irruption, en ouvrant la porte avec 
précipitation.. Il stoppa net son élan devant sa mère et sa sœur. Elles 
l’attendaient d’une main ferme, les bras croisés sur la poitrine. Au regard 
noir et sévère de sa maman, il comprit instantanément les conséquences d’un 
retard difficilement justifiable.  Ses fesses se crispèrent d’appréhension 
dans son slip. Il savait ce qui les attendait. Comme ci cela  pouvait 
atténuer la colère des deux femmes, Il referma tout doucement la porte avec 
précaution en leur adressant une grimace désolée qui se voulait ressembler 
à une excuse. Ça n’allait pas tarder à chauffer.