jeudi 16 mai 2019

La pension de Mme Bertie



Les étudiants qui logeaient à la pension de Mme Bertie se comportaient étonnamment bien. Peut-être que leur comportement était dû au fait que Mme Bertie était une femme spéciale. Elle était grande avec des cheveux grisonnant. Elle avait un caractère autoritaire et n’acceptait aucun écart de la part de qui que ce soit. Ou peut-être qu’il y avait une autre raison. En tout cas, les parents de Benoit s’étaient prononcés pour qu’il loge à la pension de Mme Bertie pour sa première année d’université.

“Mais je préfère partager une maison avec mon groupe d’amis !” protesta Benoit.

“Certainement pas !” s’énerva son père. “Tu resteras à la pension de Mme Bertie pour la première année au moins !”

Benoit n’eu pas non plus l’accord de sa mère, alors il partit pour la pension de Mme Bertie avec deux valises pleines.

Quand ses parents sont enfin partis, Benoit se sentit tout de même euphorique. Pension ou pas, c’était la première fois qu’il connaitrait une vie loin de ses parents, et il aimait ça.

Benoit remonta alors le chemin pour rejoindre l’entrée. La figure imposante de Mme Bertie se tenait dans l’encadrement de la porte. Elle paraissait avoir de grands pieds habillés de chaussons bleus.

“Il semblerait que tu ai laissé le portail ouvert, Benoit”

“Oh. C’est vrai ?” Benoit se retourna regardant le portail blanc s’agiter sous le vent.

Mme Bertie le regarda sans bouger de sa position.

“Ne vous en faites pas, je vais le fermer.”

Benoit retourna sur ses pas et claqua le portail.

“Ce n’est pas une bonne façon de fermer le portail !”

“Que voulez-vous dire ? Je l’ai fermé non ?”’

“Tu l’as fermé bruyamment. Je veux que tu retournes l’ouvrir pour le fermer doucement cette fois.”

“Pour l’amour de dieu ! C’est absurde !”

Benoit voulu continuer son chemin, fit un pas en avant mais Mme Bertie le bloqua le regardant sévèrement. Benoit fit demi tour, ouvrit le portail et le referma sans le claquer.

“C’est mieux. Assure toi de le fermer doucement à chaque fois que tu l’ouvriras. Tu peux maintenant entrer. Assure toi d’essuyer tes pieds sur le paillasson.”

Benoit lança un regard noir à Mme Bertie. Elle le prenait pour qui ? Benoit rejoint délibérement le hall d’entrée sans s’essuyer les pieds. Il avait atteint la deuxième marche quand il sentit une brûlure inattendue sur ses fesses. Et avant même d’avoir eu le temps de crier de surprise, un autre coup atterit sur ses fesses.

“Owwwwwww” Benoit se retourna, frottant ses mains sur ses fesses recouvertes par son jean.

Mme Bertie lui fit face, portant un chausson au pied, et l’autre était brandi dans sa main droite.

“Tu feras ce qu’on te dit de faire mon garçon. Allez essuyer vos pieds sur le paillasson.”

“Allez vous faire foutre !” cira Benoit, frottant frénétiquement sa croupe brûlante.

C’était une erreur, une grosse erreur. Folle de rage, mme Bertie lui claqua violemment sa joue de sa main libre laissant la trace de ses 5 doigts sur le visage de Benoit. A peine eut-il le temps de mettre sa main à sa joue, qu'en une fraction de seconde, mme Bertie s’assit sur la marche de l’escalier et amena Benoit sans effort sur ses genoux. Une fois positionné comme elle le voulait, Mme Bertie leva le bras et claqua le chausson sur les fesses de Benoit. Benoit hurla d’indignation. Il n’avait jamais été fessé de sa vie, et la pantoufle de cette folle lui faisait un mal de chien. La pantoufle se leva et retomba dans une volée de cinglantes claques, ce qui fit crier Benoit de pleine voix.

“Ow ! OWWW ! Ca fait MAL ! Arrêtez tout de suite !”

Mme Bertie ne fit pas attention et continua de fesser le cul remuant de Benoit.

“J’ai dit arrêtez ! Grosse vache !”

A la dernière insulte, Mme Bertie s’arrêta - juste assez longtemps pour descendre son pantalon et son boxer. Comme il sentait la soudaine bouffée d’air frais sur ses fesses maintenant nues Benoit haleta sous le choc. Ca ne pouvait se passer. Ce n’était pas réel. Le chausson claqua une nouvelle fois les fesses de Benoit. C’était une douleur terrible. Benoit s’agita frénétiquement, mais Mme Bertie le tenait fermement et claqua la semelle du chausson sur sa croupe rougissant à vue d’oeil.

Benoit hurlait d’embarras, de douleur et de colère. Ses fesses étaient une masse de douleur cuisante et brûlante. Ca piquait horriblement. Mme Bertie les claquait sans relâche, ponctuant chaque coup d’une petite phrase.

“Sous mon toit…” CLAC ! “ Tu suivras mes règles !” CLAC ! “Tu fermeras le portail doucement !” CLAC ! “Et tu essuieras toujours tes pieds sur le paillasson !” CLAC !

“Ow ! Owwww ! Oui. Oui, je le ferai. Je le promets. Je…. Owwww ! “

“Je ne tolérerai aucun écart de langage” CLAC ! “Ni les mauvaises manières !” CLAC !
“Bonjour, Mme Bertie !”

“Bonjour Andréa ! Attendez un moment s’il vous plait. Je n’ai pas encore fini.”

Benoit cria et tourna la tête pour voir une jeune femme plutôt belle qui regardait le spectacle de ses fesses nues. Elle affichait un large sourire. Il devint tout rouge du visage. Embarassé il essaya de couvrir ses fesses, mais Mme Bertie se saisit de ses poignets qu’elle pu tenir fermement grâce à la grande taille de sa main.

“Vous ne pouvez pas faire ça !” hurla Benoit.

“Oh si je peux, jeune homme. Tu as besoin d’une leçon de manières, mon garçon.”

Le chausson s’abattit encore, donnant aux fesses de Benoit de plus gros coups. Andréa regarda avec admiration ses fesses rebondissantes et ses jambes s’agitant sous chaque coup. Mme Bertie déplaça ses claques, pour venir fesser le haut des blanches cuisses musclées de Benoit.

“Noooooooon” hurla Benoit.

Ca faisait plus mal que jamais. La chair tendre du haut de ses cuisses rougissa très rapidement. Benoit commença à pleurer. Ca faisait si mal.

“Ah. Ca fera l’affaire. Qu’en pensez-vous Andréa ?”

Andréa voulait dire que les fesses n’étaient pas assez rouges mais elle décida par s’en contenter.

“Bien, jeune homme. Tu peux te lever maintenant.”

Mme Bertie poussa Benoit de ses genoux et remis son chausson.

Benoit se leva en larmes, se pencha à la hâte pour remonter son boxer et son pantalon.

“Oh non jeune homme. Pas si rapidement. Tu ne les remontes pas tant que je ne t’ai pas dit de les remonter.”

“Mais je dois le faire.” commença Benoit.

Mme Bertie retira son chausson droit et le brandit. “ Me suis fais-je bien comprendre ?”

Pauvre Benoit déglutit et hocha la tête.

“Bien. Maintenant tu aller à l’arrière du salon, au coin, à côté de la vilaine Jessica pour les dix prochaines minutes.”

“Quoi ?”

“Par ici.”

Mme Bertie mena la marche et ouvrit la porte conduisant hors du couloir. Benoit la suivit, se sentant totalement humilié, le pantalon et son boxer autour de ses chevilles et ses brulantes fesses exposées dans toute leur gloire. Il pouvait sentir le regard d’Andréa à chaque mouvement.

La pièce était une grande pièce avec des fauteuils, sofas et un coin télé. Mais la première chose que Benoit vit est un fessier nu et rouge qui appartenaient à la jeune blonde qui se tenait dans le coin. Les mains sur sa tête et sa culotte autour de ses chevilles.

“Place toi à côté de Jessica. Mains sur la tête et pas de bavardage.”

Jessica lança un regard compatissant à Benoit.

“Ne te frotte pas les fesses.” chuchota-elle. “si la vieille te voit te frotter tes fesses endolories, tu auras le droit à des extras.”

Benoit se placa à côté de Jessica et mis les mains sur la tête. Il se tint là en état de choc, ses fesses piquantes et brulantes et commença à se demander dans quelle sorte de pension aura t-il le malheur de passer les douze prochains mois.

jeudi 2 mai 2019

Fessé pour vol



Aujourd’hui était une belle après-midi ensoleillée et je décidais de partir faire les magasins. Il faisait super chaud alors je sortis les vêtements d’été : T-shirt et short. Je cherchais une chemise pour une soirée et fit le tour des magasins avant d’enfin trouver le bon.

Je suis entré dans le magasin et j'ai immédiatement vu de très jolis vêtements, et j’ai choisi deux très belles chemises. Me dirigeant vers la caisse j'ai presque immédiatement reconnu Helen, la sœur aînée de Jody, élève dans le lycée où je travaille. J'ai vu son badge qui montrait qu'elle travaillait au magasin.

«Bonjour monsieur», dit Helen avec respect. 

"Bonjour Helen, vous avez un petit job le week-end alors?"

«Oui, monsieur, je travaille ici depuis quelques années et comme le directeur est absent, je suis même responsable du magasin aujourd’hui.»

"A seulement 20 ans, c’est bien !" Je souris à Helen et devais admettre qu'elle était plutôt séduisante dans sa chemise à manches courtes. Je la regardai brièvement de haut en bas et remarquai sa jupe bien courte.

Nous avons bavardé pendant un moment et Helen a alors commencé à me guider vers le devant de la boutique. J'étais vraiment absorbé par la conversation et je n'ai pas trop regardé où nous allions, Helen m'a distrait jusqu'à ce que les alarmes se déclenchent soudainement. Je m'arrêtai, réalisant que j'étais en dehors du magasin et que j'avais toujours les chemises noires que je n’avais pas encore payé. Les balises avaient déclenché l'alarme.

«Excusez-moi», dis-je à Helen en rougissant.

"Oh, mon Dieu," dit Helen en continuant, "Suivez-moi. J'ai un formulaire à remplir chaque fois qu'une alarme se déclenche."

"Vraiment?" Demandai-je. "Je ne voulais rien voler."

Helen a plaidé, "S'il vous plaît monsieur, ou je vais avoir des ennuis."

J'ai cédé et nous avons marché ensemble vers l'arrière du magasin, puis avons monté quelques marches jusqu'au premier étage et nous sommes allés dans une pièce qui était évidemment le bureau du directeur. Helen ferma la porte puis alla derrière son bureau et sortit un formulaire.

«J'ai juste besoin de quelques détails.» J'admirais le professionnalisme d’Helen alors je lui donnais mon nom complet et mon adresse. Je l'ai regardé dactylographier tout sur l'écran, y compris les détails des chemises. Helen a imprimé le formulaire et me l'a fait signer.

Helen se rassit dans son fauteuil et dit: «Nous avons deux choix.»

«La politique habituel du magasin c’est d'appeler la police.

"Qu'est-ce que vous avez dit Helen?" Je bafouilla.

«La police Benoit. C'est Benoit, n'est-ce pas? Helen sourit en vérifiant le formulaire.

«Appelez-moi monsieur, jeune fille», ai-je dit de ma voix de jeune prof du lycée.

Helen leva les yeux mais n'avait pas l'air confuse. «Alors Benoit, dois-je appeler la police? Nous allons bien sûr mener à bien les poursuites. "

J'ai vu la jeune femme de 20 ans me regarder avec autorité. "Quel est le deuxième choix alors?" Demandai-je rapidement.

«Je peux m'occuper de toi. Ici et maintenant en fait. "

Je balbutiai, "T’occuper de moi… euh… comment?"

"La meilleure façon de s’occuper des voleurs, une bonne fessée."

«Quoi?» Ai-je crié en me levant. "Comment osez-vous Helen, je suis un enseignant."

Helen n'était toujours pas intimidée. Elle a simplement dit: "Bien, alors c'est la police?"

Elle se pencha et prit le téléphone et pensant qu'elle était sérieuse, je dis rapidement: "Non, ne le fais pas."

Helen raccrocha et dit: «S'il vous plaît, décidez-vous Benoit. Je n'ai pas toute la journée. "

Je réfléchissais rapidement mais je n'aimais pas beaucoup le sens de mes pensées. Quoi qu'il en soit, je ne voulais pas qu'Helen appelle la police. Cependant, elle a 20 ans et est étudiante à l'école où j'enseigne. Comment puis-je la laisser me donner une fessée?

Helen me regarda me débattre avec mes pensées et dit: «Je compte jusqu'à trois. Si vous n'avez pas encore décidé, je devrai appeler la police.

J'ai été horrifié quand elle a commencé à compter. "Un."

Je me léchai les lèvres, incapable de parler, ne croyant toujours pas qu'elle comptait.

"Deux."

Oh mon Dieu, je savais que je devais dire quelque chose. Bon Dieu, parle ou ce sera la police que je criais à moi-même.

«OK, donne-moi une fessée.» Je me suis retourné, horrifié par ce que j'avais convenu mais sachant que c'était mieux que l'autre solution.

Helen sourit et dit joyeusement: «Très bien, si telle est votre décision, je pense que nous devrions compléter le second formulaire.» Helen cliqua sur quelques boutons de son clavier puis imprima un second formulaire en me le donnant à lire.

J'ai lu le formulaire et vu qu'il contenait déjà tous mes détails, sans doute repris du premier formulaire. J'ai lu la section sur la punition. Il est clairement indiqué que «le gestionnaire» décidera de la sanction et de l'utilisation de tout outil uniquement après la signature du formulaire. Je devrais faire confiance à Helen je suppose. J'ai signé le deuxième formulaire et le lui ai rendu, craignant maintenant le pire.

Helen a dit: «Bon, maintenant que nous avons signé les papiers, allons-y. D'abord, faites face au mur pendant que je mets tout en place. "

"Vraiment?" J'ai demandé, "Je ne suis pas un étudiant, pourquoi ne puis-je pas rester assis ici et vous attendre?"

«Benoit, tu viens de signer un papier qui dit que je dois choisir. Les petits caractères, que vous n'avez peut-être pas lus, indiquent que si à un moment quelconque je décide que vous avez brisé votre accord d'être puni par moi, je peux toujours appeler la police, même si je vous ai déjà fessée. "

Helen avait l'air vraiment en colère alors qu'elle me l'expliquait. Non, je n'avais pas lu les petits caractères. Je n'aurais peut-être pas dû faire cela, mais de toute façon, je désirais beaucoup plus qu'elle agisse avec moi que la police, alors j'ai dit: "Oui, Helen", calme et soumis, je me suis levé et j’ai fait face au mur.

Helen est venue derrière moi et a doucement appuyé sur l'arrière de ma tête en disant: «Nez contre le mur, s'il te plaît."

Je me sentais tellement humilié de rester là, le nez appuyé contre le mur.

"Eh bien, je vais te donner une fessée, tu veux que j’enlève ton short moi-même ?"

Je n'avais d'autre choix que d’enlever mon short, c’était plus qu’humiliant.

J'ai entendu la porte s'ouvrir et quelqu'un est entré. La personne qui est entrée a dit: «Waouh, c’est notre professeur non ?

"Oui, ça l'est."

Il y avait un vide puis elle continua: "Belles fesses. Puis-je les frapper?

Ce n’était pas ce que je voulais, et Helen a répondu: «Non, je vais le fesser.» Après une pause, elle a ajouté: «Tu peux lui frotter les fesses si tu veux.

J’ai entendu des pas et sentis une main froide me frottant les fesses. J'étais plus humilié qu'autre chose car c'était un de mes étudiants mais je ne savais pas lequel. Cela signifiait que je serais à l'école sans savoir quel élève m'avait frotté les fesses.

La main cessa de de frotter mes fesses avant de claquer rapidement deux fois mon postérieur. J’entendis les pas s’éloigner ensuite.

Puis j'entendis Helen dire: «Bien, Benoit, viens ici s'il te plait.» Polie mais sévère. Je me suis retourné pour trouver Helen assise sur la chaise sur laquelle j'étais assise. Je m'approchai d'elle. "Culotte s'il te plait" ordonna-t-elle.

Je me léchais à nouveau les lèvres et je ne vis que le flou de sa main qui se leva latéralement pour venir gifler l'arrière de ma jambe. La jeune fille de 20 ans a claqué une forte tape sur le côté de ma jambe.

«Aïe», ai-je crié mais c'était suffisant pour que je tire mon slip vers le bas et que je sors de là.

«Sur mes genoux Benoit, ordonna Helen. Je rougis alors que je me penchais sur les genoux de la jeune femme de 20 ans, réalisant qu'elle avait les jambes nues à cause de sa jupe très courte. Ses cuisses nues étaient vraiment fraîches alors que mon ventre se posait sur elles. Mes cuisses et mes fesses cependant elles, allaient être prochainement très chaudes.

Je retenais mon souffle quand je sentais sa main sur mes fesses et quand elle les frotta. Je savais que la fessée allait arriver dès qu'Helen a levé la main, j'ai retenu mon souffle et un instant plus tard, la première fessée s'est abattue sur moi. Pour une fille de 20 ans, elle donne ine bonne fessée ferme et pendant que je réfléchis à cela, une deuxième fessée tout aussi ferme suivit. En fait, elle m'a donné une fessée assez longtemps et je me suis vite mis à haleter et à me tortiller sur ses genoux, me demandant toujours pourquoi un professeur de 28 ans se faisait fesser par un gérant de magasin qui, je le savais, n'avait que 20 ans et était en fait un élève de l'école où j'enseigne. Je commençais à me sentir mal à l'aise avec le picotement qui commençait à naitre entre mes fesses et le haut de mes jambes et je me demandais combien de temps elle allait me donner la fessée.

La fessée s'est arrêtée et Helen a recommencé à me frotter les fesses en rond. Espérons que cela signifiait que c'était fini. Cet espoir a été immédiatement éteint lorsque Helen a déclaré: «Eh bien, nous avons pris un bon départ, mais il reste encore du chemin à faire, Benoit. J'ai juste besoin de quelque chose.

J'ai regardé en arrière et j'ai commencé à essayer de me lever en pensant qu'elle avait besoin de se lever elle-même mais elle me frappa fort et me dit: "Reste là Benoit, ne te lève pas jusqu'à ce que je te le dise."

Elle me donna encore plus de fessées avant de prendre son téléphone et dit: «Shona, peux-tu m'apporter une brosse à cheveux. Je suis dans mon bureau."

J'ai demandé en panique: «Qui est Shona?"

"Mon assistant."

Eh bien, ce n'était pas si grave que je pensais jusqu'à ce que Shona ouvre la porte du bureau et entre en disant: "Voici la brosse à cheveux Helen", et après un blanc, "j'ai entendu dire que vous aviez un voleur ici." Puis après un autre blanc, Shona dit comme si j'étais un ami, "Bonjour jeune homme, apparemment c'était vous."

Je levai les yeux et savais que mon visage était d'un rouge très foncé lorsque je rougissais et voyais l'élève sous un angle très inhabituel. Elle me souriait vraiment et me dit en souriant: «Helen, tu as transformé la couleur de ses fesses en une jolie teinte jolie mais je suppose que ceci va encore accentuer les couleurs», dit-elle en tendant la brosse à vêtements à Helen.

"Eh bien, ça va certainement me soulager la main, mais pas le derrière de Benoit je pense."

Les deux adolescents ont ri.

Helen a tapoté lea brosse sur mes fesses plusieurs fois en disant: «Rappelle-moi de parler de la mauvaise note que ma sœur a eue toi, veux-tu Benoit?

J'étais sur le point de répondre quand la brosse est soudainement tombé sur mon derrière déclenchant un bruit cinglant. J'ai crié et j'ai senti Helen me saisir par la taille alors que les fessées avec la brosse continuaient. En regardant sur le côté, j'ai vu les jambes de Shona et je me sentais à la fois humilié et excité. La brosse continuait son travail. Je pleurais bientôt avec des larmes coulant sur mon visage.

J'ai entendu la porte s'ouvrir, la fessée s'est arrêtée et j'ai entendu Helen dire: «Oui, Lizzie, c'est Monsieur de l'école. Oui, tu peux regarder si tu veux. Qui est parti en bas?

"Deux des membres du personnel à temps plein qui ont dit qu'ils s’occupaient de tout."

J'écoutais à moitié alors que mes fesses me faisait tellement mal et que je pleurais, mais je me suis rendu compte qu'il y avait plus d'une personne à regarder. J'ai regardé de côté et j'ai vu plusieurs paires de jambes et quand je me suis retourné pour pouvoir regarder, j'ai vu quatre ou cinq visages souriants.

“Bonjour monsieur”, j'ai entendu plusieurs filles dire.

Je baissai la tête et pleurai autant de douleur alors qu’Helen recommença la fessée avec la brosse que de l'humiliation que je ressentais de savoir que tant d'étudiants m'observaient en train d'être fessée.

Helen n'arrêtait pas de me donner la fessée. La douleur et les brûlures prirent le dessus et j'oubliais les adolescents qui me regardaient parce que la douleur était intense et que je ne pouvais me concentrer sur rien d'autre.

Helen s’arrêta un moment et me frotta les fesses. Je l'ai à moitié entendue dire: «Oui, Jody, ses fesses sont très chaudes.» Quelques secondes se sont écoulées avant que je réalise ce que cela voulait dire. Je sentis la main me frotter les fesses entre mes cuisses et je vis une paire de jambes très près de moi. Ce n'était pas Helen frotter mes fesses. Une des étudiantes me frottait les fesses et glisser sa main sur mon pénis.

«Oui Helen, c’est vrai qu’elles sont chaudes» et je savais que ces mots venaient de Jody, l soeu d’Helen à qui j’avais donné une mauvaise note récemment.

"Puis-je lui donner quelques fessées Helen?"

Helen a dit: «Non, Jody. C’est moi la responsable.

«Ok» dit Jody à contrecœur.

D'un côté, je voulais remercier Helen de ne pas m'avoir laissé fesser par une autre personne, mais je me suis rendu compte que c'était Jody et qu’elle avait joué avec ma queue et m'avait presque fait jouir. Comment cela puisse être plus humiliant ?

Avant que je puisse dire quoi que ce soit, Helen dit à voix haute: «En tout cas, ça suffit de bavarder, passons à la fessée."

J'ai ouvert la bouche pour protester mais aucun mot n'est sorti. Tandis que les claques tombaient sur mes fesses, je ne pus que lâcher un autre cri strident, suivi par bien d'autres cris, même si, une fois encore, je me concentrais sur la douleur qui me parcourait les fesses et je ne pouvais pas m'inquiéter des bruits de douleur qui sortait de ma bouche. Je ne sais pas combien de fois Helen m'a donné une fessée avec la brosse, mais je pense que c'étaient des dizaines et des dizaines.

La fessée a cessé et je me suis étendu sur les genoux d'Helen encore en larmes, sachant toujours que des larmes coulaient sur mon visage et coulaient sur le sol alors qu'Helen me frottait les fesses, du moins cette fois-ci, j'espérais que c'était elle. J'ai regardé de côté et mes yeux étaient pleins de larmes et ma vision était brouillée, mais je n'ai vu aucune jambe d'adolescent debout. Peut-être étaient-ils tous retournés au magasin.

"Ça va, monsieur?" C'était la voix d'Helen, soudain respectueuse à nouveau.

Je me tortillai sans pouvoir distinguer le visage d'Helen mais dis entre deux sanglots: «Oui merci Helen.

«Oh bien, car je pensais être allé trop loin. Alors, Benoit, debout.

Le ton respectueux avait encore disparu. J'étais confusequ'elle soit revenue à m'appeler par mon prénom mais je m’inquièterai de cela plus tard. Au lieu de cela, je me suis écarté des genoux d'Helen et je me suis levée. Mes mains se sont enfoncées dans mes fesses et je me suis frotté aussi vite que je pouvais. J'ai entendu des rires derrière moi et j'ai tourné autour de moi, mes mains frottant toujours mon bas, et j'ai vu cinq filles qui riaient toutes avec les mains sur leurs bouches. Elles étaient tous des étudiantes que je connaissais. Je n'arrêtais pas de me frotter, ne me souciant pas d’exposer ma queue. Je baissai les yeux et vis ma culottes sur le sol.

Mon esprit était dans un tourbillon et Helen a dit avec une telle confiance: "J'espère que cela vous a appris une bonne leçon, Benoit et je ne vous surprendrai pas à voler de nouveau comme ça?"

Je retins mon souffle en me tournant pour faire face à la jeune fille de 20 ans, heureusement capable de contrôler ma colère, réalisant que je n'étais pas encore hors de son contrôle et balbutiant toujours à travers des sanglots. «Oui Helen, bien sûr, je ne le ferai plus. "

Il y avait plus de rires et je pouvais voir Helen qui luttait pour ne pas rire mais je ne pouvais rien dire.

Helen a annoncé: «OK tout le monde, retour au travail pendant que Benoit et moi finissons la paperasse."

J'ai été horrifiée lorsque les adolescents ont quitté la salle. «Qu'est-ce que tu veux dire, paperasse Helen?

Helen sourit en souriant. «Calme-toi Benoit, je veux juste dire que je dois déchirer les formulaires, car j'ai déjà traité avec toi en interne.

«Oh oui,» dis-je me calmant et regardant Helen déchirer les formulaires que j'avais signés et les mettre à la poubelle. J'ai soupiré de soulagement quand j'ai vu ça.

Helen me libéra ensuite. Je remettai ma culotte doucement, mon short et j'étais prêt à partir avec un visage taché par les larmes. Je suis descendu au magasin. Je me suis retrouvé à mi-chemin du magasin lorsque Jody et deux des autres adolescents m'ont vu, ils ont crié: «Au revoir, Monsieur.»

J'étais sous le choc de mon étourdissement et j'ai vu plusieurs clients me regarder alors qu'une autre larme coulait sur ma joue. Une femme dans la trentaine m'a demandé: «Tu vas bien ? tu sembles pleurer.»

Une autre femme a dit: «Regarde l'arrière de ses jambes, c'est probablement la raison.» Je me suis retourné pour voir une femme d'environ 60 ans souriante. à moi.

Une autre femme a dit: «Hé, n'est-ce pas l’homme qui a déclenché le bip?» Je me suis retourné pour voir rire une femme de mon âge. Elle a ajouté: "Hé, rappelle-moi de ne pas essayer de voler dans cette boutique."

J'ai entendu des éclats de rire et j'ai rougi en pensant que mon visage serait plus rouge que l'arrière de mes jambes. Cela va m'apprendre à porter des shorts courts, me suis-je dit. Face à l'humiliation totale, j'ai regardé vers l'arrière de la boutique et j'ai vu Helen et Jody me regarder avec de grands sourires. Je ne voyais rien d'autre que faire demi-tour et sortir du magasin et continuer à entendre les rires et les reproches des clients. Je ne voulais pas savoir si quelqu'un me demandait qui m'avait fessée parce que cela ne m'aurait fait que me sentir encore plus humilié.