Les étudiants qui logeaient à la pension de Mme Bertie se comportaient étonnamment bien. Peut-être que leur comportement était dû au fait que Mme Bertie était une femme spéciale. Elle était grande avec des cheveux grisonnant. Elle avait un caractère autoritaire et n’acceptait aucun écart de la part de qui que ce soit. Ou peut-être qu’il y avait une autre raison. En tout cas, les parents de Benoit s’étaient prononcés pour qu’il loge à la pension de Mme Bertie pour sa première année d’université.
“Mais je préfère partager une maison avec mon groupe d’amis !” protesta Benoit.
“Certainement pas !” s’énerva son père. “Tu resteras à la pension de Mme Bertie pour la première année au moins !”
Benoit n’eu pas non plus l’accord de sa mère, alors il partit pour la pension de Mme Bertie avec deux valises pleines.
Quand ses parents sont enfin partis, Benoit se sentit tout de même euphorique. Pension ou pas, c’était la première fois qu’il connaitrait une vie loin de ses parents, et il aimait ça.
Benoit remonta alors le chemin pour rejoindre l’entrée. La figure imposante de Mme Bertie se tenait dans l’encadrement de la porte. Elle paraissait avoir de grands pieds habillés de chaussons bleus.
“Il semblerait que tu ai laissé le portail ouvert, Benoit”
“Oh. C’est vrai ?” Benoit se retourna regardant le portail blanc s’agiter sous le vent.
Mme Bertie le regarda sans bouger de sa position.
“Ne vous en faites pas, je vais le fermer.”
Benoit retourna sur ses pas et claqua le portail.
“Ce n’est pas une bonne façon de fermer le portail !”
“Que voulez-vous dire ? Je l’ai fermé non ?”’
“Tu l’as fermé bruyamment. Je veux que tu retournes l’ouvrir pour le fermer doucement cette fois.”
“Pour l’amour de dieu ! C’est absurde !”
Benoit voulu continuer son chemin, fit un pas en avant mais Mme Bertie le bloqua le regardant sévèrement. Benoit fit demi tour, ouvrit le portail et le referma sans le claquer.
“C’est mieux. Assure toi de le fermer doucement à chaque fois que tu l’ouvriras. Tu peux maintenant entrer. Assure toi d’essuyer tes pieds sur le paillasson.”
Benoit lança un regard noir à Mme Bertie. Elle le prenait pour qui ? Benoit rejoint délibérement le hall d’entrée sans s’essuyer les pieds. Il avait atteint la deuxième marche quand il sentit une brûlure inattendue sur ses fesses. Et avant même d’avoir eu le temps de crier de surprise, un autre coup atterit sur ses fesses.
“Owwwwwww” Benoit se retourna, frottant ses mains sur ses fesses recouvertes par son jean.
Mme Bertie lui fit face, portant un chausson au pied, et l’autre était brandi dans sa main droite.
“Tu feras ce qu’on te dit de faire mon garçon. Allez essuyer vos pieds sur le paillasson.”
“Allez vous faire foutre !” cira Benoit, frottant frénétiquement sa croupe brûlante.
C’était une erreur, une grosse erreur. Folle de rage, mme Bertie lui claqua violemment sa joue de sa main libre laissant la trace de ses 5 doigts sur le visage de Benoit. A peine eut-il le temps de mettre sa main à sa joue, qu'en une fraction de seconde, mme Bertie s’assit sur la marche de l’escalier et amena Benoit sans effort sur ses genoux. Une fois positionné comme elle le voulait, Mme Bertie leva le bras et claqua le chausson sur les fesses de Benoit. Benoit hurla d’indignation. Il n’avait jamais été fessé de sa vie, et la pantoufle de cette folle lui faisait un mal de chien. La pantoufle se leva et retomba dans une volée de cinglantes claques, ce qui fit crier Benoit de pleine voix.
“Ow ! OWWW ! Ca fait MAL ! Arrêtez tout de suite !”
Mme Bertie ne fit pas attention et continua de fesser le cul remuant de Benoit.
“J’ai dit arrêtez ! Grosse vache !”
A la dernière insulte, Mme Bertie s’arrêta - juste assez longtemps pour descendre son pantalon et son boxer. Comme il sentait la soudaine bouffée d’air frais sur ses fesses maintenant nues Benoit haleta sous le choc. Ca ne pouvait se passer. Ce n’était pas réel. Le chausson claqua une nouvelle fois les fesses de Benoit. C’était une douleur terrible. Benoit s’agita frénétiquement, mais Mme Bertie le tenait fermement et claqua la semelle du chausson sur sa croupe rougissant à vue d’oeil.
Benoit hurlait d’embarras, de douleur et de colère. Ses fesses étaient une masse de douleur cuisante et brûlante. Ca piquait horriblement. Mme Bertie les claquait sans relâche, ponctuant chaque coup d’une petite phrase.
“Sous mon toit…” CLAC ! “ Tu suivras mes règles !” CLAC ! “Tu fermeras le portail doucement !” CLAC ! “Et tu essuieras toujours tes pieds sur le paillasson !” CLAC !
“Ow ! Owwww ! Oui. Oui, je le ferai. Je le promets. Je…. Owwww ! “
“Je ne tolérerai aucun écart de langage” CLAC ! “Ni les mauvaises manières !” CLAC !
“Bonjour, Mme Bertie !”
“Bonjour Andréa ! Attendez un moment s’il vous plait. Je n’ai pas encore fini.”
Benoit cria et tourna la tête pour voir une jeune femme plutôt belle qui regardait le spectacle de ses fesses nues. Elle affichait un large sourire. Il devint tout rouge du visage. Embarassé il essaya de couvrir ses fesses, mais Mme Bertie se saisit de ses poignets qu’elle pu tenir fermement grâce à la grande taille de sa main.
“Vous ne pouvez pas faire ça !” hurla Benoit.
“Oh si je peux, jeune homme. Tu as besoin d’une leçon de manières, mon garçon.”
Le chausson s’abattit encore, donnant aux fesses de Benoit de plus gros coups. Andréa regarda avec admiration ses fesses rebondissantes et ses jambes s’agitant sous chaque coup. Mme Bertie déplaça ses claques, pour venir fesser le haut des blanches cuisses musclées de Benoit.
“Noooooooon” hurla Benoit.
Ca faisait plus mal que jamais. La chair tendre du haut de ses cuisses rougissa très rapidement. Benoit commença à pleurer. Ca faisait si mal.
“Ah. Ca fera l’affaire. Qu’en pensez-vous Andréa ?”
Andréa voulait dire que les fesses n’étaient pas assez rouges mais elle décida par s’en contenter.
“Bien, jeune homme. Tu peux te lever maintenant.”
Mme Bertie poussa Benoit de ses genoux et remis son chausson.
Benoit se leva en larmes, se pencha à la hâte pour remonter son boxer et son pantalon.
“Oh non jeune homme. Pas si rapidement. Tu ne les remontes pas tant que je ne t’ai pas dit de les remonter.”
“Mais je dois le faire.” commença Benoit.
Mme Bertie retira son chausson droit et le brandit. “ Me suis fais-je bien comprendre ?”
Pauvre Benoit déglutit et hocha la tête.
“Bien. Maintenant tu aller à l’arrière du salon, au coin, à côté de la vilaine Jessica pour les dix prochaines minutes.”
“Quoi ?”
“Par ici.”
Mme Bertie mena la marche et ouvrit la porte conduisant hors du couloir. Benoit la suivit, se sentant totalement humilié, le pantalon et son boxer autour de ses chevilles et ses brulantes fesses exposées dans toute leur gloire. Il pouvait sentir le regard d’Andréa à chaque mouvement.
La pièce était une grande pièce avec des fauteuils, sofas et un coin télé. Mais la première chose que Benoit vit est un fessier nu et rouge qui appartenaient à la jeune blonde qui se tenait dans le coin. Les mains sur sa tête et sa culotte autour de ses chevilles.
“Place toi à côté de Jessica. Mains sur la tête et pas de bavardage.”
Jessica lança un regard compatissant à Benoit.
“Ne te frotte pas les fesses.” chuchota-elle. “si la vieille te voit te frotter tes fesses endolories, tu auras le droit à des extras.”
Benoit se placa à côté de Jessica et mis les mains sur la tête. Il se tint là en état de choc, ses fesses piquantes et brulantes et commença à se demander dans quelle sorte de pension aura t-il le malheur de passer les douze prochains mois.
Dommage que les pension actuelle ne pratique plus les fessées punitives.
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