La plage étincelait sous le soleil déclinant, l’air chargé de l’odeur iodée de la mer et des rires des vacanciers. Benoît Dutal, torse nu et vêtu d’un maillot de bain rouge moulant, était le centre de toutes les attentions. Son corps athlétique, sculpté par des heures d’entraînement, se mouvait avec une grâce presque féline alors qu’il dribblait le ballon de football entre les groupes de jeunes hommes. Ses cheveux noirs, taillés en une wolf cut moderne, encadraient son visage juvénile, mettant en valeur ses traits fins et son regard brun pétillant d’énergie.
Les jeunes femmes autour de lui ne pouvaient détourner les yeux. Une brune aux yeux noisette murmura à sa voisine : « Regarde-le, il est tellement… irrésistible. » Une autre, plus audacieuse, lui lança un sourire en passant, mais Benoît, absorbé par le jeu, ne sembla pas remarquer leur attention. Son maillot de bain rouge contrastait avec sa peau légèrement hâlée, soulignant chaque muscle de son torse et de ses abdos.
Pourtant, son enthousiasme commençait à agacer certains vacanciers. Ses cris joyeux et ses mouvements brusques perturbaient la tranquillité de la plage. Un homme d’âge mûr, assis sur une chaise pliante avec un livre à la main, leva les yeux, visiblement irrité. « Il pourrait faire un peu moins de bruit, non ? » grogna-t-il à sa femme, qui haussa les épaules en réponse.
Benoît, inconscient de la gêne qu’il provoquait, continua à jouer. Son ballon vola soudainement trop loin, atterrissant près d’une famille avec une petite fille d’environ cinq ans. La fillette, surprise, se retourna juste à temps pour recevoir le ballon en pleine tête. Elle se mit à pleurer, ses cris perçants résonnant sur la plage.
Le père de la petite fille, un homme grand et musclé, se leva d’un bond. Son visage se durcit instantanément, ses yeux se plantant dans ceux de Benoît. « C’est vous qui avez fait ça ? » demanda-t-il d’une voix froide, les mains posées sur les hanches.
Benoît, pris de court, hésita un instant avant de répondre, un sourire maladroit aux lèvres. « Euh… oui, c’était un accident. Désolé. »
L’homme ne sembla pas convaincu. Il s’approcha de Benoît, ses pas lourds dans le sable. « Un accident, hein ? Et si c’était ma fille qui se blessait ? Vous trouvez ça drôle ? »
Benoît recula d’un pas, sentant l’atmosphère se tendre. « Non, non, je… je ne voulais pas. »
L’homme ne dit rien, mais son regard en disait long. Il jeta un coup d’œil autour de lui, comme s’il cherchait quelque chose. Puis, sans prévenir, il attrapa Benoît par le bras et le tira vers lui. « Tu vas apprendre à te calmer, jeune homme. »
Benoît tenta de se dégager, mais l’homme était trop fort. « Hé, qu’est-ce que vous faites ? Lâchez-moi ! »
L’homme ne répondit pas. Il se contenta de le traîner vers un espace plus isolé de la plage, où quelques curieux commençaient à se rassembler. Une femme d’une quarantaine d’années, les cheveux blonds relevés en chignon, s’avança. « Qu’est-ce qui se passe ici ? »
L’homme se tourna vers elle, son expression toujours aussi sévère. « Ce jeune homme a failli blesser ma fille avec son ballon. Il a besoin d’une leçon. »
La femme hocha la tête, comme si elle approuvait. « Vous avez raison. Il faut lui apprendre à se tenir. »
Benoît, paniqué, tenta de nouveau de se dégager. « Non, s’il vous plaît ! Je m’excuse, je ne le referai plus ! »
Mais ses protestations furent vaines. L’homme s'assit sur le sable. Benoît se retrouva allongé sur les genoux de l’homme, ses jambes pendantes de chaque côté. Il sentit une main ferme se poser sur son épaule, le maintenant en place.
La femme s’approcha, un sourire satisfait aux lèvres. « Tu vas recevoir une bonne fessée, jeune homme. Ça t’apprendra à faire attention. »
Benoît rougit instantanément, son cœur battant la chamade. « Non, s’il vous plaît ! Pas ici, devant tout le monde ! »
Mais ses supplications furent ignorées. L’homme leva la main et, sans autre avertissement, abattit une première claque retentissante sur les fesses de Benoît, par-dessus son maillot de bain rouge. Le son résonna sur la plage, attirant encore plus de curieux.
« Aïe ! » Benoît se tordit, tentant de se dégager, mais l’homme le tenait fermement. La claque avait été puissante, et il sentit une chaleur intense se propager sur ses fesses. Le public autour murmurait, certains avec approbation, d’autres avec un mélange de gêne et de fascination. Une jeune femme, les yeux écarquillés, chuchota à son amie : « Il mérite ce qui lui arrive, non ? »
L’homme continua, chaque claque résonnant avec insistance, marquant une frustration croissante. Benoît, humilié et en douleur, tentait de se retenir de pleurer, mais les larmes commençaient à couler sur ses joues. Ses fesses, déjà rouges sous son maillot, brûlaient intensément. La femme blonde s’approcha, un sourire satisfait aux lèvres. « Il faut qu’il apprenne, n’est-ce pas ? »
L’homme hocha la tête, sans arrêter son rythme. « Oui, il faut qu’il comprenne que ses actions ont des conséquences. »
Benoît, désespéré, tenta de nouveau de se dégager, mais l’homme le maintenait fermement. « S’il vous plaît, arrêtez ! Je vous en prie ! »
Mais ses supplications furent ignorées. Les claques continuaient, chacune plus forte que la précédente, chaque coup marquant une frustration croissante. Le public, maintenant nombreux, observait la scène avec un mélange d’embarras et de fascination. Certaines femmes chuchotaient entre elles, leurs regards oscillant entre compassion et excitation malsaine. Un homme d’âge mûr murmura : « Il va s’en souvenir, de celle-là. »
Soudain, l’homme arrêta, laissant Benoît reprendre son souffle. Mais ce répit fut de courte durée. L’homme attrapa le bord du maillot de bain de Benoît et, d’un geste rapide, le baissa jusqu’aux genoux du jeune homme. Benoît, horrifié, tenta de le remonter, mais l’homme le retint fermement.
« Non, non, s’il vous plaît ! Pas ça ! » supplia Benoît, ses joues rougies par la honte et les larmes.
L’homme ignora ses protestations et reprit les claques, cette fois directement sur les fesses nues de Benoît. La première claque fut encore plus douloureuse, la peau exposée étant plus sensible. Benoît poussa un cri étouffé, ses mains se crispant sur le sable. Le son de la claque résonna sur la plage, et le public retint son souffle. Une femme d’âge mûr, les bras croisés, déclara : « Il avait besoin de ça. Il ne respecte rien. »
Les claques continuaient, chacune laissant une marque rouge sur les fesses de Benoît. Il se tordait, tentant de se dégager, mais l’homme le tenait fermement. Ses fesses, déjà rouges et douloureuses, brûlaient maintenant intensément. Le sable chaud sous ses mains ne faisait qu’ajouter à son inconfort. Il sentait les regards des gens sur lui, leurs murmures comme des couteaux dans son dos.
Le public était maintenant divisé. Certains détournaient les yeux, incapables de supporter la scène. D’autres, en particulier les femmes, observaient avec un mélange de gêne et d’excitation. Une jeune femme, les joues rougies, chuchota à son amie : « Il a de belles fesses, quand même. »
Au bout d’un moment, l’homme s’arrêta enfin, laissant Benoît reprendre son souffle. Le jeune homme, humilié et en larmes, tenta de se relever, mais ses jambes tremblaient trop. L’homme le lâcha enfin, et Benoît tomba sur le sable, ses fesses en feu. Il sentait chaque mouvement comme une torture, la douleur pulsant dans ses membres.
Le public se dispersa lentement, certains jetant des regards compatissants, d’autres avec un sourire satisfait. Benoît, toujours sur le sable, tenta de remonter son maillot de bain et son jean, mais ses mains tremblaient trop. La honte l’envahissait, et il se sentait comme un animal traqué, exposé aux yeux de tous.
L’homme se pencha vers lui, son expression toujours aussi sévère. « J’espère que tu as appris ta leçon, jeune homme. La prochaine fois, tu feras attention. »
Benoît, les larmes aux yeux, hocha la tête, incapable de parler. Sa gorge était serrée, et il se sentait complètement brisé.
L’homme se releva et s’éloigna, rejoignant sa famille. Benoît, toujours sur le sable, se sentait humilié et en douleur. Il se releva enfin, ses fesses brûlant intensément à chaque mouvement. Le moindre frottement de son maillot de bain contre sa peau était une agonie.
Alors qu’il s’éloignait de la plage, il entendit des murmures derrière lui. Une jeune femme, les yeux brillants, chuchota à son amie : « Il a de belles fesses, quand même. »
Benoît, rougissant encore plus, accéléra le pas, souhaitant seulement disparaître. La plage, autrefois un lieu de plaisir, était maintenant un souvenir d’humiliation. Il se demanda combien de temps ses fesses resteraient marquées, et s’il pourrait un jour oublier cette punition publique.
Mais alors qu’il s’éloignait, il sentit une main se poser sur son épaule. Il se retourna, prêt à affronter un nouveau confrontateur, mais ce n’était qu’une jeune femme, les yeux remplis de compassion.
« Ça va ? » demanda-t-elle doucement.
Benoît, surpris, hocha la tête, incapable de parler. Sa voix était cassée, et il se sentait comme un enfant perdu.
Elle lui sourit, un sourire chaleureux. « Tu sais, tout le monde fait des erreurs. L’important, c’est d’apprendre de ses erreurs. »
Benoît la regarda, ses yeux remplis de gratitude. Peut-être qu’il y avait encore de l’espoir, après tout. Mais la douleur dans ses fesses et la honte dans son cœur ne disparaîtraient pas si facilement.
Alors qu’il s’éloignait, il ne pouvait s’empêcher de se demander ce qui l’attendait la prochaine fois qu’il oserait perturber la tranquillité de la plage. La fessée avait été longue et douloureuse, et il savait qu’il ne l’oublierait pas de sitôt. Chaque pas lui rappelait la brûlure dans ses fesses, chaque regard des passants lui rappelait son humiliation.
La scène restait gravée dans son esprit, les claques résonnant encore dans ses oreilles, la douleur dans ses fesses lui rappelant à chaque pas qu’il avait appris une leçon qu’il n’oublierait jamais. Mais alors qu’il disparaissait dans la foule, la question restait en suspens : que lui réservait l’avenir ?
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