Le soleil de midi inondait la Résidence des Deux Cours d’une lumière dorée, mais dans l’appartement de Benoît Dutal, l’atmosphère était loin d’être sereine. Le jeune homme de vingt-cinq ans, athlétique et au visage juvénile, était en plein ménage. Ses cheveux noirs, coupés en wolf cut, encadraient son visage anguleux alors qu’il s’affairait avec une pelle à poussière. Ce jour-là, il portait un t-shirt noir moulant et un jean délavé, une tenue qui mettait en valeur son corps sculpté par des heures de sport. Mais Benoît n’était pas du genre à faire les choses à moitié. Après avoir balayé son appartement, il se dirigea vers la fenêtre, ouverte en grand pour laisser entrer l’air frais. Sans se soucier des conséquences, il souleva la pelle remplie de poussière et de débris et la vidangea par la fenêtre. La terre, les miettes et les morceaux de papier s’envolèrent, portés par une légère brise, avant d’atterrir sur les passants en contrebas.
Parmi eux se trouvaient Francis Barson, le gestionnaire de la résidence, et Clara Lapelle, l’artiste indépendante et voisine de Benoît. Francis, un homme de cinquante-cinq ans au crâne chauve et à la moustache grisonnante, portait un costume strict qui accentuait son air autoritaire. Ses yeux bleus perçants semblaient voir à travers les âmes, et sa démarche était celle d’un homme habitué au commandement. Clara, quant à elle, avait les cheveux rouges coupés au carré, un style qui contrastait avec son regard vitreux, trahissant une fatigue chronique ou une addiction. Elle portait une veste en cuir usée et un jean déchiré, un style qui reflétait son esprit rebelle.
La poussière tomba sur eux comme une pluie sale, couvrant leurs vêtements et leurs cheveux. Clara, déjà irritée par les nombreuses plaintes de Benoît à son sujet, saisit l’occasion. « Vous voyez, Monsieur Barson ? C’est toujours la même chose avec lui ! » s’exclama-t-elle, sa voix stridente perçant l’air. Elle pointa du doigt la fenêtre d’où provenait la poussière, son geste accusateur. Francis, qui détestait le désordre et le manque de respect, leva les yeux vers l’appartement de Benoît. Son regard se durcit, et ses lèvres se serrèrent en une ligne mince.
« Je vais m’occuper de ça, » grogna-t-il, sa voix grave résonnant comme un coup de tonnerre. Il monta les escaliers à grandes enjambées, chaque pas semblant secouer les marches sous son poids. Clara le suivit, un sourire satisfait étirant ses lèvres. Elle adorait voir Benoît mis à mal, surtout après ses nombreuses remarques sur le bruit qu’elle faisait la nuit, lorsqu’elle peignait ou écoutait de la musique à plein volume.
Benoît, ignorant encore la tempête qui s’approchait, était retourné à son ménage. Il ne remarqua pas Francis frapper à sa porte avec une force qui fit vibrer les murs. Quand il ouvrit enfin, il fut accueilli par le visage sévère de Francis et le regard triomphant de Clara.
« Benoît, » commença Francis, sa voix profonde et autoritaire remplissant l’entrée. « Tu crois vraiment que c’est une façon de te comporter ? Jeter tes déchets par la fenêtre comme si c’était une poubelle ? »
Benoît haussa les épaules, son air impertinent au premier plan. Ses yeux marrons, habituellement chaleureux, se voilèrent d’une lueur de défi. « C’était juste un peu de poussière, Francis. Pas de quoi en faire un drame. »
Francis fronça les sourcils, ses yeux s’étroitant. « Ne m’appelle pas par mon prénom, jeune homme. C’est Monsieur Barson pour toi. »
Benoît roula des yeux, un sourire narquois aux lèvres. « D’accord, Monsieur Barson. Mais franchement, c’est pas si grave. »
Francis échangea un regard avec Clara, qui hocha la tête en signe d’approbation. Ses yeux brillaient d’une lueur malicieuse, comme si elle savait quelque chose que Benoît ignorait. Francis posa sa main gantée de cuir sur l’épaule de Benoît, son geste à la fois paternel et menaçant. « Tu vas apprendre ce que ça signifie de manquer de respect à tes voisins et à la résidence. »
Benoît croisa les bras, son torse se gonflant légèrement. « Vous allez me donner une leçon, Monsieur Barson ? Je suis un grand garçon, je sais ce que je fais. »
Francis serra les poings, ses jointures blanchissant sous la pression. « Tu vas te taire et écouter, jeune homme. Et pour commencer, tu vas t’excuser auprès de Mademoiselle Lapelle. »
Clara, qui avait pris place sur le canapé en cuir usé du salon, croisa les jambes et sourit. Ses ongles peints en noir brillaient sous la lumière du soleil. « Oui, excuse-toi, Benoît. C’est la moindre des choses. »
Benoît soupira, mais il savait qu’il n’avait pas le choix. Il jeta un regard furieux à Clara, puis se tourna vers Francis. « Désolé, Clara. Je ne voulais pas te salir. »
Clara fit une moue de satisfaction, mais Francis n’était pas encore prêt à en rester là. « Les excuses, c’est bien, mais ça ne suffit pas. Tu as besoin d’une leçon plus sévère. »
Benoît sentit une pointe d’inquiétude l’effleurer, mais il tenta de garder son air décontracté. « Une leçon ? De quoi vous parlez, Monsieur Barson ? »
Francis se pencha vers lui, son regard perçant semblant transpercer l’âme de Benoît. « Tu vas recevoir une fessée, Benoît. Et tu vas l’avoir méritée. »
Les yeux de Benoît s’écarquillèrent, et son sourire disparut instantanément. « Une fessée ? Vous êtes sérieux ? Je suis un adulte, pas un enfant ! »
Francis ignora ses protestations et se tourna vers Clara. « Vous pouvez rester et assister à la scène, Mademoiselle Lapelle. Ça lui servira de leçon. »
Clara se leva d’un bond, un sourire malicieux étirant ses lèvres. « Avec plaisir, Monsieur Barson. Je ne voudrais manquer ça pour rien au monde. »
Benoît sentit la panique monter en lui, son cœur battant la chamade. « Attendez, vous ne pouvez pas faire ça ! C’est ridicule ! »
Mais Francis était déjà en train de le pousser vers le canapé, sa main ferme sur l’épaule de Benoît. « Assez parlé, jeune homme. Il est temps de t’apprendre le respect. »
Benoît se débattit, ses muscles tendus sous l’effort. « Lâchez-moi ! Vous n’avez pas le droit ! »
Francis le fit s’allonger sur ses genoux, le maintenant fermement en place. Ses mains puissantes enserraient les hanches de Benoît, l’empêchant de bouger. Clara s’approcha, les yeux brillants d’anticipation. Elle se posta près de la fenêtre, ouverte sur le monde extérieur. La rue en contrebas était animée, et les voisins d’en face pouvaient facilement voir et entendre ce qui se passait.
« Fermez la fenêtre, au moins ! » protesta Benoît, rouge de honte. Ses joues étaient teintées de rose, et sa voix tremblait légèrement.
« Non, » répondit Francis, sa voix ferme et impitoyable. « Que les voisins voient et entendent. Ça te servira de leçon. »
Clara s’assit sur le bras du canapé, observant la scène avec délectation. Ses doigts tambourinaient sur le cuir, comme si elle attendait le début d’un spectacle. Francis leva la main, sa paume large et calleuse, et la fit s’abattre sur les fesses de Benoît, encore couvertes par son jean serré. La première claque résonna dans la pièce, un son sourd et humiliant. Benoît sursauta, un cri étouffé s’échappant de ses lèvres.
« Aïe ! Vous êtes fou ! » s’écria-t-il, tentant de se dégager. Ses mains se crispèrent sur le tissu du canapé, ses ongles creusant le cuir.
Mais Francis le maintint fermement, sa main lourde et implacable. « Tu vas rester en place et prendre ta punition, jeune homme. »
La deuxième claque tomba, plus forte encore. Benoît poussa un cri de douleur, ses fesses commençant à rougir à travers le tissu de son jean. La chaleur se propagea rapidement, et il sentit une brûlure intense. Clara sourit, appréciant le spectacle. Ses yeux brillaient d’un plaisir sadique, comme si elle prenait un malin plaisir à voir Benoît souffrir.
« Tu vois, Benoît ? C’est ce qui arrive quand tu manques de respect, » dit-elle, un ton moqueur dans la voix. Sa voix était douce, mais ses mots étaient acérés comme des lames. . Francis continua, chaque claque plus sévère que la précédente. Benoît se tordait et gémissait, ses protestations devenant de plus en plus faibles. La douleur s’intensifiait, et il sentait ses fesses brûler à travers son jean. La sueur perlait sur son front, et ses cheveux collaient à sa nuque. Il ferma les yeux, tentant de se concentrer sur autre chose que la douleur, mais chaque claque le ramenait à la réalité.
« Arrêtez, s’il vous plaît ! » supplia-t-il, sa voix brisée. Ses mains se crispèrent sur le canapé, ses doigts blanchissant sous la pression.
Mais Francis ne montrait aucune pitié. Son visage était impénétrable, son regard fixe et déterminé. « Pas avant que tu aies appris ta leçon, » grogna-t-il, levant à nouveau la main.
La fessée dura ce qui sembla une éternité à Benoît. Chaque claque était un rappel douloureux de son manque de respect. Ses fesses étaient maintenant douloureuses et rouges, même à travers le tissu de son jean. Il sentait chaque impact comme un coup de poignard, et la chaleur se propageait à travers son corps, le faisant transpirer abondamment.
Clara observait, un mélange de satisfaction et de curiosité dans son regard. Elle semblait étudier chaque réaction de Benoît, comme si elle cherchait à comprendre jusqu’où il pouvait endurer la douleur. Ses lèvres étaient légèrement entrouvertes, et son souffle était rapide, comme si elle partageait l’excitation de la scène.
Enfin, Francis s’arrêta, laissant Benoît haletant et en sueur sur ses genoux. Le jeune homme était tremblant, ses muscles tendus à l’extrême. Il sentait ses fesses pulsées de douleur, et chaque mouvement était une agony. Francis le relâcha doucement, et Benoît se releva rapidement, frottant ses fesses douloureuses. Il jeta un regard furieux à Clara, qui sourit en retour, un sourire triomphant.
« Ce n’est pas fini, » déclara Francis, croisant les bras. Sa voix était calme, mais ses yeux brillaient d’une détermination implacable. « Tu vas maintenant te déshabiller. »
Benoît recula d’un pas, ses yeux s’écarquillant à nouveau. « Me déshabiller ? Pourquoi ? »
Francis pointa du doigt le t-shirt de Benoît, son geste autoritaire. « Tu as reçu une fessée sur tes vêtements, ce n'est pas suffisant. Tu dois la recevoir sur la peau nue. »
Benoît hésita, son cœur battant la chamade. Il jeta un regard implorant à Clara, mais elle détourna les yeux, un sourire aux lèvres. Lentement, il commença à enlever son t-shirt, révélant son torse athlétique et sa peau légèrement hâlée. Ses abdominaux étaient dessinés, et ses pectoraux saillants. Clara observa, un sourire aux lèvres, alors que Benoît, rouge de honte, se tenait devant eux.
« Maintenant, le jean, » ordonna Francis, sa voix impassible.
Benoît hésita à nouveau, ses mains tremblantes posées sur la braguette de son jean. Il sentait les regards de Francis et Clara sur lui, et la honte l’envahit. Mais il finit par obéir, déboutonnant son jean et le laissant tomber au sol. Il ne portait qu’un boxer serré, qui laissait peu à l’imagination. Ses fesses, déjà rouges, étaient maintenant exposées, et il sentit une vague de honte l’envahir. Son sexe, légèrement tendu par l’excitation et la peur, était visible à travers le tissu fin du boxer.
« Sur mes genoux, » ordonna Francis, pointant vers le canapé. Sa voix était ferme, mais il y avait une note de satisfaction dans son ton.
Benoît obéit, s’allongeant à contrecœur sur les genoux de Francis. Il sentit les mains de l’homme plus âgé sur ses hanches, le maintenant en place. Les doigts de Francis étaient fermes, mais pas brutaux, comme s’il prenait un malin plaisir à contrôler chaque mouvement de Benoît. Clara s’approcha, observant la scène avec un mélange de curiosité et de satisfaction. Françis fit descendre le boxer de Benoît et exposa ses fesses nues.
Francis leva la main et la fit s’abattre sur les fesses nues de Benoît. La claque résonna dans la pièce, un son clair et humiliant. La douleur était intense, bien plus que lorsqu’il était habillé. Benoît poussa un cri étouffé, ses mains se crispant sur le tissu du canapé. Ses ongles creusèrent le cuir, laissant des marques blanches.
« Tu vas apprendre le respect, jeune homme, » grogna Francis, levant à nouveau la main. Sa voix était basse, presque gutturale, comme si la scène éveillait en lui une passion primitive.
La deuxième claque tomba, encore plus forte. Benoît gémit, ses fesses brûlant sous l’impact. La chaleur se propagea rapidement, et il sentit une douleur aiguë se répandre dans tout son corps. Clara observa, un sourire aux lèvres, alors que Francis continuait, chaque claque plus sévère que la précédente.
La fessée dura longtemps, chaque claque un rappel douloureux de la leçon que Benoît devait apprendre. Ses fesses étaient maintenant d’un rouge vif, et il sentait la chaleur se propager à travers son corps. Il se tordait et gémissait, mais Francis ne montrait aucune pitié. Ses mains étaient impitoyables, et chaque claque était délivrée avec une précision et une force calculées.
Benoît sentit un mélange de sueur et d’excitation. Il était humilié, mais une partie de lui était étrangement excitée par la situation. Il sentait son sexe se tendre, malgré la douleur et la honte. Clara remarqua son érection, et un sourire malicieux apparut sur ses lèvres. Elle se pencha vers lui, murmurant à son oreille :
« Tu aimes ça, hein, Benoît ? Tu aimes être humilié comme ça ? »
Benoît rougit encore plus, si c’était possible. Il tenta de détourner les yeux, mais Clara maintint son regard, ses yeux brillants de malice. Francis, quant à lui, semblait ignorer l’échange, concentré sur sa tâche.
Enfin, après ce qui sembla une éternité, Francis s’arrêta. Benoît haletait, ses fesses douloureuses et rouges. Il se releva lentement, frottant ses fesses et jetant un regard furieux à Francis et Clara. Ses jambes tremblaient légèrement, et il sentait une faiblesse l’envahir.
« Tu as compris la leçon, jeune homme ? » demanda Francis, sa voix ferme. Ses yeux brillaient d’une satisfaction calme, comme s’il avait accompli une tâche importante.
Benoît hoqueta, essayant de reprendre son souffle. « Oui, Monsieur Barson. Je comprends. »
Francis hocha la tête, satisfait. « Bien. Maintenant, tu vas t’excuser auprès de tous les voisins que tu as dérangés. Et tu vas faire attention à ton comportement à l’avenir. »
Benoît soupira, sachant qu’il n’avait pas le choix. Il se sentait humilié et vaincu, mais il savait qu’il devait obéir. « D’accord, Monsieur Barson. Je m’excuserai. »
Clara se leva, un sourire triomphant aux lèvres. « Je suis contente que tu aies enfin reçu la leçon que tu méritais, Benoît. »
Benoît jeta un regard furieux à Clara, mais il savait qu’il ne pouvait rien dire. Il se rhabilla rapidement, ses fesses douloureuses le rappelant à chaque mouvement de la leçon qu’il venait de recevoir. Chaque pas était une agonie, et il sentait ses muscles protester.
Alors que Francis et Clara quittaient l’appartement, Benoît se dirigea vers la fenêtre, la fermant avec force. Il jeta un regard vers l’appartement d’en face, se demandant si les voisins avaient tout vu et entendu. Il sentit une vague de honte l’envahir, mais il savait qu’il devait faire amende honorable.
La journée était loin d’être terminée, et Benoît savait qu’il avait encore beaucoup à faire pour réparer les dégâts qu’il avait causés. Mais une chose était sûre : il n’oublierait pas de sitôt la leçon qu’il venait de recevoir. Et il se demanda, alors qu’il se frottait les fesses douloureuses, si Francis et Clara avaient d’autres surprises en réserve pour lui. La suite restait à écrire, et Benoît ne pouvait s’empêcher de se demander ce que l’avenir lui réservait.
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