vendredi 29 août 2025

Bienvenue à Palmora - Partie 1

 

Benoît Dutal ajusta nerveusement la bretelle de son sac à dos alors que l’avion roulait sur la piste, prêt à décoller vers l’île de Palmora. À vingt-cinq ans, il avait déjà fait ses preuves dans le monde de l’activisme politique, mais cette mutation était différente. Travailler comme assistant parlementaire sur une île connue pour ses méthodes disciplinaires particulières le mettait mal à l’aise. Il n’aimait pas l’idée d’être éloigné de son terrain de prédilection, mais il avait accepté ce poste pour des raisons stratégiques. Palmora était un endroit intrigant, un microcosme de société où la hiérarchie et la discipline étaient gravées dans la culture locale.

Alors que l’avion s’élevait dans les airs, Benoît se laissa tomber dans son siège, fixant par la fenêtre les nuages qui défilaient. Il portait son habituel t-shirt noir ajusté, mettant en valeur sa silhouette athlétique, et un jean slim qui soulignait ses jambes musclées. Sa tenue reflétait son refus de se conformer aux codes vestimentaires rigides. Ses cheveux noirs, coupés en wolf cut, encadraient son visage juvénile. Il avait l’air d’un étudiant rebelle, pas d’un assistant parlementaire, mais il s’en moquait. Ce qui comptait pour lui, c’était ses idées, pas son apparence.

L’hôtesse de l’air passa dans l’allée, distribuant des boissons. Benoît déclina poliment, préférant garder les idées claires. Il sortit un livre de son sac, un essai sur les systèmes politiques alternatifs, mais ses pensées dérivaient sans cesse vers Palmora. Que signifiait vraiment cette île ? Et comment allait-il s’adapter à ses règles strictes ? Il avait entendu des rumeurs sur les fessées, une pratique censée maintenir l’ordre et le respect. L’idée le faisait frissonner, non pas par excitation, mais par une colère sourde. Il détestait l’autorité imposée, surtout quand elle prenait une forme aussi humiliante.

L’avion traversa une zone de turbulences, et Benoît serra les poings, ses ongles creusant dans les accoudoirs. Il n’aimait pas perdre le contrôle, et cette sensation d’impuissance le rendait irritable. À côté de lui, un homme d’une quarantaine d’années, vêtu d’un costume trois-pièces impeccablement taillé, le regarda avec un sourire amusé. Ses traits sévères et son regard perçant dégageaient une aura d’autorité.

— Vous n’aimez pas voler, jeune homme ? demanda-t-il, sa voix calme et posée, mais teintée d’un sous-entendu de supériorité.

Benoît le dévisagea, remarquant l’insigne discret sur sa veste qui indiquait son statut élevé. Il avait l’air d’un homme habitué à commander et à être obéi.

— Ce n’est pas que je n’aime pas voler, répondit Benoît, un peu sec, refusant de se laisser intimider. C’est juste que je n’aime pas être à la merci des éléments.

L’homme hocha la tête, comme s’il comprenait, mais son sourire ne quitta pas ses lèvres.

— Je m’appelle Henri Moreau. Et vous, vous devez être Benoît Dutal. J’ai entendu parler de vous. Vous êtes ce jeune activiste qui fait tant de bruit.

Benoît se raidit. Il n’aimait pas être reconnu, surtout par des hommes comme Moreau, qui semblaient incarner tout ce qu’il combattait.

— Oui, c’est moi, admit-il, sans enthousiasme, croisant les bras sur sa poitrine comme pour se protéger.

— Vous allez à Palmora, n’est-ce pas ? demanda Moreau, son ton devenant plus sérieux, presque inquisiteur.

— Oui, répondit Benoît, méfiant, sentant déjà la tension monter entre eux. Et vous ?

— Je suis l’un des administrateurs de l’île. Je m’assure que tout se passe selon les règles, expliqua Moreau, son regard se durcissant légèrement.

Benoît sentit une pointe de colère monter en lui. Les règles. Toujours les règles. Il détestait être enfermé dans un système qu’il ne respectait pas.

— Et quelles sont ces règles, exactement ? demanda-t-il, son ton défiant, ses yeux brun foncé se fixant sur ceux de Moreau.

Moreau le regarda fixement, comme s’il mesurait la rébellion dans les yeux de Benoît.

— À Palmora, nous croyons en la discipline, jeune homme. C’est ce qui maintient l’harmonie. Et parfois, cette discipline doit être appliquée de manière… directe, expliqua-t-il, sa voix se faisant plus froide.

Benoît croisa les bras, son regard se durcissant.

— Vous voulez dire les fessées ? C’est ça, votre harmonie ? Humilier les gens pour les garder en ligne ?

Moreau ne cilla pas, son expression restant impassible.

— Ne sous-estimez pas l’efficacité de nos méthodes, Benoît. Elles ont fait leurs preuves depuis des siècles, rétorqua-t-il, sa voix chargée d’une autorité incontestable.

— Des siècles de soumission, vous voulez dire, rétorqua Benoît, sa voix s’élevant, son sang bouillant dans ses veines. Vous appelez ça de l’harmonie, mais c’est juste de la peur.

Les passagers autour d’eux commencèrent à les regarder, certains avec curiosité, d’autres avec désapprobation. Moreau se pencha vers Benoît, son expression devenant sévère, ses yeux perçants comme des lames.

— Vous feriez mieux de surveiller votre langue, jeune homme. À Palmora, l’insolence a des conséquences, gronda-t-il, sa voix résonnant comme un avertissement.

Benoît se redressa, son sang bouillant.

— Et moi, je vous dis que vos méthodes sont archaïques et injustes ! Vous ne pouvez pas continuer à traiter les gens comme ça !

Moreau se leva brusquement, son visage rouge de colère, ses mains se serrant en poings.

— Assez ! s’exclama-t-il, sa voix retentissant dans l’avion. Vous ne comprenez rien, Benoît Dutal. Mais vous allez apprendre. Et vite.

Avant que Benoît puisse réagir, Moreau lui donna une gifle retentissante en plein visage. Le bruit de la claque écho dans l’avion, et Benoît porta instinctivement sa main à sa joue, les yeux écarquillés de surprise et de colère. La marque rouge de la main de Moreau se dessina instantanément sur sa peau.

— Monsieur Moreau ! s’écria l’hôtesse de l’air, s’approchant rapidement, son visage pâle d’indignation. Vous ne pouvez pas faire ça !

Mais Moreau l’ignora, se tournant vers les autres passagers, son expression implacable.

— Vous voyez ce qui arrive quand on ne respecte pas les règles ? dit-il, sa voix ferme, presque triomphante. Ce jeune homme a besoin d’une leçon. Et il va l’avoir.

Il attrapa Benoît par le bras, le tirant brutalement de son siège. Benoît se débattit, ses muscles se tendant sous l’effort, mais Moreau était plus fort, son emprise implacable.

— Laissez-moi ! s’écria Benoît, se débattant avec une énergie désespérée. Vous n’avez pas le droit de me toucher !

— À Palmora, j’ai tous les droits, rétorqua Moreau, le traînant vers l’arrière de l’avion, où l’espace était plus dégagé. Et vous allez apprendre à respecter l’autorité.

Il l’emmena dans l’espace étroit entre les rangées de sièges, où une petite foule de passagers curieux s’était formée. Benoît se débattait, ses pieds traînant sur le sol, mais Moreau le maintenait fermement, son emprise de fer.

— Arrêtez-le ! supplia Benoît, se tournant vers les autres passagers, ses yeux suppliants. Il ne peut pas faire ça !

Mais personne n’intervint. Certains regardaient avec embarras, d’autres avec une curiosité morbide. Une femme murmura quelque chose à propos de "méthodes nécessaires", et Benoît sentit son cœur se serrer de désespoir et de rage.

Moreau le poussa contre un mur, le maintenant fermement, ses mains fortes immobilisant les épaules de Benoît.

— Maintenant, tu vas t’excuser pour ton insolence, ordonna-t-il, son visage à quelques centimètres de celui de Benoît, son haleine chaude caressant sa peau.

— Jamais, cracha Benoît, son regard défiant, ses yeux brillants de colère.

Moreau soupira, comme s’il s’attendait à cette réponse, puis son expression se fit encore plus dure.

— Très bien, dit-il, sa voix froide et calculée. Alors nous allons faire les choses à ma manière.

Il attrapa le t-shirt noir de Benoît, le déchirant brutalement pour l’enlever. Le tissu céda sous la force de Moreau, exposant le torse athlétique de Benoît, ses abdos dessinés et sa peau lisse. Benoît essaya de se protéger, mais Moreau était trop fort, trop déterminé. En quelques secondes, il se retrouva torse nu, son corps exposé aux regards des passagers.

— Arrêtez ! s’écria Benoît, rougissant de honte et de colère, ses mains tentant de couvrir sa poitrine. Vous n’avez pas le droit de me faire ça !

— À Palmora, j’ai tous les droits, répéta Moreau, son ton sans émotion, comme s’il récisait une loi immuable.

Il attrapa ensuite le jean de Benoît, le descendant brutalement, révélant son boxer noir. Benoît se débattit avec encore plus de force, ses muscles se contractant sous l’effort, mais Moreau le maintenait fermement, son emprise implacable.

— S’il vous plaît, arrêtez ! supplia Benoît, sa voix tremblante, ses yeux remplis de larmes de frustration et d’humiliation.

Mais Moreau ne montrait aucune pitié. Il descendit le boxer de Benoît, l’exposant complètement. Benoît se retrouva nu, ses parties génitales et ses fesses exposées aux regards des passagers. La honte le submergea, mais il refusa de baisser les yeux, gardant un regard fier malgré tout.

— Vous êtes un monstre, murmura-t-il, sa voix tremblante de colère et d’humiliation, ses poings serrés à ses côtés.

Moreau le regarda froidement, sans émotion, comme s’il inspectait une pièce de viande.

— À Palmora, nous faisons ce qui est nécessaire pour maintenir l’ordre, dit-il, sa voix ferme et sans appel.

Il attrapa Benoît par la taille, le soulevant brutalement pour le placer sur ses genoux. Benoît se retrouva allongé, ses fesses nues exposées, ses jambes pendantes, ses mains tentant en vain de couvrir son intimité. Il essaya de se dégager, mais Moreau le maintenait fermement, une main sur son dos, l’autre levée dans les airs, prête à frapper.

— Cela va vous apprendre à respecter l’autorité, dit Moreau, sa voix ferme et menaçante, son regard fixé sur Benoît avec une intensité terrifiante.

Et puis, la première claque tomba.

Le bruit de la main de Moreau sur les fesses nues de Benoît résonna dans l’avion, un son sec et humiliant qui fit sursauter plusieurs passagers. Benoît sursauta, un cri de douleur et de surprise s’échappant de ses lèvres. La douleur était intense, une brûlure vive qui se propagea dans tout son corps, comme si son arrière-train était en feu.

— Arrêtez ! s’écria-t-il, se débattant avec une énergie désespérée, ses mains tentant de se protéger. S’il vous plaît, arrêtez !

Mais Moreau continua, sa main tombant avec une régularité méthodique sur les fesses de Benoît. Chaque claque était un choc, une humiliation publique qui le marquait au plus profond de son être. Les passagers regardaient, certains avec embarras, d’autres avec une curiosité morbide. Une femme détourna le regard, murmurant quelque chose à propos de "méthodes sévères mais nécessaires".

Benoît sentit les larmes monter à ses yeux, mais il refusa de les laisser tomber. Il serra les dents, essayant de retenir ses cris, mais la douleur était trop intense. Chaque claque le faisait sursauter, sa peau devenant de plus en plus rouge et sensible, comme si elle était en feu.

— Vous voyez ce qui arrive quand on ne respecte pas les règles ? dit Moreau, sa voix calme et ferme, presque pédagogique, comme s’il donnait une leçon à un enfant. Cela vous apprendra à vous comporter correctement.

Benoît essaya de se dégager, mais Moreau le maintenait fermement, son emprise implacable. Il se sentait impuissant, humilié, exposé aux regards de tous. La douleur physique était intense, mais c’était l’humiliation qui le blessait le plus. Il détestait être ainsi soumis, détestait être traité comme un objet de discipline.

— S’il vous plaît, arrêtez, supplia-t-il, sa voix brisée, ses larmes coulant enfin sur ses joues, malgré ses efforts pour les retenir. Je vous en prie.

Mais Moreau continua, sa main tombant sans relâche sur les fesses de Benoît. Les larmes coulaient maintenant librement sur les joues de Benoît, mais il refusa de crier, serrant les poings jusqu’à ce que ses ongles creusent dans ses paumes. Il voulait garder une once de dignité, même dans cette situation dégradante.

Les passagers regardaient, certains avec compassion, d’autres avec indifférence. Une jeune femme murmura quelque chose à propos de "mériter ce qui lui arrive", et Benoît sentit une colère froide monter en lui, mêlée à une profonde humiliation.

Moreau arrêta enfin, laissant Benoît respirer, ses fesses en feu, sa peau rouge et douloureuse, comme marquées au fer rouge. Benoît se releva lentement, se couvrant les parties génitales avec ses mains, son visage rougi de honte et de colère, ses cheveux en désordre.

— Vous êtes un monstre, murmura-t-il, sa voix tremblante, mais ferme, ses yeux fixant Moreau avec une intensité farouche. Vous ne pouvez pas traiter les gens comme ça.

Moreau le regarda froidement, sans émotion, comme s’il n’avait fait que son devoir.

— À Palmora, nous faisons ce qui est nécessaire pour maintenir l’ordre, dit-il, sa voix ferme et sans appel. Et vous, Benoît Dutal, vous allez apprendre à respecter les règles.

Benoît se rhabilla rapidement, ses mains tremblantes, son cœur battant la chamade, ses fesses douloureuses à chaque mouvement. Il se sentait violé, humilié, mais il refusa de baisser les yeux. Il regarda Moreau droit dans les yeux, sa colère brûlant en lui comme un feu intérieur.

— Vous ne m’avez pas brisé, dit-il, sa voix ferme, presque un rugissement contenu. Et je ne me soumettrai jamais à vos méthodes barbares.

Moreau sourit, un sourire froid et sans émotion, comme s’il savait déjà que Benoît finirait par céder.

— Nous verrons, dit-il, se retournant pour retourner à son siège, son costume impeccable malgré la scène qui venait de se dérouler. Vous avez encore beaucoup à apprendre, jeune homme.

Benoît resta debout, son corps tremblant, ses fesses douloureuses, son esprit en ébullition. Il détestait Moreau, détestait Palmora, détestait cette humiliation publique. Mais il savait une chose : il ne se soumettrait jamais. Il continuerait à se battre, à défier l’autorité, à défendre ses idées, quoi qu’il lui en coûte.

L’avion continua sa route vers Palmora, mais Benoît savait que son combat ne faisait que commencer. Et il était prêt. Plus que jamais.

samedi 16 août 2025

Infiltration chez des chasseurs




Benoît Dutal ajusta son t-shirt noir, lissant les plis de son jean large avant de pousser discrètement la porte de la salle de réunion. La lumière tamisée de la pièce contrastait violemment avec l’agitation du quartier populaire de la Résidence des Deux Cours, où les rires des passants et le grondement lointain des motos résonnaient faiblement. Il avait choisi cet endroit exprès pour son anonymat : une vieille bâtisse aux murs décrépis, connue pour abriter des réunions clandestines. Les chasseurs, comme on les appelait, s’y rassemblaient pour échanger des informations, planifier leurs expéditions et renforcer leur réseau. Benoît, avait décidé de s’infiltrer pour déjouer leurs plans. Il savait que ces hommes étaient impliqués dans des activités douteuses, et il était prêt à tout pour les arrêter. Son cœur battait la chamade, mais son regard déterminé, ses yeux marron brillants sous sa frange de wolf cut, trahissaient sa résolution.


La salle était remplie d’une vingtaine d’hommes, pour la plupart d’âge mûr, vêtus de vestes en cuir usées et de casquettes tachées de sueur. Leurs voix graves et leurs rires gras remplissaient l’air, mêlés à l’odeur âcre de tabac froid et de bière tiède. Benoît, avec son visage juvénile et ses traits fins, se fondit facilement dans l’ombre, près de la porte. Il croisa le regard de Liara Nguyen, une étudiante métisse coréenne-française qu’il avait rencontrée lors d’une manifestation. Elle était assise à une table, un carnet à la main, feignant de prendre des notes tout en observant les chasseurs avec un air détaché. Leur complicité silencieuse lui donna un sursaut de confiance. Liara, avec ses cheveux noirs lisses et son regard perçant, hochait légèrement la tête, comme pour l’encourager.


— Messieurs, commença un homme trapu, la cinquantaine, avec une voix autoritaire qui résonna dans la pièce, nous avons une nouvelle cible. Une réserve naturelle près de la frontière. Les gardes sont peu nombreux, et la faune est abondante. Qui est partant ?


Benoît sentit son sang bouillir. Ces hommes parlaient de détruire des écosystèmes entiers, et ils le faisaient avec une telle désinvolture. Il serra les poings, ses ongles creusant la paume de ses mains, mais se rappela sa mission : observer, écouter, et collecter des preuves. Il sortit discrètement un petit carnet de sa poche, ses doigts agiles tournant les pages, et commença à noter les détails : les noms, les lieux, les stratégies. Chaque mot prononcé était une pièce du puzzle qu’il devait assembler pour les arrêter.


— Benoît, murmura Liara en se penchant vers lui, sa voix douce mais urgente, tu devrais faire attention. Ils ne sont pas du genre à apprécier les intrus.


Il lui lança un regard bref, un mélange de gratitude et de détermination. Il savait qu’elle avait raison, mais il ne pouvait pas reculer. Pas maintenant. Ses lèvres se serrèrent en une ligne mince, et il hocha la tête imperceptiblement, comme pour lui dire de ne pas s’inquiéter.


Les discussions s’animèrent, les chasseurs échangeant des cartes jaunies et des conseils chuchotés. Benoît nota les coordonnées GPS, les dates prévues pour les expéditions, et même les noms des informateurs qui les aidaient à contourner les lois. Chaque information était précieuse, chaque détail pouvait faire la différence. Mais plus il écoutait, plus il sentait la colère monter en lui, comme une flamme qui grandissait dans sa poitrine. Ces hommes étaient des prédateurs, et ils agissaient en toute impunité.


Soudain, une voix retentit, plus forte que les autres, brisant la tension de la pièce.


— Et pour les jeunes qui essaient de nous arrêter, qu’est-ce qu’on fait ? demanda un homme grand et maigre, un sourire narquois étirant ses lèvres minces.


Les rires éclatèrent, gras et moqueurs, et Benoît sentit tous les regards se tourner vers lui. Il avait été repéré. Son cœur battit plus vite, comme un tambour dans sa poitrine, mais il garda son calme, croisant les bras sur sa poitrine athlétique.


— Je ne sais pas de quoi vous parlez, répondit-il d’une voix ferme, mais il savait que son mensonge ne tiendrait pas longtemps. Ses mots sonnaient creux, même à ses propres oreilles.


L’homme maigre se leva, s’approchant de lui avec des pas lents et menaçants, ses chaussures de cuir crissant sur le plancher de bois.


— Tu crois qu’on est stupides, gamin ? Tu as été vu près de nos repaires. Tu es un de ces activistes, n’est-ce pas ?


Benoît serra les dents, ses mâchoires se contractant. Il avait été trop confiant, trop imprudent. Il devait sortir de là, et vite. La sueur perlait sur son front, malgré la fraîcheur de la pièce.


— Je vous conseille de partir, dit l’homme, sa voix glaciale, sinon, on va s’occuper de toi.


Avant que Benoît puisse réagir, l’homme leva la main et lui administra une gifle retentissante en plein visage. Le bruit de la claque résonna dans la pièce, un son sec et humiliant. Benoît sentit la chaleur monter à sa joue, une brûlure instantanée, et il recula d’un pas, la main portée à son visage, les yeux emplis de colère et d’humiliation. La pièce sembla tourner un instant, et il serra les poings, ses ongles creusant ses paumes.


— Assez ! tonna une voix autoritaire, coupant court au chaos. Laissez-le moi.


Un homme plus âgé, avec une barbe grisonnante et un regard perçant, s’avança. Il avait l’air d’un leader, et son autorité était palpable, comme une aura autour de lui.


— Tu as osé t’infiltrer dans notre réunion, gamin ? dit-il en fixant Benoît de ses yeux froids. Tu vas apprendre à respecter les règles.


Benoît tenta de protester, mais l’homme leva la main pour le faire taire, son geste impérieux.


— Pas un mot. Tu vas recevoir une leçon que tu n’oublieras pas de sitôt.


Les chasseurs se rassemblèrent autour d’eux, formant un cercle serré, leurs visages durs et impitoyables. Benoît sentit la panique monter, comme une vague qui le submergeait. Il savait ce qui allait arriver, et il ne pouvait rien faire pour l’arrêter. Son estomac se noua, et il avala sa salive avec difficulté.


— Déshabille-le, ordonna l’homme, sa voix calme mais ferme.


Deux chasseurs s’approchèrent, attrapant Benoît par les bras. Il se débattit, ses muscles se tendant sous l’effort, mais ils étaient trop forts. Ils lui enlevèrent son t-shirt, exposant son torse athlétique, marqué par des cicatrices discrètes. Benoît sentit la honte l’envahir, comme une vague brûlante, mais il refusa de montrer sa peur. Ses yeux se rivèrent sur Liara, qui détournait le regard, incapable de supporter la scène.


— Pas assez, dit l’homme, un sourire cruel aux lèvres. Enlève-lui tout.


Les chasseurs obéirent, tirant sur son jean jusqu’à ce qu’il tombe au sol, puis sur son boxer, le laissant nu, exposé aux regards moqueurs et aux commentaires cruels. Benoît se retrouva nu, ses parties génitales et ses fesses pâles exposées à la vue de tous. Il serra les poings, les yeux baissés, refusant de les laisser voir sa vulnérabilité. La pièce semblait tourner autour de lui, et il sentit une sueur froide lui glacer le dos.


— Maintenant, il va apprendre, dit l’homme en s’approchant, ses pas lents et délibérés. Allonge-toi sur mes genoux.


Benoît hésita, ses jambes tremblantes, mais il savait qu’il n’avait pas le choix. Il s’avança, le cœur lourd, et s’allongea sur les genoux de l’homme. Son visage était à hauteur des fesses de Benoît, et il sentit les mains calleuses de l’homme se poser sur ses hanches, le maintenant fermement en place. La pièce semblait se taire, tous les regards fixés sur lui.


— Tu as de belles fesses, gamin, dit l’homme avec un sourire sadique, ses mots comme des coups de poignard. Dommage qu’elles vont être rouges d’ici peu.


La première claque tomba, puissante et retentissante. Benoît sursauta, un cri étouffé lui échappant. La douleur était intense, brûlante, comme si une marque de feu avait été apposée sur sa peau. L’homme ne s’arrêta pas, continuant à frapper avec une régularité méthodique, chaque claque résonnant dans la pièce comme un coup de tonnerre. Benoît serra les dents, tentant de retenir ses larmes, mais c’était impossible. Les larmes coulaient sur ses joues, mêlées à des sanglots étouffés. La douleur était insupportable, une brûlure qui semblait s’étendre à tout son corps.


— Tu vas apprendre à respecter les règles, gamin, répétait l’homme entre chaque claque, sa voix froide et impitoyable. Tu vas apprendre à ne pas t’immiscer dans nos affaires.


Les chasseurs observaient, certains avec des sourires narquois, d’autres avec une indifférence cruelle. Liara, quant à elle, avait détourné le regard, ses mains serrées en poings sur ses genoux. Elle savait que Benoît était courageux, mais elle ne pouvait s’empêcher de ressentir de la colère envers ces hommes qui le humiliaient ainsi. Les claques continuaient, sans relâche, chaque coup ajoutant une nouvelle couche de douleur.


Benoît sentit ses fesses devenir de plus en plus sensibles, la peau brûlante et douloureuse, comme si elle était en feu. Il tenta de se débattre, mais les mains de l’homme le maintenaient fermement en place, ses doigts creusant dans sa chair. Il était impuissant, à la merci de cet homme qui semblait prendre plaisir à le punir. La sueur coulait sur son corps, mêlée à ses larmes, et il sentit ses forces l’abandonner, comme si son corps voulait se dissoudre sous la douleur.


— Tu vas t’excuser, gamin, dit l’homme après une dizaine de claques, sa voix teintée de satisfaction. Tu vas t’excuser pour avoir perturbé notre réunion.


Benoît serra les dents, refusant de céder. Il ne s’excuserait pas. Il ne leur donnerait pas cette satisfaction. Ses lèvres tremblèrent, mais il garda le silence, ses yeux fermés pour ne pas voir les regards moqueurs.


— Comme tu veux, dit l’homme avec un sourire. Mais tu vas le regretter.


Les claques reprirent, encore plus fortes, encore plus douloureuses. Benoît sentit ses forces l’abandonner, son corps tremblant sous l’intensité de la punition. Il voulait crier, supplier, mais il ne pouvait pas. Il était piégé, prisonnier de cette humiliation publique. Chaque claque était un rappel brutal de son impuissance, une marque de honte qui s’imprimait sur sa peau.


Enfin, après ce qui sembla une éternité, l’homme s’arrêta. Benoît gisait sur ses genoux, les fesses en feu, le corps couvert de sueur. Il était épuisé, brisé, mais il refusait de montrer sa défaite. Ses muscles tremblaient, et il sentit une nausée monter en lui, mais il serra les dents, refusant de vomir devant eux.


— Relève-toi, dit l’homme d’une voix froide, comme si de rien n’était.


Benoît se leva lentement, les jambes tremblantes, ses fesses douloureuses à chaque mouvement. Il ramassa ses vêtements, les enfilant rapidement pour cacher sa nudité, ses mains tremblantes peinant à boutonner son jean. Il évita les regards des chasseurs, sentant la honte et la colère l’envahir comme une marée montante.


— Maintenant, tu sais ce qui t’attend si tu t’approches de nous à nouveau, dit l’homme, un sourire satisfait aux lèvres. Tu ferais mieux de disparaître.


Benoît hocha la tête, se dirigeant vers la porte sans un mot. Il sentait les regards peser sur lui, comme des pierres, mais il ne se retourna pas. Il avait échoué, mais il ne renoncerait pas. Ses pas étaient lents, mais déterminés, chaque mouvement une promesse de revanche.


À l’extérieur, il respira profondément, l’air frais de la nuit remplissant ses poumons. Liara l’attendait, un regard préoccupé sur son visage, ses mains tendues vers lui.


— Ça va ? demanda-t-elle doucement, sa voix pleine de compassion.


Benoît hocha la tête, mais il savait que ce n’était pas vrai. Il était brisé, humilié, mais il ne le montrerait pas. Pas à elle. Il serra les poings, ses ongles creusant ses paumes, et releva la tête, ses yeux déterminés.


— On va les arrêter, Liara, dit-il d’une voix ferme, chaque mot une promesse. Peu importe ce qu’il faudra faire.


Elle lui sourit, un mélange d’admiration et de compassion dans ses yeux.


— Je suis avec toi, Benoît. Toujours.


Il lui rendit son sourire, sentant une lueur d’espoir naître en lui, comme une flamme qui refusait de s’éteindre. Il avait été vaincu ce soir, mais ce n’était pas la fin. C’était juste le début.


Alors qu’ils s’éloignaient dans la nuit, Benoît sentit la douleur dans ses fesses lui rappeler la leçon qu’il avait reçue. Mais il savait une chose : il ne se laisserait pas abattre. Il se battrait, pour la justice, pour ses idées, et pour ceux qui ne pouvaient pas se défendre. Et un jour, il ferait payer ces hommes pour ce qu’ils lui avaient fait.


La nuit était calme, mais dans le cœur de Benoît, une tempête se préparait. Il était prêt à tout pour défendre ce en quoi il croyait, et rien, pas même une fessée humiliante, ne pourrait l’arrêter. Ses pas résonnaient sur le trottoir, chaque mouvement une promesse de revanche, chaque respiration un rappel de sa détermination. La douleur dans ses fesses était un feu qui brûlait en lui, mais il savait qu’il en sortirait plus fort, plus résolu. Et un jour, il ferait payer ces hommes pour chaque claque, pour chaque humiliation. La justice serait sienne, et il ne s’arrêterait pas avant d’y être parvenu.

dimanche 27 juillet 2025

Benoît fessé à la plage

 


La plage étincelait sous le soleil déclinant, l’air chargé de l’odeur iodée de la mer et des rires des vacanciers. Benoît Dutal, torse nu et vêtu d’un maillot de bain rouge moulant, était le centre de toutes les attentions. Son corps athlétique, sculpté par des heures d’entraînement, se mouvait avec une grâce presque féline alors qu’il dribblait le ballon de football entre les groupes de jeunes hommes. Ses cheveux noirs, taillés en une wolf cut moderne, encadraient son visage juvénile, mettant en valeur ses traits fins et son regard brun pétillant d’énergie.

Les jeunes femmes autour de lui ne pouvaient détourner les yeux. Une brune aux yeux noisette murmura à sa voisine : « Regarde-le, il est tellement… irrésistible. » Une autre, plus audacieuse, lui lança un sourire en passant, mais Benoît, absorbé par le jeu, ne sembla pas remarquer leur attention. Son maillot de bain rouge contrastait avec sa peau légèrement hâlée, soulignant chaque muscle de son torse et de ses abdos.

Pourtant, son enthousiasme commençait à agacer certains vacanciers. Ses cris joyeux et ses mouvements brusques perturbaient la tranquillité de la plage. Un homme d’âge mûr, assis sur une chaise pliante avec un livre à la main, leva les yeux, visiblement irrité. « Il pourrait faire un peu moins de bruit, non ? » grogna-t-il à sa femme, qui haussa les épaules en réponse.

Benoît, inconscient de la gêne qu’il provoquait, continua à jouer. Son ballon vola soudainement trop loin, atterrissant près d’une famille avec une petite fille d’environ cinq ans. La fillette, surprise, se retourna juste à temps pour recevoir le ballon en pleine tête. Elle se mit à pleurer, ses cris perçants résonnant sur la plage.

Le père de la petite fille, un homme grand et musclé, se leva d’un bond. Son visage se durcit instantanément, ses yeux se plantant dans ceux de Benoît. « C’est vous qui avez fait ça ? » demanda-t-il d’une voix froide, les mains posées sur les hanches.

Benoît, pris de court, hésita un instant avant de répondre, un sourire maladroit aux lèvres. « Euh… oui, c’était un accident. Désolé. »

L’homme ne sembla pas convaincu. Il s’approcha de Benoît, ses pas lourds dans le sable. « Un accident, hein ? Et si c’était ma fille qui se blessait ? Vous trouvez ça drôle ? »

Benoît recula d’un pas, sentant l’atmosphère se tendre. « Non, non, je… je ne voulais pas. »

L’homme ne dit rien, mais son regard en disait long. Il jeta un coup d’œil autour de lui, comme s’il cherchait quelque chose. Puis, sans prévenir, il attrapa Benoît par le bras et le tira vers lui. « Tu vas apprendre à te calmer, jeune homme. »

Benoît tenta de se dégager, mais l’homme était trop fort. « Hé, qu’est-ce que vous faites ? Lâchez-moi ! »

L’homme ne répondit pas. Il se contenta de le traîner vers un espace plus isolé de la plage, où quelques curieux commençaient à se rassembler. Une femme d’une quarantaine d’années, les cheveux blonds relevés en chignon, s’avança. « Qu’est-ce qui se passe ici ? »

L’homme se tourna vers elle, son expression toujours aussi sévère. « Ce jeune homme a failli blesser ma fille avec son ballon. Il a besoin d’une leçon. »

La femme hocha la tête, comme si elle approuvait. « Vous avez raison. Il faut lui apprendre à se tenir. »

Benoît, paniqué, tenta de nouveau de se dégager. « Non, s’il vous plaît ! Je m’excuse, je ne le referai plus ! »


Mais ses protestations furent vaines. L’homme s'assit sur le sable. Benoît se retrouva allongé sur les genoux de l’homme, ses jambes pendantes de chaque côté. Il sentit une main ferme se poser sur son épaule, le maintenant en place.

La femme s’approcha, un sourire satisfait aux lèvres. « Tu vas recevoir une bonne fessée, jeune homme. Ça t’apprendra à faire attention. »

Benoît rougit instantanément, son cœur battant la chamade. « Non, s’il vous plaît ! Pas ici, devant tout le monde ! »

Mais ses supplications furent ignorées. L’homme leva la main et, sans autre avertissement, abattit une première claque retentissante sur les fesses de Benoît, par-dessus son maillot de bain rouge. Le son résonna sur la plage, attirant encore plus de curieux.

« Aïe ! » Benoît se tordit, tentant de se dégager, mais l’homme le tenait fermement. La claque avait été puissante, et il sentit une chaleur intense se propager sur ses fesses. Le public autour murmurait, certains avec approbation, d’autres avec un mélange de gêne et de fascination. Une jeune femme, les yeux écarquillés, chuchota à son amie : « Il mérite ce qui lui arrive, non ? »

L’homme continua, chaque claque résonnant avec insistance, marquant une frustration croissante. Benoît, humilié et en douleur, tentait de se retenir de pleurer, mais les larmes commençaient à couler sur ses joues. Ses fesses, déjà rouges sous son maillot, brûlaient intensément. La femme blonde s’approcha, un sourire satisfait aux lèvres. « Il faut qu’il apprenne, n’est-ce pas ? »

L’homme hocha la tête, sans arrêter son rythme. « Oui, il faut qu’il comprenne que ses actions ont des conséquences. »

Benoît, désespéré, tenta de nouveau de se dégager, mais l’homme le maintenait fermement. « S’il vous plaît, arrêtez ! Je vous en prie ! »

Mais ses supplications furent ignorées. Les claques continuaient, chacune plus forte que la précédente, chaque coup marquant une frustration croissante. Le public, maintenant nombreux, observait la scène avec un mélange d’embarras et de fascination. Certaines femmes chuchotaient entre elles, leurs regards oscillant entre compassion et excitation malsaine. Un homme d’âge mûr murmura : « Il va s’en souvenir, de celle-là. »

Soudain, l’homme arrêta, laissant Benoît reprendre son souffle. Mais ce répit fut de courte durée. L’homme attrapa le bord du maillot de bain de Benoît et, d’un geste rapide, le baissa jusqu’aux genoux du jeune homme. Benoît, horrifié, tenta de le remonter, mais l’homme le retint fermement.

« Non, non, s’il vous plaît ! Pas ça ! » supplia Benoît, ses joues rougies par la honte et les larmes.

L’homme ignora ses protestations et reprit les claques, cette fois directement sur les fesses nues de Benoît. La première claque fut encore plus douloureuse, la peau exposée étant plus sensible. Benoît poussa un cri étouffé, ses mains se crispant sur le sable. Le son de la claque résonna sur la plage, et le public retint son souffle. Une femme d’âge mûr, les bras croisés, déclara : « Il avait besoin de ça. Il ne respecte rien. »

Les claques continuaient, chacune laissant une marque rouge sur les fesses de Benoît. Il se tordait, tentant de se dégager, mais l’homme le tenait fermement. Ses fesses, déjà rouges et douloureuses, brûlaient maintenant intensément. Le sable chaud sous ses mains ne faisait qu’ajouter à son inconfort. Il sentait les regards des gens sur lui, leurs murmures comme des couteaux dans son dos.

Le public était maintenant divisé. Certains détournaient les yeux, incapables de supporter la scène. D’autres, en particulier les femmes, observaient avec un mélange de gêne et d’excitation. Une jeune femme, les joues rougies, chuchota à son amie : « Il a de belles fesses, quand même. »

Au bout d’un moment, l’homme s’arrêta enfin, laissant Benoît reprendre son souffle. Le jeune homme, humilié et en larmes, tenta de se relever, mais ses jambes tremblaient trop. L’homme le lâcha enfin, et Benoît tomba sur le sable, ses fesses en feu. Il sentait chaque mouvement comme une torture, la douleur pulsant dans ses membres.

Le public se dispersa lentement, certains jetant des regards compatissants, d’autres avec un sourire satisfait. Benoît, toujours sur le sable, tenta de remonter son maillot de bain et son jean, mais ses mains tremblaient trop. La honte l’envahissait, et il se sentait comme un animal traqué, exposé aux yeux de tous.

L’homme se pencha vers lui, son expression toujours aussi sévère. « J’espère que tu as appris ta leçon, jeune homme. La prochaine fois, tu feras attention. »

Benoît, les larmes aux yeux, hocha la tête, incapable de parler. Sa gorge était serrée, et il se sentait complètement brisé.

L’homme se releva et s’éloigna, rejoignant sa famille. Benoît, toujours sur le sable, se sentait humilié et en douleur. Il se releva enfin, ses fesses brûlant intensément à chaque mouvement. Le moindre frottement de son maillot de bain contre sa peau était une agonie.

Alors qu’il s’éloignait de la plage, il entendit des murmures derrière lui. Une jeune femme, les yeux brillants, chuchota à son amie : « Il a de belles fesses, quand même. »

Benoît, rougissant encore plus, accéléra le pas, souhaitant seulement disparaître. La plage, autrefois un lieu de plaisir, était maintenant un souvenir d’humiliation. Il se demanda combien de temps ses fesses resteraient marquées, et s’il pourrait un jour oublier cette punition publique.


Mais alors qu’il s’éloignait, il sentit une main se poser sur son épaule. Il se retourna, prêt à affronter un nouveau confrontateur, mais ce n’était qu’une jeune femme, les yeux remplis de compassion.

« Ça va ? » demanda-t-elle doucement.

Benoît, surpris, hocha la tête, incapable de parler. Sa voix était cassée, et il se sentait comme un enfant perdu.

Elle lui sourit, un sourire chaleureux. « Tu sais, tout le monde fait des erreurs. L’important, c’est d’apprendre de ses erreurs. »

Benoît la regarda, ses yeux remplis de gratitude. Peut-être qu’il y avait encore de l’espoir, après tout. Mais la douleur dans ses fesses et la honte dans son cœur ne disparaîtraient pas si facilement.

Alors qu’il s’éloignait, il ne pouvait s’empêcher de se demander ce qui l’attendait la prochaine fois qu’il oserait perturber la tranquillité de la plage. La fessée avait été longue et douloureuse, et il savait qu’il ne l’oublierait pas de sitôt. Chaque pas lui rappelait la brûlure dans ses fesses, chaque regard des passants lui rappelait son humiliation.

La scène restait gravée dans son esprit, les claques résonnant encore dans ses oreilles, la douleur dans ses fesses lui rappelant à chaque pas qu’il avait appris une leçon qu’il n’oublierait jamais. Mais alors qu’il disparaissait dans la foule, la question restait en suspens : que lui réservait l’avenir ?

mercredi 15 septembre 2021

Ces dames aux mains fermes par Ramina

 CES DAMES AUX MAINS FERMES

LE CUISANT WEEK-END DE ROBIN EN FAMILLE.

Chapitre 2 : Patricia, une sœur sévère.






–  « Non mais Robin, tu as vu l’heure ? Tu viens d’où? s’emporte immédiatement Gladys, la poitrine gonflée de colère qui n‘avait pourtant pas besoin de ça pour s‘émanciper de son décolleté. Comme d’habitude, elle en rajoute un peu, histoire d’aggraver la situation et justifier la sévérité de la correction dont elle a l’intention de lui gratifier le derrière. 

– «  Ta sœur et moi, on en étaient même à se demander si tu avais l’intention de rentrer! » Ironise t-elle.

– Mais...mais  maman, j’étais avec Gérôme. On discutait et …et … je n’ai pas fait attention à l’heure...j’ai raté mon bus!

– Mince alors, mon pauvre chéri, tu as raté ton bus ! Tu n’as vraiment pas de chance!

– Ben non…

– Tu te fiches de moi là, hein ?

– Euh…Non maman, je te jure! 

– Oui, parce que contrairement à ce que supposait ta sœur tout à l’heure, tu ne pouvais pas être avec Gérôme. Je sais, qu’en ce moment il est en retenue tous les Week-End ! Alors ne nous racontes pas d’histoire ! »


Patricia qui ne manifeste aucun scrupule à l‘enfoncer un peu plus son frère dans son mensonge, surenchérit.


– « Surtout que de Ste Marie à ici, il y a un bus tous les quart d‘heure ! »


 Robin, bafouille. Il sait que ni sa sœur, et encore moins sa mère, ne vont lui épargner l’inévitable fessée prévue en cas de désobéissance aux règles de ponctualité de la maison. Le ton autoritaire de sa mère le tire de sa brève réflexion sur l’avenir immédiat de son postérieur.


– «  Tu m’écoutes Robin! Tu viens de désobéir et de mentir effrontément pour essayer de justifier ta mauvaise conduite. Tu sais ce qui t’attend? 

– Euuuuh oui… maman… Je sais.

– Bien, alors dis le moi,  Je t’écoute !

– Euuuh… une fessée maman.

– Exact, une fessée ! Mais encore... une simple fessée? 

– Non maman pas une simple fessée… Une bonne fessée!... Maman! 

– Plutôt oui ! Et une bonne fessée comment? 

– Une bonne fessée déculottée maman!

– Parfait, ça, au moins, tu l’as retenu. Alors ne perdons pas de temps. Amène moi tes fesses pour que je les déculotte. Je vais te flanquer les deux fessées que tu reconnais avoir méritées ! »


Robin regarde sa mère, l’air ahuri. Son cartable lui en tombe des mains. Il le ramasse par réflexe sans se rendre compte qu’il s’est ouvert tout seul. Quelques livres et une enveloppe restent par terre.  


– « Comment ça deux fessées? Pourquoi deux maman ?

– Ah parce que maintenant tu discutes ! »


Gladys fait semblant de se radoucir et reprend sur un ton faussement affectueux. 


– « Mais mon chéri, c’est très simple, dois je encore te rappeler les closes du contrat de discipline pour les garçons désobéissants, avec le  tarif des fessées en vigueur ? Oui ? »


 Robin ne répond pas. Il sait de toute façon que, quoi qu’il dise, sa mère inflexible, va lui flanquer la raclée qu’il a méritée. Et ça ne va pas traîner. Dans quelques secondes, il va se retrouver, déculotté, à plat ventre sur ses genoux, le derrière tressautant sous une magistrale fessée. Car pour Gladys, une petite ou une moyenne fessée, ça n’existe pas. Au catalogue des punitions ne figure qu’un seul modèle, mais pas n’importe lequel. Le modèle grand format. La fessée magistrale. 

Plutôt préoccupé de l’avenir immédiat de son postérieur, Robin enregistre à peine l’énumération des sanctions que sa mère lui rappelle avec insistance et une pointe de jubilation dans la voix. 


– « Tu sais comment ça fonctionne Robin. Au moindre écart de comportement, c’est la fessée ! Alors le calcul n’est pas difficile à faire, deux écarts, deux fessées! Une pour te punir de ton retard  inadmissible et la deuxième pour ton mensonge grossier. Le compte y est mon cher ! »

– Robin! Tu écoutes ce que te dit maman? » 

Le rappelle à l’ordre sa sœur que la main commence à démanger. Elle caresse d‘un regard enveloppant, la volumineuse paire de fesses qui gonfle le fond de son pantalon. 

-- « ll n’a pas l’air, dit sa mère, c’est parle à mes fesses ma tête est malade !

– Et bien on va lui parler à ses fesses ! »


Planté  dans le vestibule, immobile, le cartable à main, Robin semble tétanisé dans une situation qui n‘est pourtant pas nouvelle pour lui. Les menaces de fessées suivies d’exécution immédiate sont habituelles, ça se produit régulièrement.  Malgré cela, il sent ses fesses trembler au fond de son slip. Maman n’a pas l’habitude d’y aller de main morte. Il sait qu’il va encore s’en prendre des sévères, c’est sûr. Une semaine de punitions à Ste Marie lui ont fait un peu oublier le contexte familial. Conscient, mais souvent trop tard, de sa tendance chronique à enfreindre les consignes, il ne s’attendait pas un accueil triomphal. De là à se ramasser deux fessées à peine arrivé... 

Patricia reprend l’initiative et le sort de sa torpeur:


–  «Tu n’as pas bien entendu Robin, maman t’a demandé tes fesses! Et quand maman demande tes fesses, tu sais qu‘elle n‘aime pas attendre, alors tu les lui amène et en vitesse ! »


Elle le saisit par le col de sa veste et le secoue sans ménagement en imitant avec humour les annonces d’informations diffusées dans certains espaces publics. 


-- « La maman du petit Robin attend ses fesses sur ses genoux pour lui flanquer sa raclée! 

Claironne t-elle d’une voix forte. Gladys, magnanime, s’en amuse et lui concède la première salve.

– « Puisque tu a l’air d’en avoir tellement envie, Patricia, à toi l’honneur de la première fessée. Je te laisse la direction de la cérémonie d’ouverture des festivités.

– Merci maman, avec plaisir!  »

Elle enchaîne aussitôt.

– « Baisse ton pantalon Robin et viens ici! »


Robin sait qu’il n’a pas le choix. Il s’exécute immédiatement, déboucle sa ceinture, défait sa braguette  et, le pantalon sur les chevilles, s‘approche de sa sœur. Les jambes entravées, il se déplace d’une démarche chaotique. Il a beau avoir l’habitude, être obligé à vingt et un ans de s’exhiber le derrière à l’air et le sexe en évidence devant sa mère et sa sœur...Il se sent humilié, ridicule. Elles s’en amusent ouvertement lorsqu’il essaye de le cacher derrière ses mains plaquées dessus. 


Patricia ne perd pas de temps. Elle le saisit  par les cheveux et, résolue à lui flanquer sa fessée sur ses genoux, elle cherche du regard une place sur la banquette, Mais le siège est encombré par les paquets déposés  par sa mère. Elle décide alors de le corriger dans une autre position. Ses gestes sont précis, rapides, efficaces. Elle le courbe vers le sol, lui coince la  tête entre ses cuisses et, le ceinturant de son bras gauche passé sous son ventre, le soulève pour le positionner, fesses en l’air, tendues à sa main. Ses pieds ne touchent plus le sol  Robin  gémit sourdement. Il couine et transpire déjà, les joues irritées par le frottement des bas nylon de sa sœur. 


– « Excellente idée ma chérie, belle position! s’exclame Gladys On n’y pense pas assez souvent. 

– Oui, je la trouve très pratique. Les fesses sont bien déployées et à égale distance de la main. De plus Il ne peut pas se les protéger pendant sa correction »

Robin commence aussitôt à supplier en criant.  

– «  Pitié maman ! Patricia! Pas déjà la fessée ! Je ne le ferai plus, je rentrerai à l’heure! Promis juré ! » 

Patricia ne se préoccupe pas le moins du monde de ses protestations. Elle le maintient solidement en position sa main gauche passée sous son ventre et commence à le déculotter de son autre main. Celle qui va claquer . 

Gladys toujours attentive au moindre détail, réagit la première. 


– « Mais dis moi Robin!  s’exclame t-elle d’un ton faussement étonné , tu n’aurais pas déjà reçu une correction aujourd’hui. Tu as des marque rouges sur les fesses  !  Sûrement une fessée déculottée à la main, et bien appuyée même... on distingue encore les traces de doigts. »

– Oui maman !  répond la voix étouffée de Robin d’entre les cuisses serrées de sa sœur. Il ne peut manifestement pas nier l’évidence...C’est sœur Marie-Odette avant de partir. J’avais oublié de prendre mon carnet de correspondance.  

– Tu m‘en diras tant!  Encore une fessée bien méritée. Ta sœur va se charger de la suivante. Aller ma chérie, il est à toi !  Mets lui en une sévère ! » 



Patricia resserre les cuisses autour de son cou pour le maintenir bien en place pendant qu‘elle le déculotte. La mise en positon du derrière à corriger et le déculottage constituent les moments les plus excitants en préparation de la fessée qui s'en suit. Elle passe ses doigts sous la ceinture du slip qu’elle fait glisser avec dextérité sur les courbes volumineuses de la croupe tendue. Robin commence déjà à gémir. Il sent l’air frais caresser ses fesses au fur et à mesure que sa soeur les dégage du nylon en faisant sèchement l’élastique du slip sur ses cuisses. Elle échange un regard complice avec sa mère qui la gratifie d’un sourire d'encouragement et démarre, à toutes volées, une retentissante fessée qu'elle administre avec un plaisir manifeste. . Robin pousse aussitôt des petits cris de douleur, sous les commentaires ironiques de sa soeur.


– « Oh le pauvre chéri, je viens à peine de commencer qu’il se met déjà à pleurnicher. Ça promet pour la suite ! »


Indifférente à ses plaintes Patricia fait déjà preuve d’une bonne expérience et trouve rapidement la bonne cadence., Consciencieuse de remplir avec efficacité sa noble mission punitive, elle  s’applique à bien ajuster les claques en puissants allers et retours sur chaque fesse. Elle fesse fort, sec et serré et ça claque dur. Soumis immédiatement à rude épreuve, Robin clame sa douleur au fur et à mesure de la montée en température de ses fesses, à peine remises de la cuisante déculotté que  sœur Marie-Odette lui a flanquée au moment de sa sortie de l’école. 


– « C'est bien ma chérie, mais n'hésite pas à taper encore plus fort, il a les fesses dures !!  Encourage Gladys qui suit attentivement le déroulement de la punition. Ne t’occupes pas de ses pleurnicheries, quand la voix monte comme ça, c’est que la fessée est bonne.

– Je sais maman, je sais,  ce n’est pas la première que je lui claque au derrière! »


Patricia fesse dur. Elle veut montrer à sa mère, l'autorité qu'elle exerce sur son frère et la manière dont elle est maintenant capable de le corriger. La position qu'elle a choisi est aussi spectaculaire qu'efficace.  Les fesses déculottées du puni sont bien présentées, pleinement déployées, placées à la même distance de la main, ce qui permet à chacune d’elle de bénéficier d’un traitement identique.  Elles rougissent et chauffent en cadence sous les allers et retours équitablement répartis.

 Patricia se régale et s’applique à bien fesser. Elle entend profiter pleinement du sentiment de possession qu’elle ressent à contempler les fesses rougeoyantes de son frère, coincées entre ses cuisses, et les voir tressauter en cadence au rythme de la fessée qu’elle lui administre. Robin, malgré sa taille d’adulte, n’est pas très lourd. Elle lui  maintient les fesses en l’air sans difficulté et lui flanque sa déculottée avec une énergie propre à rassurer Gladys sur ses capacité à fesser avec la sévérité nécessaire. 


Stimulée par sa mère, la jeune femme ne semble pas disposée à lâcher sa proie, mais plutôt décidée à faire durer la fessée. Elle accentue la pression de ses cuisses, gainées de nylon qu'elle frotte en rythme sur les joues de sa victime pour le maintenir bien en place, et augmente progressivement la cadence. Robin reçoit immédiatement le changement de rythme en ployant les reins sous la puissance des claques. Il sait qu’il finira par céder et éclater en sanglots, mais essaye malgré tout d’en retarder l’échéance en retenant ses larmes. Dernier moment d’une dérisoire résistance pour conserver un semblant de dignité sous la main ferme qui lui incendie le derrière. Agrippé aux fortes cuisses de sa soeur, la tête coincée entre les deux, solidement maintenu en position, il saute d’un pied sur l’autre en tortillant ses grosses fesses dans une vaine tentative d’amortir les claques qui s’abattent dessus en rafales. Il rebondit sur place, en suppliant, appelant à une clémence que sa charmante soeur n’a aucunement l’intention de lui accorder. 


–«  Ahhhh Patricia, s’il te plait, pas si dure la fessée ! Tu tapes trop fort, de plus en plus fort ! Ça fait mal ! »


Indifférente à ses supplications, elle prend ça plutôt comme un compliment. Les dents serrées par l‘effort, la main ferme, bien enveloppante pour claquer un maximum de surface de chaire à chaque fois, elle se concentre sur l’intensité de sa frappe. 

Et Robin s’aplatit en pliant les jambes, les relève l’une après l’autre, exécutant une frénétique danse des fesses, au risque de craquer les élastiques de son slip tendu en travers de ses cuisses. Malgré ses contorsions désespérées, il ne peut soustraire un centimètre carré de chaire  aux magistrales claquées qui continuent inlassablement à lui cuire le derrière. Un derrière sévèrement corrigé qui irradie maintenant le vestibule d’un resplendissant rouge écarlate uniformément réparti sur toute sa surface. 


– Mais j’espère bien que ça fait mal! reprend Patricia qui poursuit avec ténacité le claquage intensif de la splendide paire de fesses qu‘elle a sous la main. Et elle en profite, sans états d’âme, trop heureuse de l‘avoir à son entière disposition. ,

–« Les fessées sont faites pour ça mon cher! Faire mal au derrière sinon ce ne sont plus des punitions » 

 Elle est obligée d’élever la voix pour se faire comprendre tant le niveau sonore de la fessée est assourdissant.

 

Gladys n’en perd pas une miette et exprime sa satisfaction en ponctuant chaque claque d’un hochement de tête approbateur. Ferme, rapide, cuisante, là deuxième main qu’elle a si bien initiée montre qu'elle est prête à entrer en service pour corriger les messieurs indisciplinés et mal éduqués qui font partie, en nombre, de leur entourage. . 


Le dialogue haché entre le frère et la sœur se poursuit, en parti couvert par le claquement retentissant du fessier sévèrement corrigé.  

– « Oui, mais… mais… quand même. Trépigne Robin qui commence à avoir du mal à respirer, la tête toujours coincée entre les cuisses de sa sœur, les joues en feu sous le frottement de ses bas nylon.  Ça… ça cuit ! Pitié! Pitié arrête ! »


Patricia le corrige à l’énergie et la fessée ne faiblit pas . C’est un vaste incendie qui embrase toute la surface de ses fesses du bas des reins  jusqu’à l’élastique du slip, tendu sur le haut des cuisses.

   –  «  Robin, ton cirque ça suffit ! Tu n’es vraiment pas en situation de réclamer quoi que ce soit. »

 Intervient soudain Gladys exaspérée par les protestations intempestives de son fils. 

– « Cesse de hurler et de gigoter comme ça! Tu acceptes ta fessée, un point c’est tout ! Et arrête de tortiller des fesses sans arrêt. Contente toi de les garder en place! Comment veux tu que ta sœur te fesse correctement  jusqu’au bout ! »

– Ne t’inquiète pas maman, je maîtrise la situation. il va se prendre sa raclée jusqu’au bout ! Et aussi longtemps que je le déciderai.

– C'est bien ma chérie. Mais à l’entendre réagir comme il le fait, je n’ai pas l’impression qu’il en tire vraiment la leçon. Ce garçon reste insolent et incorrigible. Tu n’es pas assez sévère avec lui. Il faut que tu fesses avec davantage d‘énergie, qu‘il apprenne à ne pas protester quand il reçoit ses fessées. Rien que pour ça il en mérite une autre. Je la lui mettrai tout à l‘heure quand on abordera la question de ses résultats scolaires »


Stimulée par sa mère Patricia ne se fait pas prier. Elle reprend la fessée de plus belle, en augmentant la cadence et la puissance des claques avec un enthousiasme clairement affiché. Robin se remet aussitôt à hurler et se débat comme un beau diable en tortillant frénétiquement son postérieur en fusion. Il bouge tellement que Patricia commence à avoir du mal à le tenir en place pour continuer à lui ajuster les claques avec précision. 


– « Bon ça suffit, passe moi ses fesses, il m’énerve!  S’écrie Gladys furieuse. Je vais lui ôter l’envie de faire le malin.

– Comme tu veux maman. Mais tu sais,  je peux continuer. C‘est sûr, tu as plus l’habitude que moi et tu tapes beaucoup plus fort. Pour autant, je ne suis pas mécontente de ma fessée, je lui en ai quand même claqué une bonne!

– Mais ma chérie, je ne dis pas le contraire. C'est une excellent fessée.  Bien fournie, cuisante et claquante, comme je les aime et comme je t’ai appris à les donner. Je ne fais pas beaucoup mieux tu sais. D’ailleurs Il suffit de regarder la couleur de ses fesses… Maintenant comme il continue à faire l’intéressant, il est temps que je le reprenne moi-même en mains. Tu peux le lâcher. » 


Patricia desserre les jambe, libérant son frère, toujours empêtré dans son pantalon et son slip. Il s’écroule à genoux à ses pieds en gémissant. Ses joues apparaissent marquées de chaque côté par l’empreinte de ses boucles de jarretelles, Elles sont brillantes de larmes et presque aussi rouges que ses fesses en pleine cuisson. Instinctivement, sans réfléchir, il se les prend à deux mains pour essayer d’en atténuer un tant soit peu l’incendie. L'inconscient 

Sa mère le fusille aussitôt du regard

– « Mais qu’est ce que tu fais Robin? S’écrie t-elle. Qui t’as autorisé à te frotter les fesses, viens ici ! Tout de suite!

– Mais maman, tu ne te rends pas compte, ça fait mal ! Patricia claque dur, j’ai les fesses en feu !

– C’est la meilleure celle là… je ne me rends pas compte. Viens ici je te dis ! »


Il y avait des moment ou Gladys se demandait avec inquiétude, si son fils, malgré ses vingt et un ans, faisait semblant d’être imbécile ou s’il l’était vraiment. A moins qu’il ne jouait simplement la comédie pour mieux se moquer du monde. Après une telle fessée il trouvait encore le moyen de se distinguer avec des remarques déplacées et en ignorant les consignes. 


samedi 28 août 2021

Le cuisant week-end de Robin en Famille - Chapitre 1

 LE CUISANT WEEK-END DE ROBIN EN FAMILLE

Cette série nous est proposé par Ramina que je remercie pour sa participation.

Chapitre 1 :  Une bonne discipline domestique

Gladys attendit que le chauffeur du taxi vienne lui ouvrir la portière pour 
sortir. Elle ne descendit pas tout de suite et le laissa attendre debout 
sur le trottoir, le temps de dire au revoir à son amie restée à l’intérieur 
pour se faire reconduire chez elle.
– « Ma chérie je te laisse, on se voit samedi pour le dîner, comme prévu!  
–   Entendu. A Samedi... Je n‘amène rien de particulier ? » demande Edwige 
après une chaleureuse embrassade .
–  Non, inutile d’apporter quoi que ce soit, tu sais bien, il y a tout ce 
qu’il faut à la maison! A moins que tu préfères utiliser tes instruments 
habituels. C’est comme tu veux, mais n’oublie pas t’amener ton mari, 
évidemment! »
. Les deux femmes échangèrent un clin d’œil complice et éclatèrent de rire 
en même temps.
- « Oh ça ne risque pas! Nous serons là pour dix neuf heures. J‘ai hâte d‘y 
être » répondit Edwige en se tortillant d’impatience sur la banquette au 
milieu de ses paquets.
Gladys descendit de la voiture et, sans même regarder le chauffeur, lui 
glissa un billet de dix euros qu‘elle lui tendit négligemment entre deux 
doigt gantés de dentelle noire. Elle ne pris pas la peine de l’entendre la 
remercier, claquant déjà des talons aiguille vers la porte d’entrée de sa 
maison. Ce n’était pas du mépris, ni de l’arrogance mais un inclinaison 
naturelle à dominer ses sujets… de préférence masculins. Elle traversa 
l’allée du jardin d’une démarche onduleuse, balançant dans chaque main les 
grands sacs imprimés aux marques de son shopping de la journée. Elle gravit 
d’un pas alerte les trois marches du perron. La porte n’était pas fermée à 
clé. Il était plus de dix neuf heure,t il y avait au moins quelqu’un de 
rentré. Le respect des horaires fixés n’était pas la moindre de ses 
exigences. Ce ne pouvait être que Patricia. A l’inverse de son fils et de 
son mari, sa fille faisait toujours preuve d‘une irréprochable ponctualité.

Gladys était une belle femme plantureuse, de celle que l’on dit dans la 
fleur de l‘âge, proche d’une cinquantaine, triomphante. Femme de caractère, 
au physique avantageux, elle portait haut, dominant, et dégageait une 
impression d’autorité naturelle qui inspirait d’emblée le respect. 
Héritière d’une famille relativement aisée, fin de branche d’une 
aristocratie militaire tombée en désuétude et en perte de notabilité, elle 
avait subit une éducation rigoureuse sous la férule d’un père 
intransigeant . C’est probablement par phénomène de compensation qu’elle 
avait décidé de renverser ce rapport de force à l’avantage du sexe prétendu 
faible. La formule ridicule était loin de correspondre à sa personnalité.et 
encore moins en rapport avec son tempérament  de femme forte. Elle avait 
transmis à sa fille, son sens naturel de l’autorité qu’elle exerçait 
notamment sur son fils Robin et Edouard, son second mari, soumis 
quotidiennement à une stricte et sévère discipline domestique. Une seule 
méthode, radicale mais efficace, l‘emploi systématique de la fessée, 
justifié par des raisons éducatives d’épanouissement du corps et de 
l’esprit.

Sa fille, Patricia, vingt quatre ans passés, vivait toujours sous le même 
toit, le temps de terminer ses études. La jeune femme cohabitait sans 
problème et disposait de son emploi du temps comme elle le voulait tout en 
respectant les horaires et les contrainte élémentaires qu’imposait la vie 
de famille. Consciencieusement initiée, par l’expérience de sa mère, aux 
techniques bienfaisantes de la fessée , elle se révélait une correctrice 
acharnée naturellement dotée d’une belle et cuisante force de frappe. Elle 
fessait presque aussi bien et aussi fort, que sa mère. Il ne lui manquait 
encore que tenir la distance sur les fessées longue durée. Simple question 
de technique qu’elle s’appliquait à améliorer par une pratique régulière.

De trois ans plus jeune, Robin son fils, nettement moins concerné que sa 
sœur, par la réalité trop contraignante du travail scolaire, était 
pensionnaire à Sainte Marie. Il ne rentrait que le Vendredi pour les 
Week-end. Son niveau de résultats stabilisé en dessous de la ligne de 
flottaison, avec pour conséquence fatale une persistance à cumuler les 
redoublements, avait nécessité une inscription d’urgence dans cette 
institution, tenue par des religieuses. Sainte Marie était la seule école 
qui avait accepté de prendre en charge sa scolarité défaillante. Ce fut à 
la plus grandes satisfactions de sa mère qui y trouva enfin le mode 
d‘enseignement idéal pour son fils. Celle-ci, adepte inconditionnelle de la 
fessée comme méthode d’éducation active, apprécia d’emblée les pratiques 
disciplinaires particulièrement sévères de l’établissement. Elle les 
estimait, à juste titre, comme le complément d’autorité indispensable aux 
règles de conduite qu’elle imposait elle même à la maison pour venir à bout 
du  « cas Robin »

Qui aime bien, châtie bien!  Robin n’avait pas à se plaindre de ce côté là, 
il était très aimé et par conséquent bien châtié.... par sa mère, sa sœur, 
des sœurs de l’institution. Elles s’appliquaient toutes, avec conscience, à 
lui démontrer comment de cuisantes fessées régulièrement administrées, 
contribuent à la réussite d’une bonne éducation. Il n’avait d’autre choix 
que d’y soumettre ses fesses, sans condition.  Et ces Dames sévères n’y 
allaient pas de main morte . A la moindre: désobéissance, au plus petit 
écart de comportement, une note insuffisante, une tentative de rébellion,,, 
c’était la fessée! Déculottée, immédiate, sur le champ. Toute contestation 
se révélait à haut risque et immédiatement réprimée sous le claquement des 
fessées et les brusques montées en chaleur de son postérieur. Le solide 
fessier bien ciblé de Robin restait rarement inactif et à température 
normale, à l’école comme à la maison. Devant souvent reconnaître avoir 
mérité ses corrections, le jeune homme savait de toute façon qu’il 
disposait de très peu de possibilités d’argumenter dans le sens contraire, 
sous peine d’inévitables déculottées en supplément des tarifs en vigueur.

  Mais Robin n’était pas le seul à bénéficier de ce cuisant traitement et à 
devoir soumettre régulièrement ses fesses aux exigences disciplinaires d’un 
entourage familial féminin qui lui laissait peu de moment de répit
Edouard, le deuxième mari de Gladys, donc le beau- père, cadre respecté en 
entreprise, perdait une partie de sa dignité et toute son autorité une fois 
franchi le seuil de la maison. Lui aussi, sous l’emprise de ces femmes 
autoritaires, était contraint d’accepter les règles de fonctionnement d’une 
vie de famille organisée, parfaitement hiérarchisée, pour le plus grand 
bien, disaient-elles, de l’éducation de chacun. Celle de Robin, à 
construire et mettre en place avant qu’il ne soit trop tard. Et celle du 
beaux père, adulte mal dégrossi bourré de mauvaises habitudes, entièrement 
à revoir à défaut d’en avoir reçu une convenable.
« Cent fois sur les fessiers remettez votre ouvrage, polissez les sans 
cesse et les repolissez… »
Ces dames aux main fermes, s’y employaient quotidiennement en adaptant 
leurs convictions à ces vers détournés de Boileau. Cuisant programme!

  Gladys entra et claqua la porte derrière elle.  Elle se débarrassa en 
déposant sacs, gants et manteau sur la banquette du vestibule. De ses deux 
mains, elle lissa avec soin la jupe de son tailleur sur ses hanches, et   
ses fesses opulentes, puis, se dirigea aussitôt vers l’escalier en claquant 
des hauts talons sur le carrelage. Elle aimait signaler ses déplacements   
par ce claquement menaçant, qui annonçait avec elle, l’arrivée de la 
fessée. Ça l ‘amusait beaucoup de savoir que le simple bruit de son pas 
décidé pouvait provoquer d’incontrôlables tremblement de fesses au fond 
d’un slip. C’était ça l’exercice de l’autorité. Inspirer obéissance et 
respect sous la menace permanente de la fessée.  Des fessées qui pouvaient   
tomber n’importe où, à n’importe quel moment, sous n’importe quel prétexte. 
Parfois sans raison particulière sinon celle d’une fessée d'entretien 
destinée à entretenir la capacité d’endurance des derrières.
La main sur la boule de l'escalier elle lève la tête en direction des 
chambres.
  « Tu es là ma chérie, c’est maman... Je viens de rentrer! »
  Accoudée à la rampe dans l’attente d’une réponse, elle lève une jambe 
l’une après l’autre pour vérifier l’alignement de la couture de ses bas sur 
ses mollets,
La voix claire de Patricia répond de l’intérieur de sa chambre.
« Oui, maman, je suis là, je descends! »
Un bruit alerte de cavalcade se fait entendre, rapide, sur les marches de 
l‘escalier Les deux femmes s’embrassent chaleureusement.  Patricia 
ressemblait traits pour traits à sa mère. Grande, blonde au physique 
impressionnant, dotée d’un fort tempérament, elle possédait toutes les 
qualité physiques et mentales d’une belle femme autoritaire. Patiemment 
initiée par sa mère, elle avait acquis une solide expérience de la fessée 
qui inspirait la crainte et imposait le respect à la gens masculine.
  «  Dis donc tu en as fait des achats! » S’exclame t-elle en voyants les 
sacs sur la banquette.
–  Oui, tu sais... quelques petites envies, comme ça ! Un peu de lingerie 
chez Madame de Blagnac, des slips à fessée pour les garçons, mais surtout, 
quelque chose qui va t’intéresser, pour joindre l’utile à l’agréable. »
Elles sort d’un sac un paquet assez long et étroit et l’agita avec un grand 
sourire sous les yeux de sa fille.
« Devine chérie... Tu vas être contente. 
« Un martinet ! Répond celle ci, ravie d‘avoir trouvé tout de suite en 
voyant le format du paquet.
– Oui, un martinet. Un gros, qu’on a bien en main, avec de belles lanières 
bien cinglantes qui devraient faire un malheur sur les fesses de nos petits 
chéris » S’enthousiasme Gladys.
Elle le sort de son emballage pour en faire apprécier le manche cannelé, 
assurant une solide prise en main, et les épaisses lanières de cuir 
luisant. Superbe et Impressionnant.
  « Regarde le travail du cuir, la souplesse des lanières et cette belle 
finition ! Avec un tel engin, les fessées, vont claquer sec! »
Fascinée par le redoutable instrument de discipline, Patricia s’en empare à 
son tour, en caresse le manche avec gourmandise et le soupèse pour en 
vérifier la fermeté de prise en main, Lentement, elle en fait glisser les 
longues lanières sur la paume de sa main. La sensation du cuir est agréable,
  « Huuuuum comme tu dis maman, belles fessées, bien cuisantes en 
perspective!.. Dit elle d’un air rêveur. Je connais deux paires de fesses 
qu’on n’a pas fini de faire danser avec un pareil instrument. 
– Et elles en ont bien besoin, vu le comportement de leurs propriétaires.
– Mais on en avait déjà un qui cinglait très bien. Il est encore très 
efficace. Je m’en suis servi ce matin pour mettre sa fessée à Edouard, et 
je peut t’assurer qu’il est parti au bureau les fesses bien rouges et bien 
marquées dans le slip! » 
– C’est vrai, mais on les utilise tellement qu’ils s’usent très vite. Ça 
s’entend au son du claquement. Quand ça commence à cingler moins fort il 
faut en changer. Celui là est plus solide il devrait durer plus longtemps. 
Même si leurs fesses deviennent de plus en plus endurantes à force de cuire 
sous les fessées. »
–  Il faut dire aussi maman que tu tapes tellement fort… »
– Oui je fesse fort, évidemment!  Pour réussir une fessée il faut taper 
fort, cela va de soi. Toujours fort, très fort même ! Je préfère renouveler 
les instruments de discipline quand il le faut plutôt que fesser moins fort 
pour les garder en bon état plus longtemps. Un martinet c’est fait pour 
servir! C’est fait pour cingler les fesses, pas pour rester accroché au mur.
– Je sais maman, je sais. Un martinet c’est fait pour fesser. »
  Gladys contempla distraitement le dos de ses mains et fit semblant de 
vérifier la tenue de son vernis à ongle en soulevant sa lourde poitrine 
d’un profond soupir de lassitude ,trop appuyé pour être vrai.
  « Ah que c’est dur d’inculquer des notions de discipline à ses enfants ! ».
Puis, elle changea brusquement de sujet.
  « Mais dis moi, tu es toute seule? Demanda t-elle.  Robin n’est pas encore 
rentré, Edouard non plus? »
Avant d’obtenir une réponse, elle l’ entraîna avec elle vers le salon, ou 
elles s’assirent toutes les deux, côte à côte, dans le canapé. Devant elles 
les deux tabourets à fessée trônaient, en attente, sur la surface carrelée, 
au milieu de la pièce. Ils n’allaient pas attendre longtemps...
– « Alors comme ça aucun des deux n’est rentré?
– Non maman, à part moi il n’y a personne..
– Ces deux là sont vraiment incorrigibles. On ne peut pas dire, tel père 
tel fils ils ne sont même pas parents! Incapables de respecter les horaires 
et une vie de famille normale! Il est presque huit heures moins le quart. 
Ton beau père doit traîner encore quelque part, dans un bar, quant à Robin, 
il devrait être là depuis longtemps! Il sort de Ste marie à dix huit heures 
et il n‘a que vingt minutes de Bus.
– Il est peut être passé voir un ami. Il est souvent avec Axel .
–  Axel ! Parlons en d’Axel Encore un bon celui là! Toujours à traîner. 
Robin ferait bien de mieux ses fréquentations. Non mais tu as vu l’heure 
qu’il est ?
– A mon avis, ça mérite une fessée ! Commente aussitôt Patricia en se 
frottant déjà les mains.
– Je ne te le fais pas dire ma chérie... et pas qu‘une !  Qu’il va 
d’ailleurs se prendre déculotté, le cochon! 

.La sœur, toujours prête à claquer un derrière, et particulièrement celui 
de son frère, saute sur l’occasion.
  «  Tu me laisseras la lui donner alors… S‘il te plait maman! »
Gladys esquisse une moue dubitative en hochant la tête. Patricia sait ce 
qu’elle veut et enchaîne pour convaincre
  « Tu n’arrêtes pas de me dire qu’il ne faut jamais rater une occasion de 
corriger une paire de fesses pour ne pas perdre la main… Alors rends toi 
compte…depuis que Robin est à Ste Marie, je n‘ai pas eu une seule fessée à 
administrer de toute la semaine! C’est toujours toi qui corrige Edouard 
quand il a mérité d’être puni. Sauf ce matin j'ai quand même eu le droit de 
lui en mettre une au martinet. Après ça tu va dire que mes fessées ne sont 
pas assez sévères parce que re que je manque encore de pratique. »
Gladys écoute sa fille avec une pointe de fierté dans le regard. Même 
caractère que sa mère, autoritaire, impétueuse. Comment lui refuser 
l’administration d’une fessée réclamée avec autant de conviction et de 
véhémence.
« D’accord ma chérie...très bien ! Tu vas flanquer sa fessée à ton frère 
pour le punir de son retard inadmissible. Mais  je veux que tu lui en 
mettes une sévère. Il faut le prendre aux fesses dès son arrivée pour le 
mettre tout de suite en condition.
– Fais moi confiance maman, je te garantis qu’il va avoir du mal à se 
reculotter après celle que je vais lui mettre.
– J ‘espère bien! Parce que, autant que je peux le savoir, ses résultats 
scolaires de la semaine et son attitude en général sont tellement 
désastreux qu’il mérite un sérieux recadrage. Et comme il risque de passer 
autant de temps le slip sur les cuisses que les fesses dedans, il n‘aura 
pas trop l’occasion d’avoir du mal à se reculotter !
Patricia lâche un long soupire de satisfaction qui soulève sa forte 
poitrine débordant de son bustier. Après une longue semaine sans fessée, le 
programme de recadrage s’annonçait particulièrement bien venu.
  « Excellent maman, merci!  Tu ne seras pas déçue! Ses fesses non 
plus...fais moi confiance, je vais bien m’en occuper, comme tu m’as appris 
à le faire.
– J’y compte bien ! Il se moque clairement de nous l‘animal. Il n’a même 
pas encore mis les pieds dans la maison qu‘il a déjà une fessée en 
préparation ...avec un retard pareil il la mérite amplement ! »
Emportée par son élan Gladys laisse monter sa colère.
  « Sans compter les fessées que je lui prépare pour sanctionner ses mauvais 
résultats de la semaine et son indiscipline. »
– Mais comment tu sais ça maman? »
– Je suis déjà au courant, c’est tout!  La directrice de Ste Marie m‘a 
envoyé un mail ce matin pour me prévenir au cas où il ne me donnerait pas 
la lettre qu‘elle l’a chargé de me remettre. Il en est bien capable. Les 
fesses n’ont pas fini de lui cuire, c’est moi qui te le dis! »
  Tout en écoutant sa mère qui ne décolérait pas, Patricia jeta 
machinalement un coup d’oeil par la fenêtre.
  « Tiens, le voilà! 
– Et bien, ce n’est pas trop tôt...  Gronda Gladys en se levant du canapé. 
Il peut préparer ses fesses, elles n’ont pas fini de chauffer ce Week-End ! 
– Oui, il arrive même en courant. 
– Oh Il peut toujours courir, ça ne va rien changer à ce qui l’attend. 
Déjà, un comité d’accueil dont il va se souvenir... Et pour couronner le 
tout, ton beau père n’est  toujours pas rentré! Incroyable! Il devient 
urgent de recadrer ce petit monde qui en prend un peu trop à son aise, à 
mon goût. Ma chérie, il va falloir faire claquer les fessées.  Plus fortes, 
plus longues, et plus souvent ! »
Patricia acquiesça avec un sourire entendu. Quand on aime on ne compte pas. 
La perspective d’un renforcement de la discipline à la maison avec, à la 
clé, une distribution plus généreuse de fessées ne pouvait que satisfaire 
son goût immodéré des corrections, initié et entretenu pas sa mère.

Entre un frère de vingt et un ans qui se comportait comme un adolescent 
attardé irresponsable et un beau père égoïste, peu respectueux de son 
entourage familial, elles n’étaient pas trop de deux pour faire respecter 
les règles de vie commune.  Une seule méthode, radicale, la fessée. La 
fessée déculottée, systématiquement administrée au moindre relâchement, 
comme au plus petit écart de comportement.  Mais sur des messieurs aussi 
récalcitrants car multirécidivistes, leur efficacité se révélait souvent de 
courte durée et nécessitait, par conséquent, un renouvellement permanent 
des séances de corrections. C’est ainsi que, les deux hommes se faisaient 
régulièrement déculotter et rougir les fesses à peu près dans toutes les 
pièces de la maison, avec pour les deux femmes, une préférence marquée pour 
les pièces carrelées. Elles amplifiaient le volume sonore des fessées et 
les rendaient encore plus impressionnantes. Le vestibule faisait partie de 
ces endroits, appréciés pour leur qualité de résonance qui mettait en 
valeur le savoureux  claquement des mains fermes de ces Dames sur les 
fesses déculottées de ces Messieurs, Eux, par contre, appréciaient beaucoup 
moins,

Les deux femme étaient campées dans l'entrée, côte à côte, au moment où 
Robin, tout essoufflé, fit brusquement irruption, en ouvrant la porte avec 
précipitation.. Il stoppa net son élan devant sa mère et sa sœur. Elles 
l’attendaient d’une main ferme, les bras croisés sur la poitrine. Au regard 
noir et sévère de sa maman, il comprit instantanément les conséquences d’un 
retard difficilement justifiable.  Ses fesses se crispèrent d’appréhension 
dans son slip. Il savait ce qui les attendait. Comme ci cela  pouvait 
atténuer la colère des deux femmes, Il referma tout doucement la porte avec 
précaution en leur adressant une grimace désolée qui se voulait ressembler 
à une excuse. Ça n’allait pas tarder à chauffer.