jeudi 16 octobre 2025

Bienvenue à Palmora - Partie 3



Benoît Dutal poussa les portes de la Résidence des Deux Cours, son cœur battant à un rythme irrégulier, comme s’il cherchait à s’échapper de sa poitrine. L’air chargé de l’odeur salée de l’océan et le bruissement des palmiers ne parvenaient pas à apaiser la tension qui l’habitait. Son premier jour en tant qu’assistant parlementaire commençait, mais l’humiliation subie dans l’avion, les marques rouges sur sa joue et la brûlure persistante de ses fesses, le rappelaient sans cesse à l’ordre. Il se sentait comme un étranger dans un monde où les règles étaient écrites dans une langue qu’il ne maîtrisait pas encore. La Résidence des Deux Cours, avec ses murs blancs et ses volets bleus, semblait paisible, mais Benoît savait que derrière cette façade se cachait un système hiérarchique rigide, où la discipline était reine. Il avait entendu les avertissements de Monsieur Leblanc, le chauffeur de taxi, sur la sévérité des administrateurs, en particulier Henri Moreau. Mais Benoît n’était pas du genre à se laisser intimider. Il était prêt à se battre pour ses idées, même si cela signifiait affronter les codes et les traditions de l’île.


Il traversa le hall d’entrée, ses pas résonnant sur le sol carrelé, chaque écho semblant accentuer le poids de ses pensées. Madame Girard, une femme d’une cinquantaine d’années aux cheveux gris tirés en chignon serré, l’accueillit avec un sourire bienveillant, mais Benoît perçut une lueur de curiosité dans son regard, comme si elle devinait déjà les épreuves qu’il avait traversées.

« Bienvenue, Monsieur Dutal, dit-elle en lui tendant un plateau de bienvenue. J’espère que votre voyage s’est bien passé. »

Benoît força un sourire, ses doigts effleurant machinalement sa joue encore douloureuse, la peau chaude et irritée sous ses phalanges.

« Merci, Madame Girard. Tout s’est bien passé, répondit-il, évitant son regard, comme si cela pouvait effacer les souvenirs. »

Il prit le plateau, sur lequel reposaient des fruits exotiques et une carafe d’eau fraîche, et se dirigea vers son bureau, une petite pièce lumineuse donnant sur le jardin. Les rayons du soleil filtraient à travers les stores, projetant des motifs dansants sur le sol, mais Benoît ne prêta guère attention à cette beauté. Son esprit était ailleurs, coincé entre la colère et la honte.


Les premières heures de son premier jour furent une succession de découvertes et d’adaptations, mais aussi de regards en coin et de murmures étouffés. Camille Lefèvre, sa collègue, une jeune femme dynamique aux cheveux châtains et aux yeux pétillants, l’accueillit avec enthousiasme, mais Benoît nota une hésitation dans son sourire, comme si elle savait déjà quelque chose.

« Salut, Benoît ! Je suis ravie de te rencontrer enfin. Je vais te montrer les dossiers en cours, tu verras, c’est passionnant. »

Benoît la suivit, essayant de se concentrer sur les explications de Camille, mais son esprit revenait sans cesse à l’incident de l’avion. Il se sentait infantilisé, comme si chaque regard posé sur lui était un jugement silencieux. Les dossiers s’empilaient devant lui, mais ses pensées s’envolaient vers les mains de Moreau, la douleur, la honte.


Camille lui présenta les dossiers avec une précision méthodique, expliquant chaque détail avec une patience infinie. Benoît prenait des notes, essayant de se plonger dans son travail, mais son impertinence naturelle refaisait surface de temps en temps, comme une étincelle qu’il ne pouvait éteindre.

« Tu crois vraiment que ça va changer quelque chose ? demanda-t-il, levant les yeux des papiers, son ton teinté de défi. Ces lois, elles sont tellement... rigides. »

Camille sourit, un peu amusée, un peu agacée, comme si elle lisait en lui une rébellion qu’elle connaissait trop bien.

« Benoît, tu viens d’arriver. Il faut du temps pour comprendre comment les choses fonctionnent ici. Et puis, tu sais, parfois, il faut jouer le jeu avant de pouvoir le changer. »

Il hocha la tête, mais son regard restait sceptique. Il n’était pas du genre à jouer le jeu, surtout quand il sentait que ce jeu était injuste.


La matinée se poursuivit avec une réunion avec la députée Sophie Martin, une femme élégante et autoritaire d’une quarantaine d’années. Benoît s’assit à la table de conférence, son carnet ouvert devant lui, prêt à prendre des notes. Sophie entra, suivie de son assistant, Lucas Dubois, un homme grand et mince aux lunettes cerclées. L’atmosphère se tendit légèrement à leur arrivée, comme si l’air lui-même retenait son souffle.

« Bien, commençons, dit Sophie en s’installant à la tête de la table, son regard balayant la pièce avec une autorité tranquille. Benoît, je compte sur toi pour rédiger un compte-rendu détaillé. »

Benoît acquiesça, son stylo prêt à saisir chaque mot, mais ses mains tremblaient légèrement, trahissant son agitation intérieure. La réunion fut dense, remplie de discussions sur les projets de loi et les stratégies politiques. Benoît écoutait attentivement, mais son esprit divaguait parfois, revenant à l’humiliation subie, à la sensation de la main de Moreau sur sa joue, au bruit des claques sur ses fesses nues.


À midi, Camille l’invita à déjeuner avec le reste de l’équipe. Ils se dirigèrent vers la cantine de la Résidence, une grande salle lumineuse où les conversations animées se mêlaient à l’odeur de plats locaux. Benoît rencontra Élodie Fontaine, une jeune femme aux cheveux bouclés et au rire communicatif, et Lucas, qui semblait plus réservé mais attentif. L’ambiance était détendue, mais Benoît sentait les regards peser sur lui, comme s’il était un spectacle dont on murmurait les détails.

« Alors, Benoît, comment se passe ton premier jour ? demanda Élodie en lui passant un plateau, son sourire un peu trop large pour être naturel. »

Il haussa les épaules, essayant de paraître décontracté, mais ses mots sonnaient faux même à ses propres oreilles.

« Ça va. Beaucoup de choses à apprendre, mais c’est intéressant. »

Lucas intervint, son ton sérieux, presque clinique.

« N’oublie pas, ici, les codes sont importants. Il faut savoir les respecter si tu veux t’intégrer. »

Benoît sentit une pointe d’agacement monter en lui, comme une flamme qui refusait d’être étouffée.

« Je sais, Lucas. Mais parfois, ces codes, ils sont juste là pour maintenir un ordre injuste. »

Un silence gêné s’installa autour de la table, comme si ses mots avaient brisé une illusion fragile. Camille intervint, tentant de désamorcer la tension.

« Allez, on ne va pas parler de ça aujourd’hui. C’est ton premier jour, Benoît, profite ! »


L’après-midi fut tout aussi intense. Benoît prépara un dossier pour une prochaine réunion, ses doigts volant sur le clavier de son ordinateur. Il répondit aux emails des électeurs, essayant de rester professionnel malgré la frustration qui montait en lui. Chaque fois qu’il levait les yeux, il voyait les regards des autres, et il se demandait s’ils savaient, s’ils devinaient ce qui s’était passé dans l’avion. Les murmures dans les couloirs, les sourires en coin, tout semblait lui rappeler son humiliation.


La tension atteignit son paroxysme en fin de journée. Alors que Benoît rangeait ses affaires, prêt à partir, Sophie Martin entra dans son bureau, son visage fermé, comme une tempête annoncée.

« Benoît, un mot, s’il te plaît. »

Il la suivit dans son bureau, son cœur battant plus fort, chaque pas résonnant comme un coup de marteau. Sophie ferma la porte derrière eux et se tourna vers lui, ses yeux perçants comme des lames.

« J’ai entendu parler de ton comportement dans l’avion. Tu sais, ici, on ne tolère pas l’insubordination. Tu es jeune, tu as de l’énergie, mais tu dois apprendre à la canaliser. »

Benoît serra les poings, sentant la colère monter en lui, une colère qui brûlait comme un feu mal éteint.

« Je n’ai rien fait de mal ! C’est Moreau qui a exagéré. Il m’a humilié devant tout le monde. »

Sophie soupira, son regard durcissant, comme si elle avait prévu cette réaction.

« Peu importe qui a commencé. Ce qui compte, c’est que tu as perturbé l’ordre. Et ici, on ne laisse pas passer ça. »

Benoît ouvrit la bouche pour protester, mais Sophie leva la main, un geste impérieux qui le fit taire.

« Assez. Tu vas apprendre à respecter les règles, Benoît. Et si tu ne le fais pas de toi-même, on t’y forcera. »


Avant qu’il ne puisse réagir, Sophie fit un geste vers Lucas, qui était entré silencieusement dans la pièce, comme une ombre.

« Lucas, s’il te plaît. »

Lucas s’avança, son expression impassible, ses mouvements précis et calculés. Benoît recula d’un pas, sentant la panique l’envahir, comme un animal pris au piège.

« Qu’est-ce que vous faites ? s’écria-t-il, sa voix tremblante. Vous ne pouvez pas me forcer à quoi que ce soit ! »

Mais Lucas ne dit rien. Il attrapa Benoît par le bras, le tirant vers le canapé au centre de la pièce. Camille et Élodie, qui étaient entrées discrètement, observaient la scène, leurs visages graves, comme des spectatrices d’un drame annoncé.

« Non, arrêtez ! » hurla Benoît, se débattant inutilement. Lucas était plus fort, et bientôt, Benoît se retrouva étendu sur les genoux de Sophie, ses jambes pendantes d’un côté, son torse appuyé sur le canapé. Il sentit les mains de Lucas maintenir ses épaules, le maintenant fermement en place, comme un prisonnier.

« S’il te plaît, Sophie, non... » murmura-t-il, sa voix tremblante, mais ses mots se perdaient dans le vide.

Sophie ne répondit pas. Elle leva la main et la laissa tomber sur la fesse droite de Benoît. Le bruit de la claque résonna dans la pièce, un son sec et brutal qui fit sursauter les spectateurs. Benoît poussa un cri étouffé, sentant la brûlure instantanée, comme un fer rouge sur sa peau.


La fessée commença, chaque claque retentissant comme un coup de tonnerre dans l’esprit de Benoît. Sophie frappait avec une force contrôlée, ses mains larges et fermes s’abattant sur les fesses de Benoît. Il sentit la chaleur se propager, la douleur devenant rapidement insupportable, comme un feu qui consumait sa chair.

« Arrêtez... s’il vous plaît... » gémit-il, ses mains se refermant sur le tissu du canapé, ses ongles s’enfonçant dans la toile.

Mais Sophie continua, ses claques alternant entre les deux fesses, créant un rythme régulier et impitoyable. Les larmes montèrent aux yeux de Benoît, mais il refusa de les laisser tomber, serrant les dents jusqu’à ce qu’elles grincent. Il voulait garder sa dignité, mais chaque claque le ramenait à son humiliation, à son impuissance.


Les spectateurs observaient en silence, leurs visages graves, comme des juges impitoyables. Camille détourna le regard, se sentant mal à l’aise, tandis qu’Élodie serrait les poings, partageant la douleur de Benoît. Lucas, quant à lui, restait impassible, ses mains maintenant fermement Benoît en place, comme un bourreau accomplissant son devoir.

« Tu vas apprendre, Benoît, murmura Sophie entre deux claques, sa voix froide et déterminée. Tu vas apprendre à respecter les règles. »

Benoît ne répondit pas, ses pensées embrouillées par la douleur. Il sentait ses fesses devenir de plus en plus sensibles, chaque claque ajoutant à la brûlure déjà intense. La peau de ses fesses était en feu, rouge et gonflée, et il savait que les marques resteraient, un rappel constant de cette humiliation.


Enfin, après ce qui sembla une éternité, Sophie arrêta. Elle posa sa main sur les fesses rougies de Benoît, comme pour s’assurer de l’effet de sa punition.

« C’est fini, pour cette fois, dit-elle, sa voix ferme mais sans colère. Mais souviens-toi, Benoît, la prochaine fois, ce sera pire. »

Elle aida Benoît à se relever, et il se retrouva debout, tremblant, ses mains se portant immédiatement à ses fesses douloureuses. Il évita les regards des autres, sentant la honte l’envahir, comme une vague qui le submergeait.


« Tu peux y aller, Benoît, dit Sophie, son ton redevenant professionnel, comme si rien ne s’était passé. Mais réfléchis à ton comportement. »

Il hocha la tête, incapable de parler, et sortit rapidement du bureau, laissant derrière lui le silence pesant. Les murmures reprirent dès qu’il fut parti, mais Benoît ne les entendit pas. Il était déjà loin, perdu dans sa propre tempête.


De retour dans sa chambre, Benoît se laissa tomber sur son lit, ses mains toujours sur ses fesses. Il sentait les larmes monter, mais il les retint, serrant les poings jusqu’à ce que ses ongles s’enfoncent dans ses paumes. Il ne voulait pas pleurer, pas pour eux. Il se promit de ne pas se laisser abattre, de ne pas se soumettre à leurs règles oppressives. Mais alors que la nuit tombait sur l’Île de Palmora, Benoît savait que cette bataille ne faisait que commencer. Et il ne savait pas encore à quel point les défis à venir seraient difficiles. La douleur dans ses fesses, la brûlure sur sa joue, tout lui rappelait qu’il était un étranger dans ce monde, un étranger qui refusait de se plier. Mais à quel prix ?

mardi 30 septembre 2025

Bienvenue à Palmora - Partie 2

 


Benoît Dutal, encore secoué par les événements de l’avion, se tenait sur le tarmac de l’aéroport de Palmora, l’air chargé d’humidité et de sel marin lui caressant le visage. Son t-shirt noir, froissé et marqué par les empreintes de la confrontation avec Henri Moreau, collait à sa peau moite. Son jean large, lui aussi témoin de l’humiliation subie, pendait lourdement sur ses hanches. Il serrait les poings, ses ongles creusant la paume de ses mains, tandis que ses yeux bruns, habituellement pétillants de détermination, reflétaient maintenant une colère contenue et une humiliation profonde.

Un taxi jaune vif s’arrêta devant lui, le chauffeur, un homme d’une cinquantaine d’années au visage buriné par le soleil, le dévisagea avec curiosité. « Vous allez bien, jeune homme ? » demanda-t-il, son regard s’attardant sur les marques rouges qui ornaient le cou et les joues de Benoît.

Benoît, encore sous le choc, hocha la tête machinalement. « Oui, oui, ça va. La Résidence des Deux Cours, s’il vous plaît. » Sa voix, d’habitude ferme et assurée, tremblait légèrement, traçant les contours de son émotion.

Le chauffeur, un certain Monsieur Leblanc, acquiesça et engagea la conversation, comme le font souvent les chauffeurs de taxi. « Vous êtes nouveau sur l’île, n’est-ce pas ? »

Benoît, bien que peu enclin à discuter, sentit qu’il ne pouvait pas rester silencieux. « Oui, je suis arrivé aujourd’hui. »

« Ah, je vois. Vous savez, Palmora, c’est une île particulière. Les règles ici sont… différentes. » Monsieur Leblanc jeta un coup d’œil à Benoît dans le rétroviseur, comme pour sonder sa réaction.

Benoît serra les dents. « Oui, j’ai déjà eu un aperçu. » Il ne put s’empêcher de penser à la gifle retentissante d’Henri Moreau, à la douleur cuisante de la fessée, à l’humiliation publique devant les autres passagers.

Monsieur Leblanc, semblant comprendre le sous-entendu, opina lentement. « Les administrateurs ne rigolent pas avec la discipline. Surtout Monsieur Moreau. Il est connu pour sa sévérité. »

Benoît grimaça. « Oui, j’ai pu le constater. » Il se demanda si le chauffeur avait entendu parler de l’incident dans l’avion. Palmora était une île petite, les nouvelles voyageaient vite.

« Vous savez, jeune homme, » continua Monsieur Leblanc, sa voix prenant un ton plus grave, « ici, le respect des aînés est primordial. Appeler un homme comme Monsieur Moreau par son prénom, c’est considéré comme un manque de respect. »

Benoît sentit son visage s’empourprer. Il avait oublié, encore une fois, les codes de l’île. « Je… je suis désolé. Je ne suis pas habitué à ces formalités. »

Monsieur Leblanc haussa les épaules. « C’est compréhensible. Vous êtes jeune. Mais ici, ces détails comptent. Surtout pour quelqu’un comme vous, qui semble… » Il hésita, cherchant le mot juste, « … qui semble aimer défier l’autorité. »

Benoît se raidit sur son siège. « Je ne défie pas l’autorité. Je défends mes idées. »

Le chauffeur sourit, un sourire triste. « Sur cette île, les idées qui ne correspondent pas à celles des administrateurs sont souvent considérées comme une menace. Soyez prudent, jeune homme. »

Le silence s’installa entre eux, lourd de sous-entendus et de mises en garde. Benoît fixa le paysage qui défilait à travers la fenêtre : les plages de sable blanc, les forêts de palmiers, les villages colorés avec leurs places centrales, où il savait que se déroulaient les cérémonies de fessée. L’atmosphère de l’île, à la fois envoûtante et tendue, semblait le mettre au défi.


Arrivés à la Résidence des Deux Cours, un bâtiment élégant aux murs blanchis à la chaux et aux toits de tuiles rouges, Benoît paya la course et remercia Monsieur Leblanc. Avant de descendre, le chauffeur lui lança un dernier regard. « Prenez soin de vous, jeune homme. Et n’oubliez pas : ici, les fessées ne sont pas juste une punition. Elles font partie de la culture. »

Benoit descendit du taxi, les mots du chauffeur résonnant dans son esprit. Il se sentait comme un étranger dans un monde où les règles étaient écrites dans un langage qu’il ne maîtrisait pas encore. Il poussa la porte de la résidence, l’air conditionné lui apportant un soulagement temporaire à la chaleur étouffante de l’extérieur.

L’intérieur de la résidence était spacieux et lumineux, avec des meubles en bois sombre et des tapisseries aux motifs tropicaux. Une femme d’une trentaine d’années, vêtue d’une robe légère et d’un tablier, se tenait derrière le comptoir de la réception. « Bienvenue à la Résidence des Deux Cours, Monsieur Dutal. Je suis Madame Girard, la gérante. »

Benoît, encore marqué par les événements de la journée, se força à sourire. « Enchanté, Madame Girard. »

« J’espère que votre voyage s’est bien passé. » Le regard de Madame Girard s’attarda sur les marques rouges sur le visage de Benoît, mais elle ne fit aucun commentaire.

« Oui, merci. » Benoît se demanda si elle avait entendu parler de l’incident dans l’avion.

« Votre appartement est prêt. C’est le numéro 12, au premier étage. Voici vos clés. » Madame Girard lui tendit une clé en métal lourd.

« Merci. » Benoît prit la clé, sentant son poids dans sa main. Il se dirigea vers l’ascenseur, l’esprit ailleurs.

Une fois dans son appartement, Benoît laissa tomber son sac sur le sol et s’effondra sur le canapé. La pièce était spacieuse, avec des murs blancs et des meubles modernes. Une grande fenêtre offrait une vue sur la mer, les vagues bleues se brisant doucement sur le rivage.

Il se passa une main sur le visage, sentant la chaleur des marques laissées par la gifle de Moreau. La douleur de la fessée était encore vive, ses fesses brûlantes et sensibles. Il se leva, se dirigea vers la salle de bain et se regarda dans le miroir. Son visage était marqué, ses yeux cernés par la colère et l’humiliation.

Il ouvrit le robinet et laissa l’eau froide couler sur ses mains, puis sur son visage. La fraîcheur lui apporta un soulagement temporaire, mais la colère et l’humiliation restaient, tapies au fond de son être.

Il se déshabilla lentement, jetant son t-shirt froissé et son jean sur le sol. Il se tenait là, nu, face au miroir, examinant les marques rouges sur ses fesses. La peau était enflammée, les empreintes des mains de Moreau clairement visibles.

Il se souvint de la scène dans l’avion, de la façon dont Moreau l’avait déshabillé, l’avait fait se coucher sur ses genoux, avait exposé ses fesses nues aux regards de tous. La honte le submergea à nouveau, mais avec elle, une détermination féroce.

Il ne se laisserait pas intimider. Il ne se laisserait pas réduire au silence. Palmora pouvait avoir ses règles, ses traditions, mais Benoît Dutal ne se soumettrait pas.

Il se sécha et enfilait un short léger, puis se dirigea vers la cuisine. Il avait besoin de quelque chose à manger, quelque chose pour calmer la tempête qui faisait rage en lui.

Alors qu’il ouvrait le réfrigérateur, il entendit un bruit à la porte. Il se figea, son cœur battant la chamade. Qui pouvait bien venir le voir si tôt ?

Il se dirigea vers la porte, hésitant. « Qui est là ? » demanda-t-il, sa voix tremblante.

« C’est Madame Girard. J’ai oublié de vous donner cela. »

Benoît ouvrit la porte, trouvant Madame Girard avec un plateau dans les mains. « Oh, excusez-moi. Qu’est-ce que c’est ? »

« Un petit quelque chose pour vous souhaiter la bienvenue. » Madame Girard lui tendit le plateau, sur lequel se trouvaient des fruits frais, du pain et du fromage.

« Merci, c’est très gentil. » Benoît prit le plateau, sentant une vague de gratitude envers cette femme qui semblait comprendre son malaise.

« Si vous avez besoin de quoi que ce soit, n’hésitez pas à me demander. » Madame Girard lui sourit chaleureusement avant de partir.

Benoît ferma la porte et posa le plateau sur la table. Il s’assit, commençant à manger machinalement. Les fruits étaient juteux, le pain frais, mais il avait du mal à apprécier. Son esprit était ailleurs, perdu dans les événements de la journée.

Il se leva, se dirigea vers la fenêtre et regarda la mer. Les vagues se brisaient doucement sur le rivage, un rythme apaisant qui contrastait avec la tempête intérieure de Benoît.

Il se demanda ce que l’avenir lui réservait sur cette île. Il savait que son combat ne serait pas facile, que les administrateurs ne le laisseraient pas agir à sa guise. Mais il était déterminé. Il ne se laisserait pas intimider, pas par Moreau, pas par qui que ce soit.

La nuit tomba lentement sur Palmora, enveloppant l’île dans une obscurité apaisante. Benoît, toujours debout à la fenêtre, sentit une résolution grandir en lui. Il était là pour une raison, et il ne partirait pas avant d’avoir accompli ce pour quoi il était venu.

Il se tourna vers son appartement, vers le plateau de nourriture à moitié consommé. Il avait besoin de repos, de se préparer pour les défis à venir.

Il se dirigea vers la chambre, s’allongea sur le lit et ferma les yeux. Les images de la journée défilèrent dans son esprit : la confrontation avec Moreau, la gifle, la fessée, l’humiliation.

Il serra les poings, sentant la colère monter en lui. Mais avec elle, une détermination féroce. Il ne se laisserait pas abattre. Il se battrait, pour ses idées, pour la justice, pour lui-même.

Et alors que le sommeil le gagnait lentement, Benoît Dutal sourit, un sourire déterminé, un sourire qui disait qu’il était prêt à affronter tout ce que Palmora avait à lui offrir.

La nuit était tombée sur l’île, mais pour Benoît, une nouvelle bataille ne faisait que commencer.

vendredi 12 septembre 2025

La vengeance de Clara

 



Le soleil de midi inondait la Résidence des Deux Cours d’une lumière dorée, mais dans l’appartement de Benoît Dutal, l’atmosphère était loin d’être sereine. Le jeune homme de vingt-cinq ans, athlétique et au visage juvénile, était en plein ménage. Ses cheveux noirs, coupés en wolf cut, encadraient son visage anguleux alors qu’il s’affairait avec une pelle à poussière. Ce jour-là, il portait un t-shirt noir moulant et un jean délavé, une tenue qui mettait en valeur son corps sculpté par des heures de sport. Mais Benoît n’était pas du genre à faire les choses à moitié. Après avoir balayé son appartement, il se dirigea vers la fenêtre, ouverte en grand pour laisser entrer l’air frais. Sans se soucier des conséquences, il souleva la pelle remplie de poussière et de débris et la vidangea par la fenêtre. La terre, les miettes et les morceaux de papier s’envolèrent, portés par une légère brise, avant d’atterrir sur les passants en contrebas.

Parmi eux se trouvaient Francis Barson, le gestionnaire de la résidence, et Clara Lapelle, l’artiste indépendante et voisine de Benoît. Francis, un homme de cinquante-cinq ans au crâne chauve et à la moustache grisonnante, portait un costume strict qui accentuait son air autoritaire. Ses yeux bleus perçants semblaient voir à travers les âmes, et sa démarche était celle d’un homme habitué au commandement. Clara, quant à elle, avait les cheveux rouges coupés au carré, un style qui contrastait avec son regard vitreux, trahissant une fatigue chronique ou une addiction. Elle portait une veste en cuir usée et un jean déchiré, un style qui reflétait son esprit rebelle.

La poussière tomba sur eux comme une pluie sale, couvrant leurs vêtements et leurs cheveux. Clara, déjà irritée par les nombreuses plaintes de Benoît à son sujet, saisit l’occasion. « Vous voyez, Monsieur Barson ? C’est toujours la même chose avec lui ! » s’exclama-t-elle, sa voix stridente perçant l’air. Elle pointa du doigt la fenêtre d’où provenait la poussière, son geste accusateur. Francis, qui détestait le désordre et le manque de respect, leva les yeux vers l’appartement de Benoît. Son regard se durcit, et ses lèvres se serrèrent en une ligne mince.

« Je vais m’occuper de ça, » grogna-t-il, sa voix grave résonnant comme un coup de tonnerre. Il monta les escaliers à grandes enjambées, chaque pas semblant secouer les marches sous son poids. Clara le suivit, un sourire satisfait étirant ses lèvres. Elle adorait voir Benoît mis à mal, surtout après ses nombreuses remarques sur le bruit qu’elle faisait la nuit, lorsqu’elle peignait ou écoutait de la musique à plein volume.

Benoît, ignorant encore la tempête qui s’approchait, était retourné à son ménage. Il ne remarqua pas Francis frapper à sa porte avec une force qui fit vibrer les murs. Quand il ouvrit enfin, il fut accueilli par le visage sévère de Francis et le regard triomphant de Clara.

« Benoît, » commença Francis, sa voix profonde et autoritaire remplissant l’entrée. « Tu crois vraiment que c’est une façon de te comporter ? Jeter tes déchets par la fenêtre comme si c’était une poubelle ? »

Benoît haussa les épaules, son air impertinent au premier plan. Ses yeux marrons, habituellement chaleureux, se voilèrent d’une lueur de défi. « C’était juste un peu de poussière, Francis. Pas de quoi en faire un drame. »

Francis fronça les sourcils, ses yeux s’étroitant. « Ne m’appelle pas par mon prénom, jeune homme. C’est Monsieur Barson pour toi. »

Benoît roula des yeux, un sourire narquois aux lèvres. « D’accord, Monsieur Barson. Mais franchement, c’est pas si grave. »

Francis échangea un regard avec Clara, qui hocha la tête en signe d’approbation. Ses yeux brillaient d’une lueur malicieuse, comme si elle savait quelque chose que Benoît ignorait. Francis posa sa main gantée de cuir sur l’épaule de Benoît, son geste à la fois paternel et menaçant. « Tu vas apprendre ce que ça signifie de manquer de respect à tes voisins et à la résidence. »

Benoît croisa les bras, son torse se gonflant légèrement. « Vous allez me donner une leçon, Monsieur Barson ? Je suis un grand garçon, je sais ce que je fais. »

Francis serra les poings, ses jointures blanchissant sous la pression. « Tu vas te taire et écouter, jeune homme. Et pour commencer, tu vas t’excuser auprès de Mademoiselle Lapelle. »

Clara, qui avait pris place sur le canapé en cuir usé du salon, croisa les jambes et sourit. Ses ongles peints en noir brillaient sous la lumière du soleil. « Oui, excuse-toi, Benoît. C’est la moindre des choses. »

Benoît soupira, mais il savait qu’il n’avait pas le choix. Il jeta un regard furieux à Clara, puis se tourna vers Francis. « Désolé, Clara. Je ne voulais pas te salir. »

Clara fit une moue de satisfaction, mais Francis n’était pas encore prêt à en rester là. « Les excuses, c’est bien, mais ça ne suffit pas. Tu as besoin d’une leçon plus sévère. »

Benoît sentit une pointe d’inquiétude l’effleurer, mais il tenta de garder son air décontracté. « Une leçon ? De quoi vous parlez, Monsieur Barson ? »

Francis se pencha vers lui, son regard perçant semblant transpercer l’âme de Benoît. « Tu vas recevoir une fessée, Benoît. Et tu vas l’avoir méritée. »

Les yeux de Benoît s’écarquillèrent, et son sourire disparut instantanément. « Une fessée ? Vous êtes sérieux ? Je suis un adulte, pas un enfant ! »

Francis ignora ses protestations et se tourna vers Clara. « Vous pouvez rester et assister à la scène, Mademoiselle Lapelle. Ça lui servira de leçon. »

Clara se leva d’un bond, un sourire malicieux étirant ses lèvres. « Avec plaisir, Monsieur Barson. Je ne voudrais manquer ça pour rien au monde. »

Benoît sentit la panique monter en lui, son cœur battant la chamade. « Attendez, vous ne pouvez pas faire ça ! C’est ridicule ! »

Mais Francis était déjà en train de le pousser vers le canapé, sa main ferme sur l’épaule de Benoît. « Assez parlé, jeune homme. Il est temps de t’apprendre le respect. »

Benoît se débattit, ses muscles tendus sous l’effort. « Lâchez-moi ! Vous n’avez pas le droit ! »

Francis le fit s’allonger sur ses genoux, le maintenant fermement en place. Ses mains puissantes enserraient les hanches de Benoît, l’empêchant de bouger. Clara s’approcha, les yeux brillants d’anticipation. Elle se posta près de la fenêtre, ouverte sur le monde extérieur. La rue en contrebas était animée, et les voisins d’en face pouvaient facilement voir et entendre ce qui se passait.

« Fermez la fenêtre, au moins ! » protesta Benoît, rouge de honte. Ses joues étaient teintées de rose, et sa voix tremblait légèrement.

« Non, » répondit Francis, sa voix ferme et impitoyable. « Que les voisins voient et entendent. Ça te servira de leçon. »

Clara s’assit sur le bras du canapé, observant la scène avec délectation. Ses doigts tambourinaient sur le cuir, comme si elle attendait le début d’un spectacle. Francis leva la main, sa paume large et calleuse, et la fit s’abattre sur les fesses de Benoît, encore couvertes par son jean serré. La première claque résonna dans la pièce, un son sourd et humiliant. Benoît sursauta, un cri étouffé s’échappant de ses lèvres.

« Aïe ! Vous êtes fou ! » s’écria-t-il, tentant de se dégager. Ses mains se crispèrent sur le tissu du canapé, ses ongles creusant le cuir.

Mais Francis le maintint fermement, sa main lourde et implacable. « Tu vas rester en place et prendre ta punition, jeune homme. »

La deuxième claque tomba, plus forte encore. Benoît poussa un cri de douleur, ses fesses commençant à rougir à travers le tissu de son jean. La chaleur se propagea rapidement, et il sentit une brûlure intense. Clara sourit, appréciant le spectacle. Ses yeux brillaient d’un plaisir sadique, comme si elle prenait un malin plaisir à voir Benoît souffrir.

« Tu vois, Benoît ? C’est ce qui arrive quand tu manques de respect, » dit-elle, un ton moqueur dans la voix. Sa voix était douce, mais ses mots étaient acérés comme des lames. . Francis continua, chaque claque plus sévère que la précédente. Benoît se tordait et gémissait, ses protestations devenant de plus en plus faibles. La douleur s’intensifiait, et il sentait ses fesses brûler à travers son jean. La sueur perlait sur son front, et ses cheveux collaient à sa nuque. Il ferma les yeux, tentant de se concentrer sur autre chose que la douleur, mais chaque claque le ramenait à la réalité.

« Arrêtez, s’il vous plaît ! » supplia-t-il, sa voix brisée. Ses mains se crispèrent sur le canapé, ses doigts blanchissant sous la pression.

Mais Francis ne montrait aucune pitié. Son visage était impénétrable, son regard fixe et déterminé. « Pas avant que tu aies appris ta leçon, » grogna-t-il, levant à nouveau la main.

La fessée dura ce qui sembla une éternité à Benoît. Chaque claque était un rappel douloureux de son manque de respect. Ses fesses étaient maintenant douloureuses et rouges, même à travers le tissu de son jean. Il sentait chaque impact comme un coup de poignard, et la chaleur se propageait à travers son corps, le faisant transpirer abondamment.

Clara observait, un mélange de satisfaction et de curiosité dans son regard. Elle semblait étudier chaque réaction de Benoît, comme si elle cherchait à comprendre jusqu’où il pouvait endurer la douleur. Ses lèvres étaient légèrement entrouvertes, et son souffle était rapide, comme si elle partageait l’excitation de la scène.

Enfin, Francis s’arrêta, laissant Benoît haletant et en sueur sur ses genoux. Le jeune homme était tremblant, ses muscles tendus à l’extrême. Il sentait ses fesses pulsées de douleur, et chaque mouvement était une agony. Francis le relâcha doucement, et Benoît se releva rapidement, frottant ses fesses douloureuses. Il jeta un regard furieux à Clara, qui sourit en retour, un sourire triomphant.

« Ce n’est pas fini, » déclara Francis, croisant les bras. Sa voix était calme, mais ses yeux brillaient d’une détermination implacable. « Tu vas maintenant te déshabiller. »

Benoît recula d’un pas, ses yeux s’écarquillant à nouveau. « Me déshabiller ? Pourquoi ? »

Francis pointa du doigt le t-shirt de Benoît, son geste autoritaire. « Tu as reçu une fessée sur tes vêtements, ce n'est pas suffisant. Tu dois la recevoir sur la peau nue. »

Benoît hésita, son cœur battant la chamade. Il jeta un regard implorant à Clara, mais elle détourna les yeux, un sourire aux lèvres. Lentement, il commença à enlever son t-shirt, révélant son torse athlétique et sa peau légèrement hâlée. Ses abdominaux étaient dessinés, et ses pectoraux saillants. Clara observa, un sourire aux lèvres, alors que Benoît, rouge de honte, se tenait devant eux.

« Maintenant, le jean, » ordonna Francis, sa voix impassible.

Benoît hésita à nouveau, ses mains tremblantes posées sur la braguette de son jean. Il sentait les regards de Francis et Clara sur lui, et la honte l’envahit. Mais il finit par obéir, déboutonnant son jean et le laissant tomber au sol. Il ne portait qu’un boxer serré, qui laissait peu à l’imagination. Ses fesses, déjà rouges, étaient maintenant exposées, et il sentit une vague de honte l’envahir. Son sexe, légèrement tendu par l’excitation et la peur, était visible à travers le tissu fin du boxer.

« Sur mes genoux, » ordonna Francis, pointant vers le canapé. Sa voix était ferme, mais il y avait une note de satisfaction dans son ton.

Benoît obéit, s’allongeant à contrecœur sur les genoux de Francis. Il sentit les mains de l’homme plus âgé sur ses hanches, le maintenant en place. Les doigts de Francis étaient fermes, mais pas brutaux, comme s’il prenait un malin plaisir à contrôler chaque mouvement de Benoît. Clara s’approcha, observant la scène avec un mélange de curiosité et de satisfaction. Françis fit descendre le boxer de Benoît et exposa ses fesses nues.

Francis leva la main et la fit s’abattre sur les fesses nues de Benoît. La claque résonna dans la pièce, un son clair et humiliant. La douleur était intense, bien plus que lorsqu’il était habillé. Benoît poussa un cri étouffé, ses mains se crispant sur le tissu du canapé. Ses ongles creusèrent le cuir, laissant des marques blanches.

« Tu vas apprendre le respect, jeune homme, » grogna Francis, levant à nouveau la main. Sa voix était basse, presque gutturale, comme si la scène éveillait en lui une passion primitive.

La deuxième claque tomba, encore plus forte. Benoît gémit, ses fesses brûlant sous l’impact. La chaleur se propagea rapidement, et il sentit une douleur aiguë se répandre dans tout son corps. Clara observa, un sourire aux lèvres, alors que Francis continuait, chaque claque plus sévère que la précédente.

La fessée dura longtemps, chaque claque un rappel douloureux de la leçon que Benoît devait apprendre. Ses fesses étaient maintenant d’un rouge vif, et il sentait la chaleur se propager à travers son corps. Il se tordait et gémissait, mais Francis ne montrait aucune pitié. Ses mains étaient impitoyables, et chaque claque était délivrée avec une précision et une force calculées.

Benoît sentit un mélange de sueur et d’excitation. Il était humilié, mais une partie de lui était étrangement excitée par la situation. Il sentait son sexe se tendre, malgré la douleur et la honte. Clara remarqua son érection, et un sourire malicieux apparut sur ses lèvres. Elle se pencha vers lui, murmurant à son oreille :

« Tu aimes ça, hein, Benoît ? Tu aimes être humilié comme ça ? »

Benoît rougit encore plus, si c’était possible. Il tenta de détourner les yeux, mais Clara maintint son regard, ses yeux brillants de malice. Francis, quant à lui, semblait ignorer l’échange, concentré sur sa tâche.

Enfin, après ce qui sembla une éternité, Francis s’arrêta. Benoît haletait, ses fesses douloureuses et rouges. Il se releva lentement, frottant ses fesses et jetant un regard furieux à Francis et Clara. Ses jambes tremblaient légèrement, et il sentait une faiblesse l’envahir.

« Tu as compris la leçon, jeune homme ? » demanda Francis, sa voix ferme. Ses yeux brillaient d’une satisfaction calme, comme s’il avait accompli une tâche importante.

Benoît hoqueta, essayant de reprendre son souffle. « Oui, Monsieur Barson. Je comprends. »

Francis hocha la tête, satisfait. « Bien. Maintenant, tu vas t’excuser auprès de tous les voisins que tu as dérangés. Et tu vas faire attention à ton comportement à l’avenir. »

Benoît soupira, sachant qu’il n’avait pas le choix. Il se sentait humilié et vaincu, mais il savait qu’il devait obéir. « D’accord, Monsieur Barson. Je m’excuserai. »

Clara se leva, un sourire triomphant aux lèvres. « Je suis contente que tu aies enfin reçu la leçon que tu méritais, Benoît. »

Benoît jeta un regard furieux à Clara, mais il savait qu’il ne pouvait rien dire. Il se rhabilla rapidement, ses fesses douloureuses le rappelant à chaque mouvement de la leçon qu’il venait de recevoir. Chaque pas était une agonie, et il sentait ses muscles protester.

Alors que Francis et Clara quittaient l’appartement, Benoît se dirigea vers la fenêtre, la fermant avec force. Il jeta un regard vers l’appartement d’en face, se demandant si les voisins avaient tout vu et entendu. Il sentit une vague de honte l’envahir, mais il savait qu’il devait faire amende honorable.

La journée était loin d’être terminée, et Benoît savait qu’il avait encore beaucoup à faire pour réparer les dégâts qu’il avait causés. Mais une chose était sûre : il n’oublierait pas de sitôt la leçon qu’il venait de recevoir. Et il se demanda, alors qu’il se frottait les fesses douloureuses, si Francis et Clara avaient d’autres surprises en réserve pour lui. La suite restait à écrire, et Benoît ne pouvait s’empêcher de se demander ce que l’avenir lui réservait.


vendredi 29 août 2025

Bienvenue à Palmora - Partie 1

 

Benoît Dutal ajusta nerveusement la bretelle de son sac à dos alors que l’avion roulait sur la piste, prêt à décoller vers l’île de Palmora. À vingt-cinq ans, il avait déjà fait ses preuves dans le monde de l’activisme politique, mais cette mutation était différente. Travailler comme assistant parlementaire sur une île connue pour ses méthodes disciplinaires particulières le mettait mal à l’aise. Il n’aimait pas l’idée d’être éloigné de son terrain de prédilection, mais il avait accepté ce poste pour des raisons stratégiques. Palmora était un endroit intrigant, un microcosme de société où la hiérarchie et la discipline étaient gravées dans la culture locale.

Alors que l’avion s’élevait dans les airs, Benoît se laissa tomber dans son siège, fixant par la fenêtre les nuages qui défilaient. Il portait son habituel t-shirt noir ajusté, mettant en valeur sa silhouette athlétique, et un jean slim qui soulignait ses jambes musclées. Sa tenue reflétait son refus de se conformer aux codes vestimentaires rigides. Ses cheveux noirs, coupés en wolf cut, encadraient son visage juvénile. Il avait l’air d’un étudiant rebelle, pas d’un assistant parlementaire, mais il s’en moquait. Ce qui comptait pour lui, c’était ses idées, pas son apparence.

L’hôtesse de l’air passa dans l’allée, distribuant des boissons. Benoît déclina poliment, préférant garder les idées claires. Il sortit un livre de son sac, un essai sur les systèmes politiques alternatifs, mais ses pensées dérivaient sans cesse vers Palmora. Que signifiait vraiment cette île ? Et comment allait-il s’adapter à ses règles strictes ? Il avait entendu des rumeurs sur les fessées, une pratique censée maintenir l’ordre et le respect. L’idée le faisait frissonner, non pas par excitation, mais par une colère sourde. Il détestait l’autorité imposée, surtout quand elle prenait une forme aussi humiliante.

L’avion traversa une zone de turbulences, et Benoît serra les poings, ses ongles creusant dans les accoudoirs. Il n’aimait pas perdre le contrôle, et cette sensation d’impuissance le rendait irritable. À côté de lui, un homme d’une quarantaine d’années, vêtu d’un costume trois-pièces impeccablement taillé, le regarda avec un sourire amusé. Ses traits sévères et son regard perçant dégageaient une aura d’autorité.

— Vous n’aimez pas voler, jeune homme ? demanda-t-il, sa voix calme et posée, mais teintée d’un sous-entendu de supériorité.

Benoît le dévisagea, remarquant l’insigne discret sur sa veste qui indiquait son statut élevé. Il avait l’air d’un homme habitué à commander et à être obéi.

— Ce n’est pas que je n’aime pas voler, répondit Benoît, un peu sec, refusant de se laisser intimider. C’est juste que je n’aime pas être à la merci des éléments.

L’homme hocha la tête, comme s’il comprenait, mais son sourire ne quitta pas ses lèvres.

— Je m’appelle Henri Moreau. Et vous, vous devez être Benoît Dutal. J’ai entendu parler de vous. Vous êtes ce jeune activiste qui fait tant de bruit.

Benoît se raidit. Il n’aimait pas être reconnu, surtout par des hommes comme Moreau, qui semblaient incarner tout ce qu’il combattait.

— Oui, c’est moi, admit-il, sans enthousiasme, croisant les bras sur sa poitrine comme pour se protéger.

— Vous allez à Palmora, n’est-ce pas ? demanda Moreau, son ton devenant plus sérieux, presque inquisiteur.

— Oui, répondit Benoît, méfiant, sentant déjà la tension monter entre eux. Et vous ?

— Je suis l’un des administrateurs de l’île. Je m’assure que tout se passe selon les règles, expliqua Moreau, son regard se durcissant légèrement.

Benoît sentit une pointe de colère monter en lui. Les règles. Toujours les règles. Il détestait être enfermé dans un système qu’il ne respectait pas.

— Et quelles sont ces règles, exactement ? demanda-t-il, son ton défiant, ses yeux brun foncé se fixant sur ceux de Moreau.

Moreau le regarda fixement, comme s’il mesurait la rébellion dans les yeux de Benoît.

— À Palmora, nous croyons en la discipline, jeune homme. C’est ce qui maintient l’harmonie. Et parfois, cette discipline doit être appliquée de manière… directe, expliqua-t-il, sa voix se faisant plus froide.

Benoît croisa les bras, son regard se durcissant.

— Vous voulez dire les fessées ? C’est ça, votre harmonie ? Humilier les gens pour les garder en ligne ?

Moreau ne cilla pas, son expression restant impassible.

— Ne sous-estimez pas l’efficacité de nos méthodes, Benoît. Elles ont fait leurs preuves depuis des siècles, rétorqua-t-il, sa voix chargée d’une autorité incontestable.

— Des siècles de soumission, vous voulez dire, rétorqua Benoît, sa voix s’élevant, son sang bouillant dans ses veines. Vous appelez ça de l’harmonie, mais c’est juste de la peur.

Les passagers autour d’eux commencèrent à les regarder, certains avec curiosité, d’autres avec désapprobation. Moreau se pencha vers Benoît, son expression devenant sévère, ses yeux perçants comme des lames.

— Vous feriez mieux de surveiller votre langue, jeune homme. À Palmora, l’insolence a des conséquences, gronda-t-il, sa voix résonnant comme un avertissement.

Benoît se redressa, son sang bouillant.

— Et moi, je vous dis que vos méthodes sont archaïques et injustes ! Vous ne pouvez pas continuer à traiter les gens comme ça !

Moreau se leva brusquement, son visage rouge de colère, ses mains se serrant en poings.

— Assez ! s’exclama-t-il, sa voix retentissant dans l’avion. Vous ne comprenez rien, Benoît Dutal. Mais vous allez apprendre. Et vite.

Avant que Benoît puisse réagir, Moreau lui donna une gifle retentissante en plein visage. Le bruit de la claque écho dans l’avion, et Benoît porta instinctivement sa main à sa joue, les yeux écarquillés de surprise et de colère. La marque rouge de la main de Moreau se dessina instantanément sur sa peau.

— Monsieur Moreau ! s’écria l’hôtesse de l’air, s’approchant rapidement, son visage pâle d’indignation. Vous ne pouvez pas faire ça !

Mais Moreau l’ignora, se tournant vers les autres passagers, son expression implacable.

— Vous voyez ce qui arrive quand on ne respecte pas les règles ? dit-il, sa voix ferme, presque triomphante. Ce jeune homme a besoin d’une leçon. Et il va l’avoir.

Il attrapa Benoît par le bras, le tirant brutalement de son siège. Benoît se débattit, ses muscles se tendant sous l’effort, mais Moreau était plus fort, son emprise implacable.

— Laissez-moi ! s’écria Benoît, se débattant avec une énergie désespérée. Vous n’avez pas le droit de me toucher !

— À Palmora, j’ai tous les droits, rétorqua Moreau, le traînant vers l’arrière de l’avion, où l’espace était plus dégagé. Et vous allez apprendre à respecter l’autorité.

Il l’emmena dans l’espace étroit entre les rangées de sièges, où une petite foule de passagers curieux s’était formée. Benoît se débattait, ses pieds traînant sur le sol, mais Moreau le maintenait fermement, son emprise de fer.

— Arrêtez-le ! supplia Benoît, se tournant vers les autres passagers, ses yeux suppliants. Il ne peut pas faire ça !

Mais personne n’intervint. Certains regardaient avec embarras, d’autres avec une curiosité morbide. Une femme murmura quelque chose à propos de "méthodes nécessaires", et Benoît sentit son cœur se serrer de désespoir et de rage.

Moreau le poussa contre un mur, le maintenant fermement, ses mains fortes immobilisant les épaules de Benoît.

— Maintenant, tu vas t’excuser pour ton insolence, ordonna-t-il, son visage à quelques centimètres de celui de Benoît, son haleine chaude caressant sa peau.

— Jamais, cracha Benoît, son regard défiant, ses yeux brillants de colère.

Moreau soupira, comme s’il s’attendait à cette réponse, puis son expression se fit encore plus dure.

— Très bien, dit-il, sa voix froide et calculée. Alors nous allons faire les choses à ma manière.

Il attrapa le t-shirt noir de Benoît, le déchirant brutalement pour l’enlever. Le tissu céda sous la force de Moreau, exposant le torse athlétique de Benoît, ses abdos dessinés et sa peau lisse. Benoît essaya de se protéger, mais Moreau était trop fort, trop déterminé. En quelques secondes, il se retrouva torse nu, son corps exposé aux regards des passagers.

— Arrêtez ! s’écria Benoît, rougissant de honte et de colère, ses mains tentant de couvrir sa poitrine. Vous n’avez pas le droit de me faire ça !

— À Palmora, j’ai tous les droits, répéta Moreau, son ton sans émotion, comme s’il récisait une loi immuable.

Il attrapa ensuite le jean de Benoît, le descendant brutalement, révélant son boxer noir. Benoît se débattit avec encore plus de force, ses muscles se contractant sous l’effort, mais Moreau le maintenait fermement, son emprise implacable.

— S’il vous plaît, arrêtez ! supplia Benoît, sa voix tremblante, ses yeux remplis de larmes de frustration et d’humiliation.

Mais Moreau ne montrait aucune pitié. Il descendit le boxer de Benoît, l’exposant complètement. Benoît se retrouva nu, ses parties génitales et ses fesses exposées aux regards des passagers. La honte le submergea, mais il refusa de baisser les yeux, gardant un regard fier malgré tout.

— Vous êtes un monstre, murmura-t-il, sa voix tremblante de colère et d’humiliation, ses poings serrés à ses côtés.

Moreau le regarda froidement, sans émotion, comme s’il inspectait une pièce de viande.

— À Palmora, nous faisons ce qui est nécessaire pour maintenir l’ordre, dit-il, sa voix ferme et sans appel.

Il attrapa Benoît par la taille, le soulevant brutalement pour le placer sur ses genoux. Benoît se retrouva allongé, ses fesses nues exposées, ses jambes pendantes, ses mains tentant en vain de couvrir son intimité. Il essaya de se dégager, mais Moreau le maintenait fermement, une main sur son dos, l’autre levée dans les airs, prête à frapper.

— Cela va vous apprendre à respecter l’autorité, dit Moreau, sa voix ferme et menaçante, son regard fixé sur Benoît avec une intensité terrifiante.

Et puis, la première claque tomba.

Le bruit de la main de Moreau sur les fesses nues de Benoît résonna dans l’avion, un son sec et humiliant qui fit sursauter plusieurs passagers. Benoît sursauta, un cri de douleur et de surprise s’échappant de ses lèvres. La douleur était intense, une brûlure vive qui se propagea dans tout son corps, comme si son arrière-train était en feu.

— Arrêtez ! s’écria-t-il, se débattant avec une énergie désespérée, ses mains tentant de se protéger. S’il vous plaît, arrêtez !

Mais Moreau continua, sa main tombant avec une régularité méthodique sur les fesses de Benoît. Chaque claque était un choc, une humiliation publique qui le marquait au plus profond de son être. Les passagers regardaient, certains avec embarras, d’autres avec une curiosité morbide. Une femme détourna le regard, murmurant quelque chose à propos de "méthodes sévères mais nécessaires".

Benoît sentit les larmes monter à ses yeux, mais il refusa de les laisser tomber. Il serra les dents, essayant de retenir ses cris, mais la douleur était trop intense. Chaque claque le faisait sursauter, sa peau devenant de plus en plus rouge et sensible, comme si elle était en feu.

— Vous voyez ce qui arrive quand on ne respecte pas les règles ? dit Moreau, sa voix calme et ferme, presque pédagogique, comme s’il donnait une leçon à un enfant. Cela vous apprendra à vous comporter correctement.

Benoît essaya de se dégager, mais Moreau le maintenait fermement, son emprise implacable. Il se sentait impuissant, humilié, exposé aux regards de tous. La douleur physique était intense, mais c’était l’humiliation qui le blessait le plus. Il détestait être ainsi soumis, détestait être traité comme un objet de discipline.

— S’il vous plaît, arrêtez, supplia-t-il, sa voix brisée, ses larmes coulant enfin sur ses joues, malgré ses efforts pour les retenir. Je vous en prie.

Mais Moreau continua, sa main tombant sans relâche sur les fesses de Benoît. Les larmes coulaient maintenant librement sur les joues de Benoît, mais il refusa de crier, serrant les poings jusqu’à ce que ses ongles creusent dans ses paumes. Il voulait garder une once de dignité, même dans cette situation dégradante.

Les passagers regardaient, certains avec compassion, d’autres avec indifférence. Une jeune femme murmura quelque chose à propos de "mériter ce qui lui arrive", et Benoît sentit une colère froide monter en lui, mêlée à une profonde humiliation.

Moreau arrêta enfin, laissant Benoît respirer, ses fesses en feu, sa peau rouge et douloureuse, comme marquées au fer rouge. Benoît se releva lentement, se couvrant les parties génitales avec ses mains, son visage rougi de honte et de colère, ses cheveux en désordre.

— Vous êtes un monstre, murmura-t-il, sa voix tremblante, mais ferme, ses yeux fixant Moreau avec une intensité farouche. Vous ne pouvez pas traiter les gens comme ça.

Moreau le regarda froidement, sans émotion, comme s’il n’avait fait que son devoir.

— À Palmora, nous faisons ce qui est nécessaire pour maintenir l’ordre, dit-il, sa voix ferme et sans appel. Et vous, Benoît Dutal, vous allez apprendre à respecter les règles.

Benoît se rhabilla rapidement, ses mains tremblantes, son cœur battant la chamade, ses fesses douloureuses à chaque mouvement. Il se sentait violé, humilié, mais il refusa de baisser les yeux. Il regarda Moreau droit dans les yeux, sa colère brûlant en lui comme un feu intérieur.

— Vous ne m’avez pas brisé, dit-il, sa voix ferme, presque un rugissement contenu. Et je ne me soumettrai jamais à vos méthodes barbares.

Moreau sourit, un sourire froid et sans émotion, comme s’il savait déjà que Benoît finirait par céder.

— Nous verrons, dit-il, se retournant pour retourner à son siège, son costume impeccable malgré la scène qui venait de se dérouler. Vous avez encore beaucoup à apprendre, jeune homme.

Benoît resta debout, son corps tremblant, ses fesses douloureuses, son esprit en ébullition. Il détestait Moreau, détestait Palmora, détestait cette humiliation publique. Mais il savait une chose : il ne se soumettrait jamais. Il continuerait à se battre, à défier l’autorité, à défendre ses idées, quoi qu’il lui en coûte.

L’avion continua sa route vers Palmora, mais Benoît savait que son combat ne faisait que commencer. Et il était prêt. Plus que jamais.

samedi 16 août 2025

Infiltration chez des chasseurs




Benoît Dutal ajusta son t-shirt noir, lissant les plis de son jean large avant de pousser discrètement la porte de la salle de réunion. La lumière tamisée de la pièce contrastait violemment avec l’agitation du quartier populaire de la Résidence des Deux Cours, où les rires des passants et le grondement lointain des motos résonnaient faiblement. Il avait choisi cet endroit exprès pour son anonymat : une vieille bâtisse aux murs décrépis, connue pour abriter des réunions clandestines. Les chasseurs, comme on les appelait, s’y rassemblaient pour échanger des informations, planifier leurs expéditions et renforcer leur réseau. Benoît, avait décidé de s’infiltrer pour déjouer leurs plans. Il savait que ces hommes étaient impliqués dans des activités douteuses, et il était prêt à tout pour les arrêter. Son cœur battait la chamade, mais son regard déterminé, ses yeux marron brillants sous sa frange de wolf cut, trahissaient sa résolution.


La salle était remplie d’une vingtaine d’hommes, pour la plupart d’âge mûr, vêtus de vestes en cuir usées et de casquettes tachées de sueur. Leurs voix graves et leurs rires gras remplissaient l’air, mêlés à l’odeur âcre de tabac froid et de bière tiède. Benoît, avec son visage juvénile et ses traits fins, se fondit facilement dans l’ombre, près de la porte. Il croisa le regard de Liara Nguyen, une étudiante métisse coréenne-française qu’il avait rencontrée lors d’une manifestation. Elle était assise à une table, un carnet à la main, feignant de prendre des notes tout en observant les chasseurs avec un air détaché. Leur complicité silencieuse lui donna un sursaut de confiance. Liara, avec ses cheveux noirs lisses et son regard perçant, hochait légèrement la tête, comme pour l’encourager.


— Messieurs, commença un homme trapu, la cinquantaine, avec une voix autoritaire qui résonna dans la pièce, nous avons une nouvelle cible. Une réserve naturelle près de la frontière. Les gardes sont peu nombreux, et la faune est abondante. Qui est partant ?


Benoît sentit son sang bouillir. Ces hommes parlaient de détruire des écosystèmes entiers, et ils le faisaient avec une telle désinvolture. Il serra les poings, ses ongles creusant la paume de ses mains, mais se rappela sa mission : observer, écouter, et collecter des preuves. Il sortit discrètement un petit carnet de sa poche, ses doigts agiles tournant les pages, et commença à noter les détails : les noms, les lieux, les stratégies. Chaque mot prononcé était une pièce du puzzle qu’il devait assembler pour les arrêter.


— Benoît, murmura Liara en se penchant vers lui, sa voix douce mais urgente, tu devrais faire attention. Ils ne sont pas du genre à apprécier les intrus.


Il lui lança un regard bref, un mélange de gratitude et de détermination. Il savait qu’elle avait raison, mais il ne pouvait pas reculer. Pas maintenant. Ses lèvres se serrèrent en une ligne mince, et il hocha la tête imperceptiblement, comme pour lui dire de ne pas s’inquiéter.


Les discussions s’animèrent, les chasseurs échangeant des cartes jaunies et des conseils chuchotés. Benoît nota les coordonnées GPS, les dates prévues pour les expéditions, et même les noms des informateurs qui les aidaient à contourner les lois. Chaque information était précieuse, chaque détail pouvait faire la différence. Mais plus il écoutait, plus il sentait la colère monter en lui, comme une flamme qui grandissait dans sa poitrine. Ces hommes étaient des prédateurs, et ils agissaient en toute impunité.


Soudain, une voix retentit, plus forte que les autres, brisant la tension de la pièce.


— Et pour les jeunes qui essaient de nous arrêter, qu’est-ce qu’on fait ? demanda un homme grand et maigre, un sourire narquois étirant ses lèvres minces.


Les rires éclatèrent, gras et moqueurs, et Benoît sentit tous les regards se tourner vers lui. Il avait été repéré. Son cœur battit plus vite, comme un tambour dans sa poitrine, mais il garda son calme, croisant les bras sur sa poitrine athlétique.


— Je ne sais pas de quoi vous parlez, répondit-il d’une voix ferme, mais il savait que son mensonge ne tiendrait pas longtemps. Ses mots sonnaient creux, même à ses propres oreilles.


L’homme maigre se leva, s’approchant de lui avec des pas lents et menaçants, ses chaussures de cuir crissant sur le plancher de bois.


— Tu crois qu’on est stupides, gamin ? Tu as été vu près de nos repaires. Tu es un de ces activistes, n’est-ce pas ?


Benoît serra les dents, ses mâchoires se contractant. Il avait été trop confiant, trop imprudent. Il devait sortir de là, et vite. La sueur perlait sur son front, malgré la fraîcheur de la pièce.


— Je vous conseille de partir, dit l’homme, sa voix glaciale, sinon, on va s’occuper de toi.


Avant que Benoît puisse réagir, l’homme leva la main et lui administra une gifle retentissante en plein visage. Le bruit de la claque résonna dans la pièce, un son sec et humiliant. Benoît sentit la chaleur monter à sa joue, une brûlure instantanée, et il recula d’un pas, la main portée à son visage, les yeux emplis de colère et d’humiliation. La pièce sembla tourner un instant, et il serra les poings, ses ongles creusant ses paumes.


— Assez ! tonna une voix autoritaire, coupant court au chaos. Laissez-le moi.


Un homme plus âgé, avec une barbe grisonnante et un regard perçant, s’avança. Il avait l’air d’un leader, et son autorité était palpable, comme une aura autour de lui.


— Tu as osé t’infiltrer dans notre réunion, gamin ? dit-il en fixant Benoît de ses yeux froids. Tu vas apprendre à respecter les règles.


Benoît tenta de protester, mais l’homme leva la main pour le faire taire, son geste impérieux.


— Pas un mot. Tu vas recevoir une leçon que tu n’oublieras pas de sitôt.


Les chasseurs se rassemblèrent autour d’eux, formant un cercle serré, leurs visages durs et impitoyables. Benoît sentit la panique monter, comme une vague qui le submergeait. Il savait ce qui allait arriver, et il ne pouvait rien faire pour l’arrêter. Son estomac se noua, et il avala sa salive avec difficulté.


— Déshabille-le, ordonna l’homme, sa voix calme mais ferme.


Deux chasseurs s’approchèrent, attrapant Benoît par les bras. Il se débattit, ses muscles se tendant sous l’effort, mais ils étaient trop forts. Ils lui enlevèrent son t-shirt, exposant son torse athlétique, marqué par des cicatrices discrètes. Benoît sentit la honte l’envahir, comme une vague brûlante, mais il refusa de montrer sa peur. Ses yeux se rivèrent sur Liara, qui détournait le regard, incapable de supporter la scène.


— Pas assez, dit l’homme, un sourire cruel aux lèvres. Enlève-lui tout.


Les chasseurs obéirent, tirant sur son jean jusqu’à ce qu’il tombe au sol, puis sur son boxer, le laissant nu, exposé aux regards moqueurs et aux commentaires cruels. Benoît se retrouva nu, ses parties génitales et ses fesses pâles exposées à la vue de tous. Il serra les poings, les yeux baissés, refusant de les laisser voir sa vulnérabilité. La pièce semblait tourner autour de lui, et il sentit une sueur froide lui glacer le dos.


— Maintenant, il va apprendre, dit l’homme en s’approchant, ses pas lents et délibérés. Allonge-toi sur mes genoux.


Benoît hésita, ses jambes tremblantes, mais il savait qu’il n’avait pas le choix. Il s’avança, le cœur lourd, et s’allongea sur les genoux de l’homme. Son visage était à hauteur des fesses de Benoît, et il sentit les mains calleuses de l’homme se poser sur ses hanches, le maintenant fermement en place. La pièce semblait se taire, tous les regards fixés sur lui.


— Tu as de belles fesses, gamin, dit l’homme avec un sourire sadique, ses mots comme des coups de poignard. Dommage qu’elles vont être rouges d’ici peu.


La première claque tomba, puissante et retentissante. Benoît sursauta, un cri étouffé lui échappant. La douleur était intense, brûlante, comme si une marque de feu avait été apposée sur sa peau. L’homme ne s’arrêta pas, continuant à frapper avec une régularité méthodique, chaque claque résonnant dans la pièce comme un coup de tonnerre. Benoît serra les dents, tentant de retenir ses larmes, mais c’était impossible. Les larmes coulaient sur ses joues, mêlées à des sanglots étouffés. La douleur était insupportable, une brûlure qui semblait s’étendre à tout son corps.


— Tu vas apprendre à respecter les règles, gamin, répétait l’homme entre chaque claque, sa voix froide et impitoyable. Tu vas apprendre à ne pas t’immiscer dans nos affaires.


Les chasseurs observaient, certains avec des sourires narquois, d’autres avec une indifférence cruelle. Liara, quant à elle, avait détourné le regard, ses mains serrées en poings sur ses genoux. Elle savait que Benoît était courageux, mais elle ne pouvait s’empêcher de ressentir de la colère envers ces hommes qui le humiliaient ainsi. Les claques continuaient, sans relâche, chaque coup ajoutant une nouvelle couche de douleur.


Benoît sentit ses fesses devenir de plus en plus sensibles, la peau brûlante et douloureuse, comme si elle était en feu. Il tenta de se débattre, mais les mains de l’homme le maintenaient fermement en place, ses doigts creusant dans sa chair. Il était impuissant, à la merci de cet homme qui semblait prendre plaisir à le punir. La sueur coulait sur son corps, mêlée à ses larmes, et il sentit ses forces l’abandonner, comme si son corps voulait se dissoudre sous la douleur.


— Tu vas t’excuser, gamin, dit l’homme après une dizaine de claques, sa voix teintée de satisfaction. Tu vas t’excuser pour avoir perturbé notre réunion.


Benoît serra les dents, refusant de céder. Il ne s’excuserait pas. Il ne leur donnerait pas cette satisfaction. Ses lèvres tremblèrent, mais il garda le silence, ses yeux fermés pour ne pas voir les regards moqueurs.


— Comme tu veux, dit l’homme avec un sourire. Mais tu vas le regretter.


Les claques reprirent, encore plus fortes, encore plus douloureuses. Benoît sentit ses forces l’abandonner, son corps tremblant sous l’intensité de la punition. Il voulait crier, supplier, mais il ne pouvait pas. Il était piégé, prisonnier de cette humiliation publique. Chaque claque était un rappel brutal de son impuissance, une marque de honte qui s’imprimait sur sa peau.


Enfin, après ce qui sembla une éternité, l’homme s’arrêta. Benoît gisait sur ses genoux, les fesses en feu, le corps couvert de sueur. Il était épuisé, brisé, mais il refusait de montrer sa défaite. Ses muscles tremblaient, et il sentit une nausée monter en lui, mais il serra les dents, refusant de vomir devant eux.


— Relève-toi, dit l’homme d’une voix froide, comme si de rien n’était.


Benoît se leva lentement, les jambes tremblantes, ses fesses douloureuses à chaque mouvement. Il ramassa ses vêtements, les enfilant rapidement pour cacher sa nudité, ses mains tremblantes peinant à boutonner son jean. Il évita les regards des chasseurs, sentant la honte et la colère l’envahir comme une marée montante.


— Maintenant, tu sais ce qui t’attend si tu t’approches de nous à nouveau, dit l’homme, un sourire satisfait aux lèvres. Tu ferais mieux de disparaître.


Benoît hocha la tête, se dirigeant vers la porte sans un mot. Il sentait les regards peser sur lui, comme des pierres, mais il ne se retourna pas. Il avait échoué, mais il ne renoncerait pas. Ses pas étaient lents, mais déterminés, chaque mouvement une promesse de revanche.


À l’extérieur, il respira profondément, l’air frais de la nuit remplissant ses poumons. Liara l’attendait, un regard préoccupé sur son visage, ses mains tendues vers lui.


— Ça va ? demanda-t-elle doucement, sa voix pleine de compassion.


Benoît hocha la tête, mais il savait que ce n’était pas vrai. Il était brisé, humilié, mais il ne le montrerait pas. Pas à elle. Il serra les poings, ses ongles creusant ses paumes, et releva la tête, ses yeux déterminés.


— On va les arrêter, Liara, dit-il d’une voix ferme, chaque mot une promesse. Peu importe ce qu’il faudra faire.


Elle lui sourit, un mélange d’admiration et de compassion dans ses yeux.


— Je suis avec toi, Benoît. Toujours.


Il lui rendit son sourire, sentant une lueur d’espoir naître en lui, comme une flamme qui refusait de s’éteindre. Il avait été vaincu ce soir, mais ce n’était pas la fin. C’était juste le début.


Alors qu’ils s’éloignaient dans la nuit, Benoît sentit la douleur dans ses fesses lui rappeler la leçon qu’il avait reçue. Mais il savait une chose : il ne se laisserait pas abattre. Il se battrait, pour la justice, pour ses idées, et pour ceux qui ne pouvaient pas se défendre. Et un jour, il ferait payer ces hommes pour ce qu’ils lui avaient fait.


La nuit était calme, mais dans le cœur de Benoît, une tempête se préparait. Il était prêt à tout pour défendre ce en quoi il croyait, et rien, pas même une fessée humiliante, ne pourrait l’arrêter. Ses pas résonnaient sur le trottoir, chaque mouvement une promesse de revanche, chaque respiration un rappel de sa détermination. La douleur dans ses fesses était un feu qui brûlait en lui, mais il savait qu’il en sortirait plus fort, plus résolu. Et un jour, il ferait payer ces hommes pour chaque claque, pour chaque humiliation. La justice serait sienne, et il ne s’arrêterait pas avant d’y être parvenu.

dimanche 27 juillet 2025

Benoît fessé à la plage

 


La plage étincelait sous le soleil déclinant, l’air chargé de l’odeur iodée de la mer et des rires des vacanciers. Benoît Dutal, torse nu et vêtu d’un maillot de bain rouge moulant, était le centre de toutes les attentions. Son corps athlétique, sculpté par des heures d’entraînement, se mouvait avec une grâce presque féline alors qu’il dribblait le ballon de football entre les groupes de jeunes hommes. Ses cheveux noirs, taillés en une wolf cut moderne, encadraient son visage juvénile, mettant en valeur ses traits fins et son regard brun pétillant d’énergie.

Les jeunes femmes autour de lui ne pouvaient détourner les yeux. Une brune aux yeux noisette murmura à sa voisine : « Regarde-le, il est tellement… irrésistible. » Une autre, plus audacieuse, lui lança un sourire en passant, mais Benoît, absorbé par le jeu, ne sembla pas remarquer leur attention. Son maillot de bain rouge contrastait avec sa peau légèrement hâlée, soulignant chaque muscle de son torse et de ses abdos.

Pourtant, son enthousiasme commençait à agacer certains vacanciers. Ses cris joyeux et ses mouvements brusques perturbaient la tranquillité de la plage. Un homme d’âge mûr, assis sur une chaise pliante avec un livre à la main, leva les yeux, visiblement irrité. « Il pourrait faire un peu moins de bruit, non ? » grogna-t-il à sa femme, qui haussa les épaules en réponse.

Benoît, inconscient de la gêne qu’il provoquait, continua à jouer. Son ballon vola soudainement trop loin, atterrissant près d’une famille avec une petite fille d’environ cinq ans. La fillette, surprise, se retourna juste à temps pour recevoir le ballon en pleine tête. Elle se mit à pleurer, ses cris perçants résonnant sur la plage.

Le père de la petite fille, un homme grand et musclé, se leva d’un bond. Son visage se durcit instantanément, ses yeux se plantant dans ceux de Benoît. « C’est vous qui avez fait ça ? » demanda-t-il d’une voix froide, les mains posées sur les hanches.

Benoît, pris de court, hésita un instant avant de répondre, un sourire maladroit aux lèvres. « Euh… oui, c’était un accident. Désolé. »

L’homme ne sembla pas convaincu. Il s’approcha de Benoît, ses pas lourds dans le sable. « Un accident, hein ? Et si c’était ma fille qui se blessait ? Vous trouvez ça drôle ? »

Benoît recula d’un pas, sentant l’atmosphère se tendre. « Non, non, je… je ne voulais pas. »

L’homme ne dit rien, mais son regard en disait long. Il jeta un coup d’œil autour de lui, comme s’il cherchait quelque chose. Puis, sans prévenir, il attrapa Benoît par le bras et le tira vers lui. « Tu vas apprendre à te calmer, jeune homme. »

Benoît tenta de se dégager, mais l’homme était trop fort. « Hé, qu’est-ce que vous faites ? Lâchez-moi ! »

L’homme ne répondit pas. Il se contenta de le traîner vers un espace plus isolé de la plage, où quelques curieux commençaient à se rassembler. Une femme d’une quarantaine d’années, les cheveux blonds relevés en chignon, s’avança. « Qu’est-ce qui se passe ici ? »

L’homme se tourna vers elle, son expression toujours aussi sévère. « Ce jeune homme a failli blesser ma fille avec son ballon. Il a besoin d’une leçon. »

La femme hocha la tête, comme si elle approuvait. « Vous avez raison. Il faut lui apprendre à se tenir. »

Benoît, paniqué, tenta de nouveau de se dégager. « Non, s’il vous plaît ! Je m’excuse, je ne le referai plus ! »


Mais ses protestations furent vaines. L’homme s'assit sur le sable. Benoît se retrouva allongé sur les genoux de l’homme, ses jambes pendantes de chaque côté. Il sentit une main ferme se poser sur son épaule, le maintenant en place.

La femme s’approcha, un sourire satisfait aux lèvres. « Tu vas recevoir une bonne fessée, jeune homme. Ça t’apprendra à faire attention. »

Benoît rougit instantanément, son cœur battant la chamade. « Non, s’il vous plaît ! Pas ici, devant tout le monde ! »

Mais ses supplications furent ignorées. L’homme leva la main et, sans autre avertissement, abattit une première claque retentissante sur les fesses de Benoît, par-dessus son maillot de bain rouge. Le son résonna sur la plage, attirant encore plus de curieux.

« Aïe ! » Benoît se tordit, tentant de se dégager, mais l’homme le tenait fermement. La claque avait été puissante, et il sentit une chaleur intense se propager sur ses fesses. Le public autour murmurait, certains avec approbation, d’autres avec un mélange de gêne et de fascination. Une jeune femme, les yeux écarquillés, chuchota à son amie : « Il mérite ce qui lui arrive, non ? »

L’homme continua, chaque claque résonnant avec insistance, marquant une frustration croissante. Benoît, humilié et en douleur, tentait de se retenir de pleurer, mais les larmes commençaient à couler sur ses joues. Ses fesses, déjà rouges sous son maillot, brûlaient intensément. La femme blonde s’approcha, un sourire satisfait aux lèvres. « Il faut qu’il apprenne, n’est-ce pas ? »

L’homme hocha la tête, sans arrêter son rythme. « Oui, il faut qu’il comprenne que ses actions ont des conséquences. »

Benoît, désespéré, tenta de nouveau de se dégager, mais l’homme le maintenait fermement. « S’il vous plaît, arrêtez ! Je vous en prie ! »

Mais ses supplications furent ignorées. Les claques continuaient, chacune plus forte que la précédente, chaque coup marquant une frustration croissante. Le public, maintenant nombreux, observait la scène avec un mélange d’embarras et de fascination. Certaines femmes chuchotaient entre elles, leurs regards oscillant entre compassion et excitation malsaine. Un homme d’âge mûr murmura : « Il va s’en souvenir, de celle-là. »

Soudain, l’homme arrêta, laissant Benoît reprendre son souffle. Mais ce répit fut de courte durée. L’homme attrapa le bord du maillot de bain de Benoît et, d’un geste rapide, le baissa jusqu’aux genoux du jeune homme. Benoît, horrifié, tenta de le remonter, mais l’homme le retint fermement.

« Non, non, s’il vous plaît ! Pas ça ! » supplia Benoît, ses joues rougies par la honte et les larmes.

L’homme ignora ses protestations et reprit les claques, cette fois directement sur les fesses nues de Benoît. La première claque fut encore plus douloureuse, la peau exposée étant plus sensible. Benoît poussa un cri étouffé, ses mains se crispant sur le sable. Le son de la claque résonna sur la plage, et le public retint son souffle. Une femme d’âge mûr, les bras croisés, déclara : « Il avait besoin de ça. Il ne respecte rien. »

Les claques continuaient, chacune laissant une marque rouge sur les fesses de Benoît. Il se tordait, tentant de se dégager, mais l’homme le tenait fermement. Ses fesses, déjà rouges et douloureuses, brûlaient maintenant intensément. Le sable chaud sous ses mains ne faisait qu’ajouter à son inconfort. Il sentait les regards des gens sur lui, leurs murmures comme des couteaux dans son dos.

Le public était maintenant divisé. Certains détournaient les yeux, incapables de supporter la scène. D’autres, en particulier les femmes, observaient avec un mélange de gêne et d’excitation. Une jeune femme, les joues rougies, chuchota à son amie : « Il a de belles fesses, quand même. »

Au bout d’un moment, l’homme s’arrêta enfin, laissant Benoît reprendre son souffle. Le jeune homme, humilié et en larmes, tenta de se relever, mais ses jambes tremblaient trop. L’homme le lâcha enfin, et Benoît tomba sur le sable, ses fesses en feu. Il sentait chaque mouvement comme une torture, la douleur pulsant dans ses membres.

Le public se dispersa lentement, certains jetant des regards compatissants, d’autres avec un sourire satisfait. Benoît, toujours sur le sable, tenta de remonter son maillot de bain et son jean, mais ses mains tremblaient trop. La honte l’envahissait, et il se sentait comme un animal traqué, exposé aux yeux de tous.

L’homme se pencha vers lui, son expression toujours aussi sévère. « J’espère que tu as appris ta leçon, jeune homme. La prochaine fois, tu feras attention. »

Benoît, les larmes aux yeux, hocha la tête, incapable de parler. Sa gorge était serrée, et il se sentait complètement brisé.

L’homme se releva et s’éloigna, rejoignant sa famille. Benoît, toujours sur le sable, se sentait humilié et en douleur. Il se releva enfin, ses fesses brûlant intensément à chaque mouvement. Le moindre frottement de son maillot de bain contre sa peau était une agonie.

Alors qu’il s’éloignait de la plage, il entendit des murmures derrière lui. Une jeune femme, les yeux brillants, chuchota à son amie : « Il a de belles fesses, quand même. »

Benoît, rougissant encore plus, accéléra le pas, souhaitant seulement disparaître. La plage, autrefois un lieu de plaisir, était maintenant un souvenir d’humiliation. Il se demanda combien de temps ses fesses resteraient marquées, et s’il pourrait un jour oublier cette punition publique.


Mais alors qu’il s’éloignait, il sentit une main se poser sur son épaule. Il se retourna, prêt à affronter un nouveau confrontateur, mais ce n’était qu’une jeune femme, les yeux remplis de compassion.

« Ça va ? » demanda-t-elle doucement.

Benoît, surpris, hocha la tête, incapable de parler. Sa voix était cassée, et il se sentait comme un enfant perdu.

Elle lui sourit, un sourire chaleureux. « Tu sais, tout le monde fait des erreurs. L’important, c’est d’apprendre de ses erreurs. »

Benoît la regarda, ses yeux remplis de gratitude. Peut-être qu’il y avait encore de l’espoir, après tout. Mais la douleur dans ses fesses et la honte dans son cœur ne disparaîtraient pas si facilement.

Alors qu’il s’éloignait, il ne pouvait s’empêcher de se demander ce qui l’attendait la prochaine fois qu’il oserait perturber la tranquillité de la plage. La fessée avait été longue et douloureuse, et il savait qu’il ne l’oublierait pas de sitôt. Chaque pas lui rappelait la brûlure dans ses fesses, chaque regard des passants lui rappelait son humiliation.

La scène restait gravée dans son esprit, les claques résonnant encore dans ses oreilles, la douleur dans ses fesses lui rappelant à chaque pas qu’il avait appris une leçon qu’il n’oublierait jamais. Mais alors qu’il disparaissait dans la foule, la question restait en suspens : que lui réservait l’avenir ?

mercredi 15 septembre 2021

Ces dames aux mains fermes par Ramina

 CES DAMES AUX MAINS FERMES

LE CUISANT WEEK-END DE ROBIN EN FAMILLE.

Chapitre 2 : Patricia, une sœur sévère.






–  « Non mais Robin, tu as vu l’heure ? Tu viens d’où? s’emporte immédiatement Gladys, la poitrine gonflée de colère qui n‘avait pourtant pas besoin de ça pour s‘émanciper de son décolleté. Comme d’habitude, elle en rajoute un peu, histoire d’aggraver la situation et justifier la sévérité de la correction dont elle a l’intention de lui gratifier le derrière. 

– «  Ta sœur et moi, on en étaient même à se demander si tu avais l’intention de rentrer! » Ironise t-elle.

– Mais...mais  maman, j’étais avec Gérôme. On discutait et …et … je n’ai pas fait attention à l’heure...j’ai raté mon bus!

– Mince alors, mon pauvre chéri, tu as raté ton bus ! Tu n’as vraiment pas de chance!

– Ben non…

– Tu te fiches de moi là, hein ?

– Euh…Non maman, je te jure! 

– Oui, parce que contrairement à ce que supposait ta sœur tout à l’heure, tu ne pouvais pas être avec Gérôme. Je sais, qu’en ce moment il est en retenue tous les Week-End ! Alors ne nous racontes pas d’histoire ! »


Patricia qui ne manifeste aucun scrupule à l‘enfoncer un peu plus son frère dans son mensonge, surenchérit.


– « Surtout que de Ste Marie à ici, il y a un bus tous les quart d‘heure ! »


 Robin, bafouille. Il sait que ni sa sœur, et encore moins sa mère, ne vont lui épargner l’inévitable fessée prévue en cas de désobéissance aux règles de ponctualité de la maison. Le ton autoritaire de sa mère le tire de sa brève réflexion sur l’avenir immédiat de son postérieur.


– «  Tu m’écoutes Robin! Tu viens de désobéir et de mentir effrontément pour essayer de justifier ta mauvaise conduite. Tu sais ce qui t’attend? 

– Euuuuh oui… maman… Je sais.

– Bien, alors dis le moi,  Je t’écoute !

– Euuuh… une fessée maman.

– Exact, une fessée ! Mais encore... une simple fessée? 

– Non maman pas une simple fessée… Une bonne fessée!... Maman! 

– Plutôt oui ! Et une bonne fessée comment? 

– Une bonne fessée déculottée maman!

– Parfait, ça, au moins, tu l’as retenu. Alors ne perdons pas de temps. Amène moi tes fesses pour que je les déculotte. Je vais te flanquer les deux fessées que tu reconnais avoir méritées ! »


Robin regarde sa mère, l’air ahuri. Son cartable lui en tombe des mains. Il le ramasse par réflexe sans se rendre compte qu’il s’est ouvert tout seul. Quelques livres et une enveloppe restent par terre.  


– « Comment ça deux fessées? Pourquoi deux maman ?

– Ah parce que maintenant tu discutes ! »


Gladys fait semblant de se radoucir et reprend sur un ton faussement affectueux. 


– « Mais mon chéri, c’est très simple, dois je encore te rappeler les closes du contrat de discipline pour les garçons désobéissants, avec le  tarif des fessées en vigueur ? Oui ? »


 Robin ne répond pas. Il sait de toute façon que, quoi qu’il dise, sa mère inflexible, va lui flanquer la raclée qu’il a méritée. Et ça ne va pas traîner. Dans quelques secondes, il va se retrouver, déculotté, à plat ventre sur ses genoux, le derrière tressautant sous une magistrale fessée. Car pour Gladys, une petite ou une moyenne fessée, ça n’existe pas. Au catalogue des punitions ne figure qu’un seul modèle, mais pas n’importe lequel. Le modèle grand format. La fessée magistrale. 

Plutôt préoccupé de l’avenir immédiat de son postérieur, Robin enregistre à peine l’énumération des sanctions que sa mère lui rappelle avec insistance et une pointe de jubilation dans la voix. 


– « Tu sais comment ça fonctionne Robin. Au moindre écart de comportement, c’est la fessée ! Alors le calcul n’est pas difficile à faire, deux écarts, deux fessées! Une pour te punir de ton retard  inadmissible et la deuxième pour ton mensonge grossier. Le compte y est mon cher ! »

– Robin! Tu écoutes ce que te dit maman? » 

Le rappelle à l’ordre sa sœur que la main commence à démanger. Elle caresse d‘un regard enveloppant, la volumineuse paire de fesses qui gonfle le fond de son pantalon. 

-- « ll n’a pas l’air, dit sa mère, c’est parle à mes fesses ma tête est malade !

– Et bien on va lui parler à ses fesses ! »


Planté  dans le vestibule, immobile, le cartable à main, Robin semble tétanisé dans une situation qui n‘est pourtant pas nouvelle pour lui. Les menaces de fessées suivies d’exécution immédiate sont habituelles, ça se produit régulièrement.  Malgré cela, il sent ses fesses trembler au fond de son slip. Maman n’a pas l’habitude d’y aller de main morte. Il sait qu’il va encore s’en prendre des sévères, c’est sûr. Une semaine de punitions à Ste Marie lui ont fait un peu oublier le contexte familial. Conscient, mais souvent trop tard, de sa tendance chronique à enfreindre les consignes, il ne s’attendait pas un accueil triomphal. De là à se ramasser deux fessées à peine arrivé... 

Patricia reprend l’initiative et le sort de sa torpeur:


–  «Tu n’as pas bien entendu Robin, maman t’a demandé tes fesses! Et quand maman demande tes fesses, tu sais qu‘elle n‘aime pas attendre, alors tu les lui amène et en vitesse ! »


Elle le saisit par le col de sa veste et le secoue sans ménagement en imitant avec humour les annonces d’informations diffusées dans certains espaces publics. 


-- « La maman du petit Robin attend ses fesses sur ses genoux pour lui flanquer sa raclée! 

Claironne t-elle d’une voix forte. Gladys, magnanime, s’en amuse et lui concède la première salve.

– « Puisque tu a l’air d’en avoir tellement envie, Patricia, à toi l’honneur de la première fessée. Je te laisse la direction de la cérémonie d’ouverture des festivités.

– Merci maman, avec plaisir!  »

Elle enchaîne aussitôt.

– « Baisse ton pantalon Robin et viens ici! »


Robin sait qu’il n’a pas le choix. Il s’exécute immédiatement, déboucle sa ceinture, défait sa braguette  et, le pantalon sur les chevilles, s‘approche de sa sœur. Les jambes entravées, il se déplace d’une démarche chaotique. Il a beau avoir l’habitude, être obligé à vingt et un ans de s’exhiber le derrière à l’air et le sexe en évidence devant sa mère et sa sœur...Il se sent humilié, ridicule. Elles s’en amusent ouvertement lorsqu’il essaye de le cacher derrière ses mains plaquées dessus. 


Patricia ne perd pas de temps. Elle le saisit  par les cheveux et, résolue à lui flanquer sa fessée sur ses genoux, elle cherche du regard une place sur la banquette, Mais le siège est encombré par les paquets déposés  par sa mère. Elle décide alors de le corriger dans une autre position. Ses gestes sont précis, rapides, efficaces. Elle le courbe vers le sol, lui coince la  tête entre ses cuisses et, le ceinturant de son bras gauche passé sous son ventre, le soulève pour le positionner, fesses en l’air, tendues à sa main. Ses pieds ne touchent plus le sol  Robin  gémit sourdement. Il couine et transpire déjà, les joues irritées par le frottement des bas nylon de sa sœur. 


– « Excellente idée ma chérie, belle position! s’exclame Gladys On n’y pense pas assez souvent. 

– Oui, je la trouve très pratique. Les fesses sont bien déployées et à égale distance de la main. De plus Il ne peut pas se les protéger pendant sa correction »

Robin commence aussitôt à supplier en criant.  

– «  Pitié maman ! Patricia! Pas déjà la fessée ! Je ne le ferai plus, je rentrerai à l’heure! Promis juré ! » 

Patricia ne se préoccupe pas le moins du monde de ses protestations. Elle le maintient solidement en position sa main gauche passée sous son ventre et commence à le déculotter de son autre main. Celle qui va claquer . 

Gladys toujours attentive au moindre détail, réagit la première. 


– « Mais dis moi Robin!  s’exclame t-elle d’un ton faussement étonné , tu n’aurais pas déjà reçu une correction aujourd’hui. Tu as des marque rouges sur les fesses  !  Sûrement une fessée déculottée à la main, et bien appuyée même... on distingue encore les traces de doigts. »

– Oui maman !  répond la voix étouffée de Robin d’entre les cuisses serrées de sa sœur. Il ne peut manifestement pas nier l’évidence...C’est sœur Marie-Odette avant de partir. J’avais oublié de prendre mon carnet de correspondance.  

– Tu m‘en diras tant!  Encore une fessée bien méritée. Ta sœur va se charger de la suivante. Aller ma chérie, il est à toi !  Mets lui en une sévère ! » 



Patricia resserre les cuisses autour de son cou pour le maintenir bien en place pendant qu‘elle le déculotte. La mise en positon du derrière à corriger et le déculottage constituent les moments les plus excitants en préparation de la fessée qui s'en suit. Elle passe ses doigts sous la ceinture du slip qu’elle fait glisser avec dextérité sur les courbes volumineuses de la croupe tendue. Robin commence déjà à gémir. Il sent l’air frais caresser ses fesses au fur et à mesure que sa soeur les dégage du nylon en faisant sèchement l’élastique du slip sur ses cuisses. Elle échange un regard complice avec sa mère qui la gratifie d’un sourire d'encouragement et démarre, à toutes volées, une retentissante fessée qu'elle administre avec un plaisir manifeste. . Robin pousse aussitôt des petits cris de douleur, sous les commentaires ironiques de sa soeur.


– « Oh le pauvre chéri, je viens à peine de commencer qu’il se met déjà à pleurnicher. Ça promet pour la suite ! »


Indifférente à ses plaintes Patricia fait déjà preuve d’une bonne expérience et trouve rapidement la bonne cadence., Consciencieuse de remplir avec efficacité sa noble mission punitive, elle  s’applique à bien ajuster les claques en puissants allers et retours sur chaque fesse. Elle fesse fort, sec et serré et ça claque dur. Soumis immédiatement à rude épreuve, Robin clame sa douleur au fur et à mesure de la montée en température de ses fesses, à peine remises de la cuisante déculotté que  sœur Marie-Odette lui a flanquée au moment de sa sortie de l’école. 


– « C'est bien ma chérie, mais n'hésite pas à taper encore plus fort, il a les fesses dures !!  Encourage Gladys qui suit attentivement le déroulement de la punition. Ne t’occupes pas de ses pleurnicheries, quand la voix monte comme ça, c’est que la fessée est bonne.

– Je sais maman, je sais,  ce n’est pas la première que je lui claque au derrière! »


Patricia fesse dur. Elle veut montrer à sa mère, l'autorité qu'elle exerce sur son frère et la manière dont elle est maintenant capable de le corriger. La position qu'elle a choisi est aussi spectaculaire qu'efficace.  Les fesses déculottées du puni sont bien présentées, pleinement déployées, placées à la même distance de la main, ce qui permet à chacune d’elle de bénéficier d’un traitement identique.  Elles rougissent et chauffent en cadence sous les allers et retours équitablement répartis.

 Patricia se régale et s’applique à bien fesser. Elle entend profiter pleinement du sentiment de possession qu’elle ressent à contempler les fesses rougeoyantes de son frère, coincées entre ses cuisses, et les voir tressauter en cadence au rythme de la fessée qu’elle lui administre. Robin, malgré sa taille d’adulte, n’est pas très lourd. Elle lui  maintient les fesses en l’air sans difficulté et lui flanque sa déculottée avec une énergie propre à rassurer Gladys sur ses capacité à fesser avec la sévérité nécessaire. 


Stimulée par sa mère, la jeune femme ne semble pas disposée à lâcher sa proie, mais plutôt décidée à faire durer la fessée. Elle accentue la pression de ses cuisses, gainées de nylon qu'elle frotte en rythme sur les joues de sa victime pour le maintenir bien en place, et augmente progressivement la cadence. Robin reçoit immédiatement le changement de rythme en ployant les reins sous la puissance des claques. Il sait qu’il finira par céder et éclater en sanglots, mais essaye malgré tout d’en retarder l’échéance en retenant ses larmes. Dernier moment d’une dérisoire résistance pour conserver un semblant de dignité sous la main ferme qui lui incendie le derrière. Agrippé aux fortes cuisses de sa soeur, la tête coincée entre les deux, solidement maintenu en position, il saute d’un pied sur l’autre en tortillant ses grosses fesses dans une vaine tentative d’amortir les claques qui s’abattent dessus en rafales. Il rebondit sur place, en suppliant, appelant à une clémence que sa charmante soeur n’a aucunement l’intention de lui accorder. 


–«  Ahhhh Patricia, s’il te plait, pas si dure la fessée ! Tu tapes trop fort, de plus en plus fort ! Ça fait mal ! »


Indifférente à ses supplications, elle prend ça plutôt comme un compliment. Les dents serrées par l‘effort, la main ferme, bien enveloppante pour claquer un maximum de surface de chaire à chaque fois, elle se concentre sur l’intensité de sa frappe. 

Et Robin s’aplatit en pliant les jambes, les relève l’une après l’autre, exécutant une frénétique danse des fesses, au risque de craquer les élastiques de son slip tendu en travers de ses cuisses. Malgré ses contorsions désespérées, il ne peut soustraire un centimètre carré de chaire  aux magistrales claquées qui continuent inlassablement à lui cuire le derrière. Un derrière sévèrement corrigé qui irradie maintenant le vestibule d’un resplendissant rouge écarlate uniformément réparti sur toute sa surface. 


– Mais j’espère bien que ça fait mal! reprend Patricia qui poursuit avec ténacité le claquage intensif de la splendide paire de fesses qu‘elle a sous la main. Et elle en profite, sans états d’âme, trop heureuse de l‘avoir à son entière disposition. ,

–« Les fessées sont faites pour ça mon cher! Faire mal au derrière sinon ce ne sont plus des punitions » 

 Elle est obligée d’élever la voix pour se faire comprendre tant le niveau sonore de la fessée est assourdissant.

 

Gladys n’en perd pas une miette et exprime sa satisfaction en ponctuant chaque claque d’un hochement de tête approbateur. Ferme, rapide, cuisante, là deuxième main qu’elle a si bien initiée montre qu'elle est prête à entrer en service pour corriger les messieurs indisciplinés et mal éduqués qui font partie, en nombre, de leur entourage. . 


Le dialogue haché entre le frère et la sœur se poursuit, en parti couvert par le claquement retentissant du fessier sévèrement corrigé.  

– « Oui, mais… mais… quand même. Trépigne Robin qui commence à avoir du mal à respirer, la tête toujours coincée entre les cuisses de sa sœur, les joues en feu sous le frottement de ses bas nylon.  Ça… ça cuit ! Pitié! Pitié arrête ! »


Patricia le corrige à l’énergie et la fessée ne faiblit pas . C’est un vaste incendie qui embrase toute la surface de ses fesses du bas des reins  jusqu’à l’élastique du slip, tendu sur le haut des cuisses.

   –  «  Robin, ton cirque ça suffit ! Tu n’es vraiment pas en situation de réclamer quoi que ce soit. »

 Intervient soudain Gladys exaspérée par les protestations intempestives de son fils. 

– « Cesse de hurler et de gigoter comme ça! Tu acceptes ta fessée, un point c’est tout ! Et arrête de tortiller des fesses sans arrêt. Contente toi de les garder en place! Comment veux tu que ta sœur te fesse correctement  jusqu’au bout ! »

– Ne t’inquiète pas maman, je maîtrise la situation. il va se prendre sa raclée jusqu’au bout ! Et aussi longtemps que je le déciderai.

– C'est bien ma chérie. Mais à l’entendre réagir comme il le fait, je n’ai pas l’impression qu’il en tire vraiment la leçon. Ce garçon reste insolent et incorrigible. Tu n’es pas assez sévère avec lui. Il faut que tu fesses avec davantage d‘énergie, qu‘il apprenne à ne pas protester quand il reçoit ses fessées. Rien que pour ça il en mérite une autre. Je la lui mettrai tout à l‘heure quand on abordera la question de ses résultats scolaires »


Stimulée par sa mère Patricia ne se fait pas prier. Elle reprend la fessée de plus belle, en augmentant la cadence et la puissance des claques avec un enthousiasme clairement affiché. Robin se remet aussitôt à hurler et se débat comme un beau diable en tortillant frénétiquement son postérieur en fusion. Il bouge tellement que Patricia commence à avoir du mal à le tenir en place pour continuer à lui ajuster les claques avec précision. 


– « Bon ça suffit, passe moi ses fesses, il m’énerve!  S’écrie Gladys furieuse. Je vais lui ôter l’envie de faire le malin.

– Comme tu veux maman. Mais tu sais,  je peux continuer. C‘est sûr, tu as plus l’habitude que moi et tu tapes beaucoup plus fort. Pour autant, je ne suis pas mécontente de ma fessée, je lui en ai quand même claqué une bonne!

– Mais ma chérie, je ne dis pas le contraire. C'est une excellent fessée.  Bien fournie, cuisante et claquante, comme je les aime et comme je t’ai appris à les donner. Je ne fais pas beaucoup mieux tu sais. D’ailleurs Il suffit de regarder la couleur de ses fesses… Maintenant comme il continue à faire l’intéressant, il est temps que je le reprenne moi-même en mains. Tu peux le lâcher. » 


Patricia desserre les jambe, libérant son frère, toujours empêtré dans son pantalon et son slip. Il s’écroule à genoux à ses pieds en gémissant. Ses joues apparaissent marquées de chaque côté par l’empreinte de ses boucles de jarretelles, Elles sont brillantes de larmes et presque aussi rouges que ses fesses en pleine cuisson. Instinctivement, sans réfléchir, il se les prend à deux mains pour essayer d’en atténuer un tant soit peu l’incendie. L'inconscient 

Sa mère le fusille aussitôt du regard

– « Mais qu’est ce que tu fais Robin? S’écrie t-elle. Qui t’as autorisé à te frotter les fesses, viens ici ! Tout de suite!

– Mais maman, tu ne te rends pas compte, ça fait mal ! Patricia claque dur, j’ai les fesses en feu !

– C’est la meilleure celle là… je ne me rends pas compte. Viens ici je te dis ! »


Il y avait des moment ou Gladys se demandait avec inquiétude, si son fils, malgré ses vingt et un ans, faisait semblant d’être imbécile ou s’il l’était vraiment. A moins qu’il ne jouait simplement la comédie pour mieux se moquer du monde. Après une telle fessée il trouvait encore le moyen de se distinguer avec des remarques déplacées et en ignorant les consignes.