mercredi 17 avril 2019

Benoit, étudiant, fessé à la fac


C’était une belle après-midi de Juin à Oxford, pour une fois le soleil brillait. Il était 15h10 et Benoit Dutal était en retard pour son cours privé. Encore une fois. Il sonna à la porte de sa professeure. La Dr Louise Kendrick.

“Entrez !” Cria t-elle sévèrement.

Benoit entra dans la pièce essoufflé exclamant de nombreuses excuses. Louise fit un geste de la main pour le faire taire et pointa du doigt la chaise en face pour l’inviter à s’asseoir. Il s’assit posant ses livres sur le bureau.

“Dr Kendrick” commença t-il hésitant.

D’habitude il l’appelait Louise, mais ici il prit un ton sérieux.

“J’ai bien peur de ne pas avoir fini mon mémoire, pas encore.”

Louise grimaça. “Tu ne l’as même pas commencé n’est-ce pas ?”

Benoit rougit, regardant le tapis. “Non.’ dit-il d’une petit voix.

Louise soupira théâtrâlement. “Benoit, ce n’est pas une bonne chose. Tu n’as pas présenté ton travail la semaine dernière non plus. En fait c’est la troisième fois que tu manques à tes devoirs. Je pensais que tu étais un de mes meilleurs élèves de première année. Tes devoirs étaient excellents fût un temps Que s’est-il passé ?”

“Je ne sais pas honnêtemment Louise. J’ai essayé de travailler, de travailler vraiment dur.”

Louise se se souvint alors d’avoir vu quelques jours plutôt Benoit et Emma fricoter dans le campus avant de partir vers les toilettes. Emma Manning, une étudiante de première année qu’il connaissait aussi.

“Bien sûr c’est à vous de faire vos recherches. Est-ce qu’Emma Manning serait votre seule source de recherche ? Pas sûr que ce soit la meilleure source pour votre sujet mémoire, à savoir Pierre Abelard.”

Benoit devint encore plus rouge. “Vous… vous nous avez vu quand… ?”

“Vous n’avez pas été discret du tout. Ce n’est pas à moi de juger si ce que votre partie de sexe dans le campus est sanctionnable, mais je ne peux m’empêcher de me demander si ce que j’ai vu a un quelconque lien avec votre manque de travail. Quoi qu’il en soit, je risque de vous donner une très mauvaise note de fin d’année..”

“Mais il est enocre temps de se rattrapper, je peux vous donner des cours supplémentaires ou autre chose si il faut. Avez-vous des idées pour vous ?”

“Bah… vous savez ce que Pierre Abélard aurait fait ?”

“Que suggérez vous Benoit ?”

Il plongea dans l’insousciance. “Bah, Héloïse était la meilleure élève d’Abelard, meilleure que tout les autres élèves. Mais quand elle était paresseuse, il n’hésitait pas à la punir.”

Louise ria. “C’est vrai, il le faisait. Mais vous oubliez deux choses. D’abord c’était au 13ème siècle, aujourd’hui on me jetterai probablement en prison. Puis, vu que vous avez bien sûr lu les lettres d’Abelard, vous savez que cela n’est qu’un prétexte. Si c’est une fessée érotique que vous voulez, vous pourrez demander à Emma je pense.”

Elle parlait avec désinvolture mais l’idée de mettre ce vilain garçon entre ses genoux était tentante. C’était précisément ce qu’il méritait pour être insolent, pour lui avoir menti et par dessus tout pour s’être laissé aller. Et en plus il a certainement le physique idéal pour ça : des fesses bien attirantes et magnifiquement fessables.

Benoit grimaça. “Mais Emma n’a pas le droit, et pas d’autorité sur moi. Vous vous en avez Louise, vous êtes ma tutrice, donc vous êtes in loco parentis. Et c’est ce que mes parents auraient fait si ils savaient que je négligeais mon travail.”

“C’est à dire ?”

“C’est à dire me mettre sur leurs genoux et me punir et me rougir les fesses comme il faut.” Intérieurement, Benoit haleta de sa propre audace. Heureusement il était très peu probable que sa prof rencontre un jour ses parents.

“Je ne dis pas que vous ne la méritez pas. Mais je pense que l’université peut vous trouver des intendants pouvant s’occuper de ça. Puis au vu de nottre relation prof élève, cela pourrait être pris pour de l’harcèlement.”

“Uniquement si je porte plainte.” Benoit répondis. “Et je ne le ferai pas. Vous savez que je le ferai pas, je veu dire pourquoi je le ferai ? Vous êtes là pour m’aider à réaliser mon mémoire. Vous avez dit être prête à m’aider par n’importe quel moyen, eh bien c’est ce dont j’ai besoin Louise.”

Louise s’est levé et regarda pensive à travers la fenêtre. Finalement elle se tourna et lui fit face.

“Très bien.” dit-elle. “Je vais faire ce que vous voulez mais il y aura des conditions. D’abord si vous parlez à qui que ce soit de ça je renonce à être votre tutrice. Ensuite peu importe ce qu’Héloise et Abelard ont fait, mais la seule chose que je ferai c’est de vous fesser, rien d’autre, c’est compris ?”

Benoit acquiesça “Ok.”

“Et rappellez vous que c’est une punition, pas de l’amusement ou de l’érotisme, si je vois que cela vous plait ou n’améliore pas votre travail, j’arrêterai sur le champ. Alors je vous préviens Benoit, me demandez-vous une vraie fessée longue et douloureuse ? Etes-vous sûr de pouvoir supporter ça ? Si ce n’est pas le cas, c’est votre dernière chance de faire marche arrière.”

Derrière ses yeux noirs, Benoit réfléchit. Pourrait-il supporter la douleur ? Pourquoi s’était)il laissé aller comme ça ? Elle avait raison cependant, si cela devait avoir un impact sur son travail, alors il fallait que ce soit une véritable punition, sévère et douloureuse. Mais comment pouvait t-il faire demi-tour maintenant ?

“D’accord.” dit-il d’une petite voix regardant le sol. “Je suis d’accord.”

“Ainsi soit-il.” dit Louise en se levant. “Bien pour commencer, je vais fermer ma porte.” dit-elle en se dirigeant vers celle-ci pour éviter que le bruit ne sorte de la pièce. “Oh et pouvez-vous fermer les fenêtres. Nous voudrions pas que vos pleurs dérangent le quartier.”

“Je ne pleurerai pas.” Benoit protesta bien qu’il obéit à l’ordre.

“Ne sois pas si sûr jeune homme.” a t-elle répliqué ouvrant son bureau et fouillant à l’intérieur pour sortir une brosse à cheveux. “Joli spécimen n’est-ce pas ? Elle serait utile pour vos cheveux. Mais je pense que ça va correspondre à vos fesses encore mieux.”

“Mais je pensais que vous utiliserez votre main !”

“Oh je vais le faire.” dit Louise. “Pour commencer.” Elle le prit par le poignet et le mena sur la chaise qu’elle venait de récemment quitter. Elle s’assit et posa la brosse sur le bureau derrière elle “Ceci ce sera pour le deuxième acte.”

Benoit la sentit défaire sa ceinture et descendre son jean à ses genoux. Ensuite, doucement mais fermement elle l’allongea sur ses genoux. Il eu une boule dans le ventre quand il s’installa sur ses cuisses, sa tête à gauche, ses jambes étendues droites et ses fesses courbé et haut prêt pour la main de Louise.

Louise savoura avec délice ce qui se présentait devant elle. Elle remonta le t-shirt de Benoit, légèrement au dessus de sa taille pour dégager les fesses. Qu’elle palpa ensuite.

“Très belles fesses.” observa t-elle. “Et ton boxer rouge les mets bien en valeur mais je pense que nous devrions l’enlever.” Et doucement, elle glissa ses doigts sous son boxer, pour venir le glisser tout en parcourant ses courbes.

Benoit frémit en voyant son vêtement le plus intime s’enlever. L’air était bon sur son nu et vulnérable fessier et le bras gauche de Louise le tenait fermement dans sa position. Il était entièrement sous son contrôle. La réalisation de sa punition méritée et désirée effrayait maintenant ses pensées.

“Bien jeune homme.” dit Louise levant sa main ouverte. “C’est ce que vous m’avez demandé, c’est ce que donc vous allez recevoir. Et ne me dites pas que je ne vous aurai pas prévenu pour la douleur qui vous sera insupportable.”

Prenant soin de bien viser, elle fit tomber vigoureuseuement sa main sur la partie la plus charnue de la fesse gauche de Benoit. Il eut le souffle coupé tandis que l’impact lui piquait la chair tendre avant qu’une autre fessée, non moins dure, vient atterrir sur sa fesse droite cette fois-ci. Louise prit une pause et regarda satisfaite les deux marques de sa main, bien roses et visibles sur la chair blanche.

Ayant marqué son territoire, elle reprit et pendant quelques minutes le fessa plus légèrement, juste assez pour piquer, couvrant toute les zones de son fessier et savourant la façon dont la douce chair des fesses de Benoit vibrait et vacillait sous la paume de sa main. Après seulement une douzaines de claques, une délicate nuance de rose recouvrit les jolies fesses du jeune homme, s’assombrissant graduellement du rose au rouge à chaque nouvelle claque. Au fur et à mesure que la chaleur montait sur son derrière, Benoit commença à se tortiller légèrement, émettant des petits cris et des gémissements. C’était excitant d’être sur les genoux de Louise, soumis à sa volonté et sentant sa main s’écraser ses ses fesses nues. Mais en même temps il y avait une pointe de déception, ce n’était pas aussi douloureux qu’il ne l’avait espéré - ou redouté.

Louise savait ce qu’elle faisait. Après quelques minutes elle fit une nouvelle pause et caressa les courbes de Benoit, admirant le résultat de son travail. Ses fesses étaient chaudes au toucher et elles étaient plus que jamais sexy maintenant qu’elles étaient bien rouges.

“Ok Benoit.” dit-elle. “C’était juste pour chauffer tes fesses et les mettre dans les meilleures conditions pour une vraie fessée. Maintenant ta vraie punition va commencer.” Elle resserra son étreinte et commença à le fesser avec toute la force de son puissant bras droit.

Benoit haleta par surprise. Il n’avait jamais imaginé à quel point une main féminine puisse piquer autant un fessier d’homme - surtout quand ce fessier avait été préalablement rendu extra sensible par un échauffement astucieux. Son fantasme faisait maintenant face à la réalité et il n’était pas sûr d’aimer ça. “Owww” protesta t-il se tortillant sur ses genoux. “Louise ça fait vraiment mal, s’il te plait, pas si fort !”

“Bien sûr que ça fait mal mon garçon !” répliqua t-elle sans coeur le fessant avec enthousiasme. “C’est fait pour, c’est une punition tu te rappelles ? Pour t’apprendre à finir ton mémoire chaque semaine où tu es supposé le faire et pour ne pas arriver en retard à mes cours !” Elle tourna son attention sur les douces courbes de ses fesses, elle les frappa avec des coups qui le fit se tortiller et gémir. “A partir de maintenant, à chaque fois que tu seras tenté de t’amuser plutôt que de faire ton travail, tu te souviendras à quel point il est humiliant d’être mis sur mes genoux et d’être fessé cul nu comme un enfant pas sage. Tu te rappelleras à quel point tes fesses deviennent chaudes, rouges et douloureuses - et crois-moi, ça va devenir encore plus rouge et encore plus douloureux. Et souviens toi que toute paresse supplémentaire, jeune homme, te ramènera sur mes genoux pour être fessé deux fois plus longuement et deux fois plus durement. Compris ?” demanda t-elle en donnant une énorme claque sur ses fesses.

“Owww! Oui, Louise! Je suis désolé ! Vraiment désolé ! Stop s’il te plait !”

Mais Louise n’était pas d’humeur à arrêter. Elle s’amusait beaucoup trop. Benoit se révélait encore plus délicieusement fessable que ce qu’elle avait pensé. Elle se réjouissait de ses cris et de la couleur rouge sur les fesses de Benoit.

Alors, pendant encore quelques minutes elle fessa ses belles fesses pour son grand plaisir - maintenant le fessant doucement, prenant une pause après chaque claque pour laisser le temps à ses fesses de piquer; maintenant lui donnant une forte volée de fessées, une vingtaine assez rapidement au même endroit le faisant crier et se tortiller franchement. Et quand elle s’arrêta ce fut seulement pour atteindre le bureau derrière et prendre la brosse.

Benoit se tordit pour voir ce qui se passait et haleta. Il était si perdu dans l’agonie et l’ecstasie de la fessée qu’il avait oublié la brosse. “Oh non.” pleura t-il. “Non Louise, s’il te plait, j’en ai eu assez, mes fesses sont déjà trop douloureuses ! s’il te plait laisse moi !”

“Pas question” La réponse fut sans pitié. “La fessée à la main était pour avoir négligé ton mémoire et avoir été en retard. Ca, ce sera pour quelque chose de plus sérieux : Perdre votre temps avec Emma Manning et faire l’amour dans un lieu public.” Elle frappa les fesses de Benoit avec le dos de la brosse. “Tu mérites mieux que ça et tu mérites une bonne grosse fessée avec cette brosse pour t’aider. Mais tu as bien pris ta punition jusqu’à présent, je te laisserai donc partir après seulement 60 coups, la prochaine fois je ne serais pas aussi indulgente.”

A t-elle dit indulgente ? pensait Benoit, ses fesses en feu, mais c’est ce qu’il avait demandé se dit-il intérieurement. Il prit fermement la jambe de Louise, s’attendant au pire.

“OWWWWWWW” Il n’avait dit qu’il pleurait pas, il pleure. Le son cinglant de la brosse venant atterrir sur ses fesses résonna dans la pièce piquant ses fesses déjà bien fessées, la large longueur ovale de la brosse frappant les deux fesses à la fois. Et il continua de pleurer, ses cheveux bruns ébouriffés et ses jambes battant violemment pendant que le bois dur de la brosse venait claquait encore et encore ses fesses si douloureuses, les faisant passer de l’éclarlate à une profonde couleur de pourpre. Quand la fessée cessa finalement, il semblait ne pas remarquer mais il resta allongé mollement sur les genoux de Louise, haletant et gémissant, entièrement passif.

Louise contempla le beau jeune homme mince, allongé sur ses genoux, chaque centimètre de son derrière bien fessé et rougeoyant. Doucement elle caressa les deux masses de chair tremblantes devant elle. “Ok Benoit, c’est fini, tu as eu la fessée que tu as demandé. Lève-toi.” Elle l’aida à se relever. Toujours tremblant et en larmes il reprit enfin la parole “Mon dieu, vous fessez vraiment violemment Louise. Je ne pense pas qu’Abelard fessait Héloise comme cela !”

“Au contraire je parie qu’il le faisait. Et elle étaot surement la première à se plaindre si il ne le faisait pas.”

“Vous avez peut-être raison, mais au moins elle n’avait pas à remettre son jean après les hostilités. Oww, oww.. je crois que mes fesses sont trop gonflées pour rentrer dedans.”

1 commentaire:

  1. J'adore ce récit. Il est très excitant et on sent bien que la jolie Louise prend un réel à lui administrer. J'adorerais ètre à a place

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